« Quand tout ceci sera fini, nous serons enfin une famille. » Olalala mais tu me tues à commencer par cette phrase >< je crois que c'est une des choses que je trouve les plus déchirantes dans HP : que Harry et Sirius, deux êtres qui auraient dû recevoir tellement d'amour et auraient pu construire une vie et une famille tellement douce ensemble, ont vu cette possibilité leur être arrachée par les circonstances. Vraiment mon plus grand regret des livres c'est que Sirius n'ait pas l'occasion de faire venir Harry vivre avec lui ! Et bref, commencer le dernier chapitre de cette fic dont on sait déjà comment elle va finir par cette phrase... C'est cruel ><
J'aime beaucoup l'idée d'un Sirius qui a toujours privilégié l'amitié à l'amour, qui s'est plongé dans l'amour que ses amis lui portaient pour compenser celui que sa famille ne donnait pas. J'ai plus de mal à l'imaginer jaloux de James et de sa famille - je pense vraiment qu'il les considérait comme la sienne. Mais c'est déchirant de le voir aller vers la mort ainsi, presque en s'y attendant !
Merci pour ce texte en tout cas alrescha, je suis contente d'avoir pu le découvrir avec les JR !
Oh, Sirius :( Sa peine, sa solitude, son isolement, sa furstrations... sont difficiles à lire, mais bien racontés dans ce chapitre. J'aime là encore la manière dont tu lies ton récit et les pensées de Sirius à ce que l'on sait du canon. J'aurais peut-être aimé le voir plus avec Remus ? Quand bien même ils ne peuvent plus se transformer ensemble, j'ose espérer qu'ils ont passé de doux moments au Square Grimmaurd cette année-là malgré tout...
Mais sinon les émotions de Sirius sont très prenantes, c'est un texte vraiment touchant je trouve !
Bon, en cliquant sur un texte dont le résumé est "la dernière année de Sirius", je ne pouvais pas m'attendre à du très joyeux x) Mais j'aime bien cette idée, de le suivre pendant cette année, et de commencer par le moment où il prête le Square Grimmaurd à l'Ordre. C'est clair que ça n'a pas dû être évident pour lui...
J'aime bien que tu prennes le temps de mentionner Harry - parfois oublié dans les fics sur Sirius à cette époque, alors qu'il est quasi-certain que Sirius pensait beaucoup à son filleul. Il y a beaucoup de parallèle entre eux à cette époque d'ailleurs, tous deux subissent les décisions de Dumbledore et se sentent coincés...Et j'aime beaucoup le fait que la présence des enfants lui fasse du bien, même si c'est forcément à double tranchant.
Je regrette un peu que ce chapitre ne soit pas plus développé ? On sent un peu les difficultés que traverse Sirius, mais je pense que ce serait encore plus passionnant en plongeant plus en détails dans sa psychée !
Quelle fin :( tout aussi triste, ce texte, mais douloureusement brillant. J'aime bien l'idée d'un Sirius jaloux de James et Lily et de leur fils et en même temps je ne le percevais pas du tout comme ça. Comme tu l'as écrit, j'imagine bien Sirius accorder beaucoup plus d'importance à l'amitié et à la sûreté de ses amis qu'aux relations amoureuses. Mais alors cette fin :( Sirius n'était définitivement pas du genre à se laisser enfermer. Ça l'a tué.
Oh non :'( tu viens de me torpiller le cœur. Sirius qui pleure, c'est un monde qui s'effondre. Tous ces regrets et ces remords, c'est pesant. Quand on y pense, Sirius a passé 36 années plus pénibles qu'heureuses, de sacrifices et de danger. La guerre a emporté son frère et ses meilleurs amis, et il voit Harry s'en aller vers un destin de plus en plus sombre sans pouvoir rien faire. Et les sarcasmes de Rogue qui n'aident pas... :( Et cet ennui qui le tire vers le fond. C'est très bien écrit, on a l'impression de se prendre un coup de poing dans le ventre en te lisant. :'(
Hello Alrescha ♥
Je commence tout juste les JR avec cette sélection de textes sur Sirius. ^^
J'aime beaucoup ce premier texte, on sent l'amertume de Sirius qui flotte au travers des descriptions que tu nous sers du 12 Square Grimmaurd. Cette maison n'en devient que plus sombre par le biais de son regard. Et quelle horreur pour lui d'y retourner après avoir réussi à s'enfuir. Certes, c'est un pied de nez à l'idéologie sang-pur des Black, mais ça ne suffit pas à rendre Sirius fier et utile. On sent qu'il a la conscience qui le travaille et que même les rires des Weasley ne pourront pas effacer sa culpabilité. C'est horrible. :'(
Mais très bien écrit et très beau !
Pauvre Sirius. J'adore ce personnage mais sa vie n'a été qu'un gros gâchis.
merci pour ces moments avec lui que tu as écris.
A bientôt pour d'autres lectures.
Eve
Salut,
je suis conquise par ce premier chapitre. Sirius qui se retrouve enfermé dans la maison de son enfance. Pire qu'Azkaban. Quoi de pire pour lui que ressasser son passer !
