C'est étrange. Mélancolique et triste. Je me suis dis, au tout début : Comment une mére peut être aussi insensible. Mais, je me suis trompée, Regulus elle l'aime sauf que son éducation l'empêche de le montrer. J'aime ta façon d'écrire, c'est très doux et simple et j'avoue que ma phrase préférée est celle du résumé- c'est d'ailleurs pour ça que j'ai prit le temps de lire ta fiction. Le résumé est accrocheur.- J'ai étais surprise par la façon dont tu vois Orion, dans toutes les fictions que j'ai lu, c'était plutôt un homme froid et insensible. C'est un bon point de vu et j'avoue que c'est sympa de l'imaginer comme un pére aimant un peu soumis à une femme autoritaire ( ça m'a rappelé Vipére au poing, m'enfin, je m'égare ). J'adore la fin aussi, tu n'aurais pas pu faire mieux !
Ah, et je voulais dire : C'est scandaleux, tu as au moins 100 personnes ayant lu ta fiction et seulement 4 commentaires ?! Non, mais ! Où va le monde ! Aucun respect.
Réponse de l'auteur: Ah, le cas d'Orion... En fait, je dois avouer que je lis très peu de fics sur les Black, pour ne pas dire aucunes. Peut-être justement parce que je n'ai pas envie de me laisser influencer, je ne sais pas. Mais en tout cas le personnage d'Orion me paraît être assez complexe, d'apparence dur et en même temps effacé... Il y a de quoi creuser, quoi :D Merci beaucoup pour ta review !
C'est... retournant. La souffrance de Walburga est parfaitement décrite. Je ne pensais pas que l'on pouvait y arriver avec autant de finesse quand on voit le personnage. Surtout son caractère. J'adore. "Et elle le sent déjà au fond de sa gorge qui se noue en même temps que sa chair et que son sang, ce langage de toutes les mères sans enfant."
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup, vraiment =)
Oh, c'est... Horrible...
L'attente d'Orion à s'en laisser mourir (les dates parlent d'elle même)
Et Walburga, qui se convaint qu'il n'est pas mort, refusant d'ouvrir la porte par peur de voir la date fatidique en dessous de son nom...
Et Kreattur, qui a dut se faire violence pour ne pas dire la verité, il a du garder ce secret pendant si longtemps...
Et Sirius ? A t-il seulement appris la disparition de son frère (journaux ou autres) ?
C'est horrible, cette attente, cet espoir qui est ruiné...
Et la mort de Reg' est si inutile que c'en est encore plus bouleversant... Mon dieu, Aosyliah, tu manies d'une façon magnifique les Black, et ce, pour mon plus grand plaisir.
Je te donne 10 sans aucune hésitation...
Réponse de l'auteur: Comment Sirius a appris la disparition de son frère ? Bon sang, si tu savais comme je retourne cette question encore et encore, sans trouver une seule explication qui me satisfasse entièrement... C'est un vrai mystère ! Merci beaucoup pour cette très belle review, Laly, elle me touche énormément !
Touchant. Totalement en accord avec le personnage de Walburga que j'imaginais. J'aime bien ton Orion aussi : tu as réussi à faire vivre un personnage qui pour moi n'avait aucune substance.
J'aurais aimé voir le moment où ils se rendent à l'évidence, savoir comment tu envisages leurs sentiments...
Réponse de l'auteur: Le truc, c'est qu'ils se sont déjà rendus à l'évidence, à vrai dire. Et leur réaction, c'est donc le déni, pour tous les deux. Faute de preuve, ils préfèrent "attendre", alors qu'au fond (et pas si loin que ça), ils savent déjà que Reg est mort. Orion en tombe malade (il meurt la même année que Reg, selon l'AGB), et le fait que pour Walburga "demain ne viendra pas" montre qu'elle sait qu'il ne reviendra pas, et qu'il n'y a plus aucun espoir, bref, qu'il est mort. Seulement, ils préfèrent faire semblant de ne pas savoir. Woilà, woilà ^^
Mon Dieu que cette fic est belle !
L'histoire d'une mère et d'un père se voilant la face, ne voulant pas comprendre que leur fils est mort, c'est ... beau. On ressent ce que cette mère ressent, on comprend ce qu'elle vit. Et je la plains moi. Elle m'a mise les larmes aux yeux, en niant la réalité, préférant attendre encore et encore, cette Walburga. Elle me parait cruelle mais elle parait aussi fragile par sa vulnérabilité.
