Cette lettre est atroce et pourtant si magnifique. Elle vient nous rappeler le lien unique entre les deux jumeaux. Parce que pour moi, ils ont toujours été l'allégorie de la vie, à travers les livres et à travers les films. Rien ne les a fait vaciller jusqu'à la mort de l'un des deux. J'en suis encore attristée. Merci pour avoir rendu hommages à leur lien si unique.
Hey
Ta fic est vraiment super!
Comme j’ai toujours été très attachée aux jumeaux Weasley et que la mort de Fred a été un gros coup dur, j’ai dévoré ta fic super émouvante.
Bravo !
Spiritos
C'est génial!
Moi aussi la mort de Fred m'a beaucoup touché. Et ta façon d'interpréter les sentiments de Georges est très émouvante. Bref, j'adore!
Salut ! Ton texte est magnifique. J'adore les jumeaux et les textes sur George son pour moi difficile à lire. C'est trop triste, trop morne... C'est difficile d'écrire sur eux sans entrer dans le cliché. Je suis peut-être difficle, mais ces personnages me tiennent trop à coeur. Melanger ce texte avec cette chanson colle parfaitement et aide à illustrer.
Alors bravo et mes félicitations ! :)
Salut !
A chaque fois que je pense à Fred et George, à George sans Fred je me sens triste, je me sens mal, parce que même si ce sont des personnages de fiction, quand on aime Harry Potter ils font un peu parti de nous. Et donc quand je pense à eux je pense à George qui est resté et qui a continué, malgré ce "manque à sa vie" et je trouve que tu l'as très bien décrit. J'aime ton histoire, même si elle est courte, car elle est puissante.
Merci d'avoir écrit et partagé ce texte. :)
Mbc
Coucou, c'est la Valentine Bonus qui arrive par là, j'ai enfin pus accéder à ton texte malgré un retard conséquent, désolé !
Je ne connaissais pas du tout la chanson donc je l'ai mise en même temps en fond pour lire et je dois dire que j'ai adorée ta façon de l'intégrer parfaitement à ton récit !
"j’ai cherché les mots pendant longtemps mais ils n’existent pas" une phrase qui claque, courte, simple et triste.
"je suis resté figé à l’époque où tu étais encore là"C'est exactement comme ça que J'imagine George, coincé dans un monde qui avance sans lui, parce que sans Fred c'est trop dûr.
Je trouve très interessant cette façon de mettre Fred et George en miroir, de montrer qu'ils se confondent un peu l'un et l'autre.
J'ai trouvé tellement triste cette façon qu'à George de penser qu'Angelina aurait pus aimer Fred plutôt que lui, ça me fend le coeur et ma seule remarque "négative" pour le coup sur tous ton texte c'est ça, je voudrai en savoir plus sur elle, mais aussi sur Fred II, je voudrai que ton OS dure plus longtemps!
Une belle découverte en tout cas !
Encore une fois bonne saint Valentin en retard<3Biz
Awena
Je ne connais pas du tout cette chanson de Jean-Louis Aubert. J'avoue que je n'ai jamais trop écouté ses chansons mais tu l'as parfaitement intégrée à ton texte. J'aurais pu croire que tu l'avais écrit, que c'était en lien avec le texte et c'est ce qui fait, pour moi, la justesse d'une song-fic. Vraiment.
D'ailleurs j'adore ton dernier passage : "Il y a ce vide que tu as laissé, impossible à combler. Il y a ces larmes que tu ne peux pas sécher, cette tristesse que tu ne peux pas soigner. Il y a ces mots que tu ne diras jamais, ces moments que tu ne vivras pas. Il y a cette guerre qui m’a estropié, amputé de ma moitié."
Je trouve ce paragraphe très puissant et très beau.
J'aurais voulu un peu plus par contre. Sur Angelina notamment. et même tu m'as donné une idée, faire de leur premier enfant une sorte de béquille pour aller de l'avant. C'est horrible comme idée mais je pense que c'est possible ; plusieurs couples décident d'avoir un enfant pour essayer de repartir sur de nouvelles bases ou aller de l'avant...
J'aurais voulu un peu plus, sur la présence d'Angelina. Je sais bien que c'est un texte sur Fred et George mais ça m'a un peu manqué.
