Wouaw ! En si peux de mots, tu arrives à faire passer tant d'émotions, c'est très réaliste ce que tu décris, juste aussi. Tu as de très belles phrases et chaque mot est à sa place, l'ensemble est vraiment magnifique. Je dois dire que tu m'a scotché. @_@
Bravo, j'ai vraiment trouvé que c'était magnifique !

Réponse de l'auteur: Non, c'est moi qui dit Wouaw pour ta review qui est vraiment vraiment bourrée de compliments qui me font rougir. Bwouah! Cela me fait juste immensément plaisir. Merci Merci Merci!

Il est cruel ton drabble. Il est dégueulasse. J'ai été un souffre-douleur et tu m'as replongé, tête la première, dans toute l'horreur que j'ai vécu. C'était plus physique que ce que ton OC a vécu mais ça ne change rien, au final. On souffre et puis voilà. On est seul contre tous, on est seul et ça nous rend un peu plus différent et ça nous plait un petit peu. Mais qu'est-ce que j'aurais pas donné à l'époque, pour être tranquille et normale. Parce que s'il y a bien un point avec lequel je ne suis pas d'accord, c'est qu'on ne se fait jamais harcelé par hasard. "Tu te demandes pourquoi c’est à toi que l’on a offert cette couronne odieuse et pas à un autre." Dans ces moments-là, on a pas à se demander pourquoi, on sait bien ce qui nous est reproché. Que ce soit d'être roux, intelligent, noir, stupide, étranger, malade. Il y a toujours une raison, stupide, certes, mais elle est là.
Je ne sais pas si tu as vécu tout ça mais tu retranscris les choses avec brio, avec de jolis mots, sans tomber dans le mélodrame. J'ai pleuré et j'ai adoré et je ne saurais dire à quel point ton drabble m'a touché.

Réponse de l'auteur: J’écris. J’efface. Cela fait déjà quelques minutes que je patine. Incapable de répondre. Un Merci serait loin d’être suffisant. J’aimerais dire que je suis désolée. Je ne m’attendais pas à susciter cela. Ce Drabble était un purgatoire écrit avec la rage au cœur. Un vague truc balancé sans réaction. J’avais l’illusion d’être tombée à côté de la plaque. De manquer de justesse. Je n’ai jamais été souffre douleur. Jamais violentée. Mais je connais la solitude à demi recherchée à demi subie. Je connais la douleur d’être « différente ». Merci pour ton commentaire, il m’a vraiment touché.