C'est de la pépite ton texte. Je ne sais pas quoi dire d'autre. Tellement bien écrit.
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup !
Le début est magique. J'ai eu l'impression de plonger dans un conte de fées délicat, avec des personnages naïfs et délicieux.
C'est tout doucement que ça tourne mal, c'est insidieux et c'est écrit avec virtuosité. Zacharias avait de plus en plus peur du rosier qui grandissait au bord de ses lèvres. Les injures qu'il retenait sortaient en épines noires et les tendres murmures s'évanouissaient en pétales fanés. Tout est dans cette phrase. C'est là que le conte de fées est piétiné.
Tu distilles tout au long du texte la psychologie de Zacharias, et rien que pour ça je m'incline très bas. Le Zacharias que tu décris est aussi égoïste que celui de J.K.R, mais c'est d'une manière plus fragile, plus délicate (décidément, je crois que c'est ce que ton texte m'inspire presque paradoxalement - de la délicatesse). Et la réaction des adultes est vraiment bien dosée, et il n'y pas que le portrait de Zacharias dans ce texte, il y a celui de Zacharias et du monde qui l'entoure. J'ai vraiment eu l'impression de revoir Poudlad à travers le prisme Smith, c'était très déroutant et très agréable.
Sinon, je m'attendais pas du tout à cette fin que tu as proposée - la mort de Harry, et un moment j'ai cru que c'était un UA total. Et puis, je me suis souvenue que Harry meurt effectivement une fois, et j'ai trouvé que c'était du gâchis que Zacharias ne continue pas à se battre - pour moi, après la dernière lettre de ton texte, il est devenu un arbre - et qu'il n'ait pas gardé espoir plus longtemps. Et ça peut paraître étrange, mais je te remercie pour m'avoir fait ressentir une si grande frustration, et d'ailleurs merci tout simplement d'avoir écrit ce texte, merci et bravo !
C'est tout un ovni, ça. Comme d'habitude, je ne sais pas vraiment quoi faire de textes, outre que d'aimer les lire, évidemment. Ils sont tellement spéciaux et celui-là est à mon avis, l'un de tes plus étranges, même si je ne suis pas tout à fait capable de voir la signification de cette transformation. N'empêche, l'utilisation de Zacharias est bien intéressante, ce Zacharias qui se cache des autres dans la salle commune et qui finit par se transformer lorsqu'il ne peut rien faire, ne pas effectuer ce geste qui l'aurait rendu bon et utile.
"Sûrement parce qu'elle devait être amoureuse du professeur Dumbledore et que, depuis que Rogue était devenu directeur, c'était elle qui avait une gastro chronique."
Déjà... Cette phrase ! J'ai adoré !
L'échange avec Hagrid est parfait aussi, j'adore ces phrases courtes qui veulent tout dire !
Pour le reste ma fois, tout le long je me suis demandée ou tu voulais en venir, peut être un cauchemar qui n'en fini pas, mais non. Une idée très interessante, avec de très bons passages et une idée assez loufoque qui cache une belle tragédie.
bravo !
Je me répète, mais vraiment, j'aime beaucoup ce que tu as fait de Zack, ce petit gars dont je me suis toujours demandé ce qu'il faisait à Poufsoufle selon les critères du choixpeau. Parce que quand on parle de Poufsoufle, on pense davantage au gentil Cédric Diggory quoi^^. J'aime assez la façon dont Zack change d'avis, d'abord fier de ce rosier et le craignant au final..
CETTE FILLE EST FOLLE.
Je ne trouve rien d'autre à dire pour avoir eu le culot d'inventer un texte pareil, avec une idée aussi bizarre qu'extraordinaire. Je ne cesse de m'émerveiller devant ce que tu écris, face aux personnages que tu dresses et ces petites choses qui sont très Lila, très Luciana, des choses que j'aime et qui j'espère ne disparaîtront jamais !
Bravo Luciana !
Réponse de l'auteur: Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? Tout le monde va savoir qui je suis dans La courtoisie des alligators. Bravo Hugo, je ne te félicite pas, mais alors vraiment pas, je t'enverrais un cadavre d'écureuil par la poste la prochaine fois. Bravo, vraiment. Humpf. (Oui, je réponds à cette review 3000 ans après. Et quoi, kestuvafère ?)