WHAOU toi tu as du talent... merci pour cette nouvelle...
WHAOU toi tu as du talent... merci pour cette nouvelle...
Whhhhaaaaaou. Je poste a l'instant un drabble sur Walburga, je décide de faire un tour sur le site, et je tombe sur ton texte. Je suis en train de me demander si il existe vraiment un hasard... Bref.Ton texte retranscri très bien, parfaitement bien, Walburga Black. Son début de folie, aussi, parce que être attaché a ses marionnettes, comme ça, faire des comparaisons avec le tableau, la marionnette et ses enfants, c'est une graine de folie, non?
Le flou de la fin est bien mené, je trouve. Comme une conclusion, et on a l'impression que le tableau hurlera éternellement, c'est une sorte de fin horrible.
Bravo pour tes description, merci de nous avoir laissé entrer dans la tête de Walburga!
A bientôt,
Jeanne
Je crois que c'est la première fois que je lis un texte sur Walburga et j'ai l'impression que si j'en lis un autre, ça n'égalera pas celui-là. L'idée du portrait pour la décrire est simple et en même temps tellement judicieuse, c'est à travers celui-là que nous la connaissons et tu apportes vraiment quelque chose à son histoire. On dirait que tu as été dans sa tête.
Réponse de l'auteur: Comme je le disais à DarkWave, c'était également la première fois que j'écrivais sur elle et c'est pour ça que j'ai décidé de partir de l'une des seules choses qu'on connaisse d'elle à travers les romans : son portrait. Je suis ravie que l'idée t'ait plue, en tout cas, et merci infiniment pour ta review !
J'ai regardé l'image et elle est splendide ! Ce que je vois dans le regard de Walburga, tu l'as très bien retranscrit dans ton histoire. C'est plutôt drôle qu'elle considère Sirius comme sa parfaite marionnette quand on sait qu'il est le seul qui lui tiendra tête. Elle accepte sa condition et pour avoir du pouvoir, elle se fait désirée par son mari, elle projette de faire de ses fils des parfaits héritiers obéissants qui représenteront la famille Black. Walburga est très captivante et je n'avais jamais lu de texte sur elle.
Réponse de l'auteur: Eh bien, ça fait très plaisir de recevoir une nouvelle review quelque temps après la publication de cet OS, et surtout une review comme celle-ci ! Pour Sirius, j'ai justement joué avec le fait que le lecteur connaisse la suite de l'histoire. Vraiment, je suis super contente si j'ai réussi à faire passer quelque chose avec ce texte. Merci pour ta review !
Comme tout valentine consciencieuse se doit de le faire, je vais commencer par mes critiques...
Bon, premièrement, il y a des moments où j'ai vraiment eu du mal à suivre ce qui se passait. Toute la partie après la présentation du premier tableau... Est-ce que le peintre l'a embrassée ? A tenté de lui faire l'amour ? J'ai beau relire, je n'arrive pas à me décider si c'est le cas ou non. De même, il y a plusieurs passage où j'ai du relire plusieurs fois les paragraphes pour être certaine d'avoir compris ce qui s'y passait ; c'est un peu trop obscur.
Deuxièmement, j'ai bien peur de n'avoir pas d'autre critique ! Vraiment, tu as une écriture qui prend aux tripes. J'aime la dualité entre les sentiments forts de Walburga et son apparence figée. J'aime sa manière d'apréhender son devoir, ta manière de l'écrire, plutôt. Et j'aime l'idée de raconter la genèse d'un objet qu'on voit autant dans les romans sans se poser plus de question à son sujet.
Non, vraiment, le principal c'est de manière d'écrire, le vocabulaire que tu utilises, la tournure des phrases, qui sont tellement adaptés à la situation.
Un grand merci pour m'avoir sortie, le temps d'un chapitre, de l'insondable misère littéraire de mon quotidien.
