*review de Noël*

Wow, ça c'est un texte que je n'oublierai pas de si tôt ! Enfin, le meurtre de la soeur, à la limite, avec les fics de tous les sadiques qu'il y a sur HPF ^^... Mais en tout cas, ce qui est inoubliable, c'est la musicalité de tes mots, le rythme que tu insuffles à tes phrases, les sonorités qui résonnent et se bousculent au fur et à mesure de la lecture... C'est impressionnant ! En parcourant le forum, j'avais à peu près compris que Dolohov c'était un peu ton chouchou, mais cette fois j'ai vraiment compris pourquoi. La jalousie maladive, la curiosité malsaine, les pulsions meurtrières... C'est terriblement bien écrit. Et le titre que tu as choisi est absolument génial (on n'en est qu'à la moitié de l'année, je ne suis pas encore révulsée par tout ce qui touche à l'autobiographie ^^), c'est vraiment une bonne idée ! Le "confessions", quoi... Ça te frappe à la fin de ta lecture, quand tu fais remonter le curseur pour t'imprégner une nouvelle fois du texte. Parce que confession oui, demande d'absolution non (et paf, prends ça dans les dents Rousseau ! Désolée, je ne le supporte absolument pas, lui, par contre ^^).

En tout cas, c'était vraiment un texte magnifique ! Bravo et merci, je te souhaite en avance de passer un Joyeux Noël !

Réponse de l'auteur: Gnnnn, merci beaucoup !! Tu as raison, Dolohov est effectivement mon chouchou (ex-æquo avec mon Scabior d'amour quand même). Du coup j'suis contente de te l'avoir fait "découvrir" avec ce texte ! Si j'ai réussi à te faire un petit peu rentrer dans sa tête complètement fucked up, c'est que j'ai atteint mon but ^^. Un grand merci du coup, d'avoir lu, d'avoir apprécié et de me l'avoir dit ! Et merci pour les compliments, notamment sur le titre (honteusement piqué à Musset) :)

Coucou Kriss

Je me souviens avoir lu de toi l'été dernier dans le cadre de "à vos claviers prêt partez" un texte sur Anouchka, comme quoi elle avait dix ans et tout (enfin pour l'âge je n'en suis pas tout à fait sûre) et finalement à la fin on comprenait qu'elle était morte ! Donc bref tout ça pour te dire que ce texte-ci m'a rappelé ce dernier, désormais je sais pourquoi elle est décédée !

Sinon j'aime beaucoup le style de ce texte, bon c'est très sombre on ne va pas se mentir, mais j'aime bien quand même ! Antonin n'aurait pas dû fouiller dans les affaires de sa petite soeur, la curiosité c'est très mal. En plus il n'aurait pas su qu'il y avait un garçon au village qui aimera sa soeur pour l'éternité !

J'aime beaucoup la bouille de la petite fille que tu as choisi pour ta bannière, elle a de très jolis yeux et j'adore ses cheveux !

Bonne chance à toi pour la finale du concours !

Bisous

Réponse de l'auteur: Merci Claire ! Oui effectivement ce texte fait écho à celui de l'été dernier, et j'en écrirai sûrement d'autres sur la relation Anouchka-Antonin et la mort de la petite, parce que... Bah parce que je trouve ça passionnant :). Et je suis d'accord avec toi pour la bannière, cette fillette m'a émue avec son air sombre quand je l'ai vue sur deviantart ! Encore merci pour ta review, bisous :)

Un jour, il faudra que je prenne le temps de lire tous tes textes sur Antonin Dolohov, parce qu'à chaque fois, j'ai l'impression d'ouvrir un livre en plein milieu, d'en lire quelques pages et de le refermer, c'est affreusement frustrant !! (d'ailleurs, tu veux pas me dire dans quel ordre il est préférable de les lire ?)
Je sais pas si Anouchka m'insupporte ou me fait de la peine. Cette phrase "convaincue comme du lever du soleil que le monde existait pour être à ses pieds" est absolument superbe et la rend détestable. Mais celle-ci "Sa petite robe de satin faisait comme un linceul autour d’elle, et le sang qui s’échappait de son cou de cygne avait la couleur des plus belles roses du parc." est également superbe mais dégage tant de tristesse.
En tout cas, Antonin, je l'aime pas :P On rentre pas dans la chambre d'une fille sans sa permission, pour commencer !! Et on fouille encore moins dans ses affaires ! Nanmaioh !
Mais ce que j'aime vraiment dans ton texte, c'est la façon que tu as de construire tes phrases, le vocabulaire que tu utilises, on se sent immédiatement transposé à la cour de Russie, tout de suite je me retrouve dans un décor qui ressemble à la jeunesse d'Anastasia Roumanov dans le dessin animé et c'est fabuleux *_*

Réponse de l'auteur: Mraow, merci Vegeta :3 Je comprends ta remarque à propos de mes textes sur Antonin. C'est compliqué de te donner un ordre dans lequel les lire, parce que moi-même je ne les écris ni ne les publie dans le bon ordre ^^. J'ai une fic longue en travaux qui retrace en gros toute sa vie, mais je crève d'envie de raconter des épisodes précis et j'peux pas m'empêcher de les raconter en plusieurs fois, selon plusieurs POV. Genre la mort d'Anouchka, ça fait déjà deux fois que j'en parle, et je la développerai dans une petite fic bientôt, et j'y refais encore allusion dans la fic longue. Donc bref, tout ça pour te dire que c'est compliqué de te donner une chronologie de lecture, désolée x) Concernant Anouchka, je ne sais pas non plus si je l'aime ou si je la déteste. A la base, je voulais en faire une victime innocente, mais il m'a paru plus crédible d'en faire une petite impératrice, parce qu'il fallait bien un caractère hors du commun pour se faire "adorer" d'Antonin. Et j'suis contente que ça t'ait rappelé Anastasia, parce que c'est bien entendu une de mes sources d'inspiration (le coffret-boîte à musique, notamment). Encore merci pour tes compliments et ta review Vegeta :)

Eeeeet ben !

Ah, pour le coup il est sacrément bien maîtrisé le personnage, chapeau ! Complètment tordu et en même temps y'a une certaine... Je dirais pas tendresse parce que Antonin quoi ! Mais je sais pas... Le "Always" est pour le coup sacrément bien représenté, tu parle d'un amour à sens unique ! Il fait même froid dans le dos. En tout cas j'ai adoré !

Réponse de l'auteur: J'suis contente que tu dises que je maîtrise Antonin, parce que ça fait longtemps que je le travaille mais il m'échappe encore parfois ^^. Et ui, du coup c'est un "Always" incestueux. Malsain mais jouissif à écrire :) Encore merci Lalaulau !