Pour mon tirage de la St Valentin, je n'ai pas eu des textes joyeux, il faut le dire mais ça me va. Par contre je me demande si en cinq ans tu n'arrives pas à passer à autre chose. Ca me parait vraiment long, mais je pense que c'est parce que je n'ai jamais vraiment eu de décès de personnes proches. Du coup, je ne t'en ferai pas le reproche. J'ignore vraiment si c'est normal, peu ou beaucoup.
En tout cas, c'est un joli texte que je suis contente d'avoir découvert !
Joyeuse Saint-Valentin un peu en retard ♥
Une belle détresse que tu as écrite. Et le choix de la chanson est pertinente, j'aime beaucoup.
Merci pour cette fic.
Tu ne chômes pas pour publier aujourd'hui dis donc, c'est ta journée pas celle des lecteurs affâmés normalement! Quoi qu'il en soit, je te souhaite un très joyeux anniversaire et en guise de présent, je viens t'offrir une petite review supplémentaire.
C'est un texte très fort que tu nous as livré, plus que lire les émotions de George, tu nous les fais vivre nous permettant de ressentir ses doutes, sa peine, sa perte. Cela m'avait déjà marqué sur des productions annexes, mais tu maîtrises vraiment le thème du deuil avec une aisance rare, loin de tomber dans les affres du pathétique voire riddicule: tu le fais toujours avec nuance, profondeur, délicatesse, pudeur et surtout justesse. Je te tire donc mon chapeau bas en faisant une élégante courbette car c'est loin d'être donné à tout le monde, et il s'avère que je raffole de ce genre de texte donc un énorme merci pour tout le soin que tu as apporté aux sentiments de George.
Je ne suis pas fan des songs fic habituellement, mais tu as placé les paroles - qui sont très belles soit dit en passant - avec pertinence et intelligence. Elles ne sont pas figuratives comme c'est communément le cas, elles s'intègrent ici au texte avec brio. L'un magnifie l'autre, l'autre magnifie l'un: un peu comme Fred et George, avant.
Et tes tournures et tes mots, Seigneur! Enormément d'entre elles pourraient figurer au Panthéon des Belles Phrases.
Merci pour ce très beau moment de l'écriture et encore un heureux anniversaire :)
Je viens attiré par le post de Fleur d'épine et... OMG ce texte est sublime Laura, franchement ça fait longtemps que j'ai pas lu quelque chose d'aussi touchant ici, j'ai adoré !
C'est vraiment plein de vie, débordant d'émotion, on vit vraiment le texte... Il m'a touchée en plein coeur, et chacune de tes phrases, ciselée d'une façon... C'est des claques, en fait, "c'est comme une énième claque dans la figure"...
Et le langage, enfin la forme s'adapte vraiment bien au fond, c'est une fluidité, une simplicité puissante qui est vraiment parfaite pour habiller ce fond de deuil, ce fond de douleur, ce fond d'abîme... Vraiment, chapeau... Et puis on les retrouve tellement bien tous les deux... Je me répète, mais ce que ce texte est profond et touchant...
"Où tu es ? Je te cherche et je me perds dans notre ressemblance qui n’a plus aucun sens à présent". Mention spéciale pour cette phrase (mais il y en a beaucoup d'autre), qui m'a particulièrement saisie...
Bref, ce n'était pas un sujet évident à traiter (genre vraiment pas), évidemment, mais tu en as fait quelque chose d'incroyable, qui prend aux tripes et que j'aurais plaisir à relire. Merci, merci pour ce texte !
Merci, bravo, et joyeux anniversaire !
La perte d'un jumeau c'est juste une chose horrible, surtout des jumeaux fusionnels comme Fred et George. Le thème que tu aborde est classique, mais ton texte sort du lot, tu mets de l'émotion, sans tomber dnas le pathos. Les mots que tu places dans la bouche de George sont parfait. J'aime les images que tu évoques, les phrases commençées qui s'arrête sur un silence. La façon de déballer ses cadeaux avec une joie feinte car il ne peut pas ne pas penser à son frère qui aurait dû faire la même chose.