à bientot
Eve
Je viens de finir ta fic (je garde quelques Reviews pour les deux autres jours). Je l'ai trouvée vachement sympa sur Sirius et bien intégrée dans le canon.
La mère était vraiment horrible, et le reste de la famille guère mieux. on comprend mieux Sirius quand il dit "qu'il les haïssait tous". Tu fais vraiment un portrait de cette famille qui montre parfaitement l'arrière-plan de Sirius et on sent qu'il revient de loin. Après, je l'aurais peut-être vu résister davantage et braver ses parents: le coup où sa mère le prive de repas par exemple, je l'aurais bien vu résister, ou "tout casser" car il me semble avoir une personnalité suffisamment forte pour rendre coup pour coup.
Cependant j'apprécie aussi beaucoup ton interprétation qui montre très bien les pressions qu'il a subies.
En fait sa mère, elle est carrément toxique (en plus d'être complètement bornée: dans le style congénitaux ça donne plutôt bien). J'ai adoré l'intégration d'Alphar Black.
C'est encore moi!
Très intéressant cette relation de Sirius avec ses deux parents. Le père a quand-même l'air pour l'instant moins antipathique que la mère. Au moins il essaie de trouver des côtés positifs. L'idée que Sirius n'ait pas été aussi sûr de lui que ce qu'on en voit à la fin du sept me plaît bien aussi.
j'aurais bien vu le père glisser un commentaire sur Potter vu qu'il est de sang pur mais bon...
Qui sont les deux cousines? Androméda et Narcissa j'imagine.
Oh la la, j'adore la façon que tu as de représenter le Square Grimmaurd comme un temple de la mort, dès le début, avec le départ de la "vie" symbolisée par les enfants, et ce concept de "demi-vie" qui est si vrai et j'ai adoré cette phrase : "Oui, c’était parfait… si on voulait y mourir.". Enfin elle me brise le cœur mais je la trouve si juste dans la bouche de Sirius. C'est terrible, ces souvenirs qui le hantent et tous ses regrets... Je trouve que tu passes un peu vite au département des mystères, ça manque d'une petite transition (peut-être aurait-il fallu un troisième chapitre ?) car j'étais bien dans une atmosphère plus contemplative et mélancolique, et, du coup, tous les questionnements autour d'un potentiel fils qu'il aurait aimé avoir arrivent un peu trop vite, ça aurait gagné à être plus développé ! Ceci étant ça reste un joli texte et un bel hommage pour Sirius alors je te remercie encore une fois de l'avoir écrit et je te redis aussi un grand bravo :D
Réponse de l'auteur: Coucou ! Je t'avoue que j'ai hésité à développer davantage. Je ne l'ai pas fait car j'avais peur de me répéter sans rien apporter de plus. Merci à toi d'avoir proposé ce projet !
Hello Alrescha ! Déjà je te remercie d'avoir participé au projet et d'avoir rendu un hommage à notre amour de Sirius <3
Je trouve ton texte intéressant, il y a des passages qui m'ont interpellé, notamment celui où l'on comprend que Sirius a proposé le square grimmaurd sans y réfléchir (j'aime bien cette interprétation), cette phrase me plait beaucoup : "la mort s’était plus installée en lui ici que dans sa cellule à Azkaban" elle est puissante et en même temps déchirante, tout comme celle-ci qui m'a beaucoup émue : "le coutelas de la nostalgie et de la tristesse saignait Sirius. A mort.". Tu retranscris bien son impuissance, son impatience (malgré la prison haha) et j'aime aussi que tu parles d'Harry (tu es le seul des trois textes que je lis à l'avoir évoqué) et de leur relation si forte, si particulière, et aussi que tu pointes un peu du doigt la stupidité de la part de Dumbledore d'avoir voulu le mettre de côté. Tout comme j'adore que Sirius retrouve en Fred et George ses actes passés et que cela accentue sa douleur. C'est un texte très doux-amer qui donne envie de connaître la suite (que je m'en vais lire de ce pas)
Ta fic est très bien, mis à part ce détail "C’était le plus gros risque qu’il ait pris de sa vie : mentir à notre mère." en parlant de Regulus. Je pense que détruire un médaillon-horcruxe dans une caverne protégée par des Inferi, une potion qui affaiblit, et qu'il faut ouvrir en se faisant saigner est bien plus dangereux que de mentir à sa mère, fût-elle une c******e comme Walburga Black. Mais à part ça, j'ai bien aimé, ça colle au canon, on sent bien la violence dont fait preuve Walburga, le dégoût de Sirius envers les idées de sa famille, sans oublier la difficulté de Regulus pour prendre position.
Ah la rupture a bien eu lieu. J'ai apprécié le vice de Sirius d'attendre le moment opportun pour se délecter de la réaction de ses parents. J'avoue que le clash ne m'a paru pas si énorme que ça - même si se voir marier de force n'a rien de génial évidemment !
La fin, avec le bon accueil de James, m'a bien plu.