Et cette attente qui leur parait interminable.
Je voudrais dire que cette fic est magnifique mais elle est trop cruelle, l'espoir paralysant ces parents, les détruisant petit à petit. Mais elle est belle, indubitablement.
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup Onde ! Avec ce qu'on sait de Walburga, c'est dur d'imaginer de prime abord qu'elle est une mère, malgré tout, et même si elle a renié Sirius. Et justement, ça rend la disparition (puisqu'au final, je me dis qu'ils ne sauront jamais ce qui est arrivé à Regulus) de Reg est encore plus cruelle, surtout qu'ils n'ont aucune information, et ne rien savoir est sans doute ce qu'il y a de pire, et comme tu le dis, ça les détruit petit à petit (d'ailleurs, Orion meurt la même année que Reg, et dans cet OS, j'ai voulu montrer aussi que ce n'était peut-être pas par hasard). Enfin bref, voilà. Merci beaucoup, encore une fois =)
Waouh ! Je dois dire que ton Os m'as vraiment marqué ! Bravo ! Il est très agréable à lire et la description est superbe =D.
J'aime beaucoup la façon dont tu expose la situation, la relation entre Walburga et Orion, cette ignorance de Sirius etc...
Super OS ! =)
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup !
"Et elle le sent déjà au fond de sa gorge qui se noue en même temps que sa chair et que son sang, ce langage de toutes les mères sans enfant."
C'est une belle phrase, cela me fait dire que j'aime ton texte pour sa concision, mais aussi et surtout pour ce qu'il n'est pas.
Pas de sentimentalisme à propos de Sirius, pas de bon fond chez Walburga. Elle est terrifiante de rigidité et d'aristocratie pleine de morgue, et si je n'ai pas pitié d'elle, je trouve enfin une autre partie d'elle. Elle est humaine, et cela n'amène aucun réconfort parce qu'elle ne l'acceptera pas. Cet OS est angoissant, parce qu'au-delà de la perte de Walburga, il y a ses convictions d'étiquette auxquelles elle sacrifie tout. L'effet de pointe est parfait. Alors que je trouvais que le titre faisait allusion à James Bond, cette impression m'a quittée sitôt que j'ai fini ton OS. En fait, je crois qu'elle est pathétique et qu'elle me fait pitié. Toutes leurs vies ont été gâchées par la tradition des Sang-Pur.
Merci.
Réponse de l'auteur: C'est, je pense, tout le tragique des personnages tels que Walburga, qui mettent leurs convictions et leurs principes au-dessus de tout, y compris de la vie, et de leurs proches. Walburga en est le parfait exemple, et franchement, tout ce que tu dis là me fait extrêmement plaisir, parce qu'il n'y a pas de place pour le sentimentalisme dans ce contexte, malgré mon moi intérieur qui pleurniche devant tout ça.
Bon bon bon... C'est pas facile parce que j'aurais l'impression d'être redondante. Mais en même temps, je crois que je ne dirai jamais assez que tu es douée, Ao. Ou plutôt, tu es forte. Très forte, même, parce qu'un jour après avoir lu ce texte, j'ai toujours à l'esprit la claque que je me suis prise. Je me suis déjà dit que, bien sûr, on y était. Que bien sûr, t'avais raison pour Orion. Mais je ne l'avais peut-être pas encore réalisé. Vraiment très forte.
Et puis il y a cette façon que tu as de creuser tes personnages. Là, tu t'es attaquée à un gros morceau parce que j'aime bien Walburga. Je la trouve hautement intéressante, je la trouve infiniment plus complexe que beaucoup d'autres personnages. Pour moi, elle n'a jamais été une vieille folle pleine de méchanceté. Et là ben... Là t'es juste géniale en fait. Là on a une Walburga tellement proche de ce que j'espérais qu'encore une fois, je suis restée sur les fesses après la lecture.
Pour finir, il y a cet espèce de tragédie en fond, cet vérité qu'on connait. Cette fin inévitable que tu nous rappelles dans chaque phrase. C'est triste, mais c'est beau. Voilà, encore une fois, ce que tu écris est *beau*.