J'aime le rôle que tu as donné à Angelina, elle aide George a avancer, et j'aime j'aime j'aime le fait que tu n'as pas fait d'Angelina la petite amie éplorée de Fred qui se console avec George, et George se raccrochant à Angelina parce qu'elle a connu son frère aussi bien que lui ou presque. C'est souvent qu'on se trouve avec cette relation malsaine entre George et Angelina, et ça ne me plais pas comme point de vue.
Voilà un joli texte et tout à l'heure sur le Jilly, j'ai oublié mais Bon anniversaire! :D
Coucou Laura,
Voici une petite reviewersaire en ce jour spécial pour toi !
Ce texte nous plonge bien dans l'état d'esprit de George. Cela fait 5 ans que son frère a disparu (il va sur sa tombe parce que c'est "son anniversaire de mort" c'est bien ça ?), et pourtant George ne s'en est toujours pas remis. Je ne sais pas si on peut se remettre une jour de la mort de son jumeau. Je ne le saurai jamais d'ailleurs. Enfin eux si l'on compare à d'autres jumeaux (je pense au monde moldu), ils ont vraiment toujours été ensemble toute leur vie. Même école, même maison et même boutique... Ce n'est pas pour tous les jumeaux pareils. Donc ouais forcément c'était très fusionnel entre eux, leur complicité n'a fait que s'agrandir au fil des années et la rupture en est d'autant plus brutale.
On comprend bien qu'il est gêné par rapport au reste de sa famille, par rapport aux sacrifices qu'ils font pour lui. Je pense notamment à Ron qui met de côté sa carrière d'Auror. On voit bien que George n'est pas vraiment à l'aise avec ça.
Lorsque tu parles du fait qu'il essaie d'ouvrir ses cadeaux comme un gamin, mais que ça n'avait pas la même saveur. J'me suis dit "oui mais il est là le problème mec, si cherches à continuer à faire le gamin ça ne t'aidera pas car ça te rappellera forcément ton frère qui appartenait à ton enfance". Pour la plupart des gens, faire le gamin de temps en temps nous aide à nous évader de notre quotidien, à souffler un bon coup... Pour lui c'est différent car Gamin = Fred et du coup forcément il y a la douleur qui refait surface. En fait ça prouve qu'il n'a toujours pas franchit le cap et qu'il n'est pas prêt à construire sa vie d'adulte. Et pourtant ça pourrait être la clé pour l'aider à faire son deuil, car tout ce qu'il construira par la suite, sera fait sans Fred...
Aaaaaaaaaaah mon dieu Laura !
Ce texte...
Rolalala, ce texte. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit aussi parfait, parce que, vraiment, il m'a pas mal retourné (c'est un euphémisme je crois), et il nous saisit dès les premiers mots. Puis, tu sais, le deuil, tout ça, et bah toi, tu gères. Tu fais fort quand même, tu postes un si beau texte le jour de ton anniversaire, tu fais très fort. En te lisant, c'était marrant, j'avais un énorme sourire aux lèvres parce que tu écris si BIEN ce que tu veux exprimer, je te jure, c'est tellement prenant, on ne peut plus se détacher de tes mots quand on te lit, tu les alignes si bien ; le tragique, c'est toi. Donc j'avais un sourire aux lèvres car j'étais juste trop heureuse de te lire, de te retrouver puisque ça faisait longtemps que je ne t'avais pas lu, et c'était si simple de te revoir à nouveau, ici, avec ton style si 'Lauresque', c'était toi à nouveau ! Et heureuse de voir comment tu traitais le deuil, sans que ce soit trop mais avec une justesse impressionnante. Impressionnante. (contrairement à des textes qui se veulent dramatiques, toi tu l'es presque sans le rechercher, c'est dingue. On dirait que c'est malgré toi, même si tu revendiques le drame, je ne sais pas comment dire. Ca semble si modeste de ta part et c'est d'autant plus beau qu'une démonstration "VENEZ JE VAIS VOUS FAIRE PLEURER". Tu le fais avec tellement de tact, toi, de pudeur).