Réponse de l'auteur: Tout d'abord, merci de m'avoir fait part de tes critiques. Le passage dont tu parles était volontairement flou, mais il était censé être éclairé par la fin du texte. Si on demeure dans la dimension "réelle", on peut dire que le peintre a tenté d'embrasser Walburga, parce qu'il y a ce côté interdit (Walburga est mariée), entre autres, qui les attire inexorablement l'un vers l'autre. Si on passe à la dimension un peu plus "capillotractée", c'est la fin du texte qui est censée expliquer qu'il n'y a jamais eu de peintre, que c'est Walburga qui a fait son autoportrait, et qu'elle est attirée par le peintre parce qu'il s'agit de son double qui a réussi à s'affranchir des convenances, et à laisser libre-cours à son désir de peindre. Voilà, le texte était donc fait pour être un peu obscur, mais si tu n'as pas saisi ce que je voulais faire passer, c'est que c'est entièrement de ma faute et que je me suis plantée quelque part.
Merci d'avoir reviewé, en tout cas, et pour tous ces compliments sur mon style qui me vont droit au coeur ! (et ta dernière phrase, gosh...)
Ce côté si, si... Si Black est enivrant. Je n'ai pas arrêté de relire ce texte depuis que tu me l'as envoyé. Pour dire vrai, je n'attendais pas grand chose de mon destinataire, je ne pensais pas être satisfaite ni que quelqu'un ai exactement cette même vision des Black, cette vision pleine de consanguinité, de folie mais qui ne tombe pas dans la folie banale. Il y a souvent des textes sur Bellatrix, par exemple, qui sont si caricaturaux qu'ils tombent dans le risible, mais là pas. On a la même vision des Black, cette vision d'apparence parfaite, de tout focalisé sur les apparences. Je tire mon chapeau bas parce que ce texte, c'est de la bombe atomique.
Réponse de l'auteur: Quand j'ai vu que j'étais tombée sur toi, j'ai tout de suite voulu écrire sur les Black. Et j'ai eu envie d'un texte fou, mais comme tu le dis si exactement, pas d'une folie banale, d'une folie légère et plus insidieuse. En tout cas, je suis vraiment heureuse que ce texte t'ait plu ! Merci d'être repassée reviewer.
C'était très prenant, j'ai beaucoup aimé.
Il y a un côté dur, précis et droit, un côté Black. Et un côté brouillon, brumeux, artiste. Un côté où on ne sait plus qui peint ni ce qui est peint. Le mélange des deux est exquis, ton texte est superbe.
Réponse de l'auteur: Merci infiniment pour ta review, tu ne peux pas savoir à quel point elle m'a fait plaisir !
Ah, je suis tellement heureux de voir cette fic enfin publiée. Cet OS est juste extraordinaire, dès que je l'ai lu, j'ai su qu'il allait être génial.
C'est drôle parce qu'entre le moment ou j'ai bêtaté ce texte et le moment où Luciana l'a reçu, j'avais oublié que c'était elle ton destinataire. Alors, elle m'a envoyé un MP en me disant que le texte qu'elle avait reçu était *dead* et qu'elle était vraiment trop trop trop content et je me suis demandé "mais qui a bien pu faire un texte qui l'a rende aussi contente ?"
Bref, je me suis souvenu que c'était toi et que ça ne m'a pas étonné. Ton talent est vraiment flagrant et tes idées sont toujours aussi bien menées et subtiles. Bravo Eni-Gwada, j'aime et j'adore ce que tu écris !
Réponse de l'auteur: Eh, c'est moi qui suis *dead* en lisant ta review ! Je suis toujours un peu perplexe devant tant d'enthousiasme quand on m'en témoigne, mais je t'avoue que venant de ta part, je prends (et sans hésiter !). Merci d'être passé reviewer, tu m'as corrigé le texte alors que j'étais un peu limite niveau date, et tu m'as permis de retoucher le texte pour qu'il soit compréhensible. Je pourrais te remercier pour un tas d'autres choses encore, mais je pense que tu comprendras tout ce qu'il y a derrière ce dernier merci...