Réponse de l'auteur: Ah, Shaman ! Tu devrais plus souvent m'écrire des reviews "nulles", parce que je t'assure, ça remue bien ! Ca m'étonne toujours de voir à quel point, au fond, on a la même vision des personnages. A chaque fois que tu me dis que ça correspond à ce que tu imaginais, ça me fait vraiment vraiment vraiment plaisir. Et après, y'a évidemment tout ce que tu dis autour de ça, et qui est juste... pfiou !
Vraiment bien. Orion, Walburga tout était parfait. Magnifique !
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup ^^
Bon, je devais normalement rédiger ma dissertation sur les avantages que procure la RSE aux entreprises, commencer mes traductions, revoir le droit des SARL...et, par hasard, en cherchant une information purement pratique sur la traduction du mot HolzschneideKunst(xylographie en allemand), je suis tombé sur Hpf, section nouveauté. (comme quoi, les études mènent à tout).
Et, dans les nouveautés, il y avait un drôle de titre : demain ne viendra pas. Ca n'avait pas vraiment de rapport avec mon étude de xylographie allemande, mais je me suis dit que ça pouvais toujours être utile (au cas ou on parle de xylographie harry potterienne) et j'ai cliqué.
Je suis alors restée totalement ébahi devant la merveilleuse gravure maternelle offerte. Des contours nets dans un bois noble pour tracer un portrait d'une femme rigide, des craquelures qui se marient à la première couche de peinture et le tout qui s'écaille lentemment pour vernir le tableau et tisser une toile sombre, une étoile qui brille par son absence en laissant derrière elle comme un trou mal placé dans une tapisserie.
La xylographie est un art ancien mais cette gravure récente qui date de demain offre un visage peu commun, et bien nouveau pour moi, du tableau de Mrs Black.
Tout ça pour dire que je ne sais pas vraiment si cet OS va m'aider à terminer ma traduction sur les études contemporaines de xylographie en bavière, mais qu'il m'aura en tout cas déssiné un nouveau morceau de la tapisserie toujours pure des Black, à la date de demain.
Merci beaucoup pour ça !
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup R_Even ! Et bon courage pour la xylographie bavaroise :D
C'est super triste, mais en même temps, tellement beau, tellement Black... C'est terrible. cette froideur, cette indifférence pour Sirius: "C'est mon fils unique". Et cette attente interminable, de tous les instants, de la peur. Même si Walburga n'avouera jamais qu'elle craint pour son fils. Cette tapisserie qu'elle ne veut pas voir, c'est...
Tu as vraiment su toucher juste, c'est tout simplement magnifique. J'ai vraiment aimé ce texte.
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup Ginny ! J'ai quand même eu du mal avec le "c'est mon fils unique", c'est tellement dur et définitif. Mais bon, il le fallait !
Waouw. Waouw. Waouuuuw ! Déjà, le titre m'a attirée tout de suite. Le résumé est très beau, et puis les deux phrases dans le contexte le sont encore plus. l'image intrigue, je ne pensais pas à Walburga, au début. Enfin, ton texte. Tout bonnement magnifique, cette relation entre elle et Orion, et puis cette inquiétude qui va crescendo, et pourtant, elle ne veut pas le reconnaître, alors elle est cachée derrière ses colères, et ça, c'est juste plus fort que tout. Ce qui m'a particulièrement émue, c'est le fait qu'elle n'aille pas dans le salon, là où se trouve l'arbre généalogique, parce qu'elle a peur, et là, à ce moment, elle paraît si humaine, si faible, c'en est bouleversant ! Au début, je n'avais pas pitié d'elle et j'espérais secrètement qu'elle découvre qu'en fait, il a voulu nuir à Voldemort, mais tes derniers paragraphes m'ont fait regretter ce sentiment, parce qu'après tout, avant d'être une partisane des forces du mal, elle est une mère qui a été trahie par son premier enfant et qui a peur de perdre son deuxième ... une mère comme tant d'autres... En tout cas, merci pour cet OS Ao, il est tout simplement magnifique.
Réponse de l'auteur: Alors là Aka, tu ne pourrais me faire plus plaisir. Parce que c'est exactement ce que je voulais faire, montrer qu'en dépit de l'horrible de ce personnage, c'est aussi une mère, et les sentiments qui vont avec. Alors franchement, merci, merci mille fois !