Argh, défi plus que réussi, en tous cas. J'ai envie de pleurer parce que je ressens tellement la 'touche Laura', si tragique, comme ce texte sur Remus durant AVC. C'est du doux amer un peu, ce que tu préfères (je crois) et qu'est-ce que c'est juste ! ça touche droit au cœur ! C'était marrant, donc, car j'avais un sourire aux lèvres en te lisant, mais tes mots.... Tes mots étaient si bouleversants que ce sourire était presque déplacé. J'étais tellement heureuse de voir à quel point tu arrivais à me toucher je crois et tellement heureuse qu'en te remettant à l'écriture, tu fasses quelque chose d'aussi bien ! Pfiou, j'ai envie de m'incliner. Continue d'écrire ! du tragique ! à foison ! et parfois un peu de comique, si tu y arrives, parce que, sinon, on va tous pleurer à chaque fois. Mais c'est pas grave, allez, fais nous pleurer, c'est merveilleux. Argh ma petite Laura, j'ai envie de te dire à quel point j'ai aimé ton texte en reprenant des passages, comme je le fais si souvent avec tes textes, mais je ne sais pas si j'en ai la force. Bon allez, on arrête de se plaindre un peu et on se lance. Déjà, y a la musique de Jean-Louis Aubert (que je ne connaissais pas!) qui tourne en boucle depuis tout à l'heure haha. Donc voilà, je suis dans l'ambiance, totalement. Bon, bref. Ton George. Ton George est parfait. Magnifique. Nom de dieu, comment j'ai pu te dire de ne pas écrire sur le deuil ? N'importe quoi ! Et d'ailleurs, c'est quoi ces remerciements à mon égard ? Moi ?! Mais je suis indigne de tes remerciements ! Tu as tout fait toute seule, tu as été géniale.
Je me rends compte, que tu m'as manquée. Vraiment. Vivement cet été, vivement AVC. C'est fou parce que, d'un côté, ton texte est si parlé, on ressent le naturel de George, ce sont ses mots, mais ces mots sont aussi mélodieux, presque poétiques, sûrement parce que tu étais guidée par la musique et ça se ressent et c'est formidable ! Rien que le début... Ton début est génial. Ça commence dans le mouvement "Fred, ça fait cinq ans" et ça s'enchaîntre, presque en crescendo, mais non, parce qu'il n'y a pas vraiment d'explosion, tout reste calme, même s'il y a un désespoir incroyable. Ah, j'aime cette idée de George qui se confie sur la tombe de Fred, qui lui raconte sa vie - ou ce qu'il en reste -, mais avec une douleur intense qui nous touche réellement. Rien que ton résumé, il attire, il est génial, je me répète mais il sonne juste, DÉCHIRÉ, voilà, le texte est écorché, tout en brutalité et en mélodie, c'est... wow. Cette phrase est superbe "Mon cœur a raté des battements par milliers en croisant mon propre regard, pensant que c’était le tien.". Tout ce jeu du "je" que tu fais, c'est beau, vraiment, je suis fan. Et ensuite, ensuite, "c’est comme une énième claque dans la figure", comme dans ton résumé, c'est là que c'est écorché, c'est là qu'on est pris et qu'on a du mal à respirer.
Ton deuxième paragraphe. Parfait. Rien que le début... C'est ça. Tu as fait exactement ce que tu décris d'ailleurs : tu n'as pas cherché à inventer des émotions, chercher des mots, non. C'est George qui parlait, qui avait du mal, et c'est pourquoi ce texte, bien qu'il parle du deuil, est différent des autres et qu'il me plaît tant.L'histoire de l'anniversaire, c'est dit avec tellement de mélancolie, de tristesse, mais douce, pas énervée, c'est juste un fait. Il n'arrive plus à vivre, on ressent la lassitude et tellement de chose. Tu es glauque d'écrire ça le jour de ton anniversaire quand même (haha) mais j'ai adoré <3 Puis ça "Alors, j’ai toujours vingt ans. Comme toi. ". C'est tellement une phrase parfaite que j'aimerais avoir écrit dans un de mes textes (comme pas mal de tes phrases, je t'avoue).
Troisième parapgraphe, j'aime comme il parle des autres, on dirait un fantôme, j'aime comment tout est décrit, j'aime comment tu as mené ça. Bravo. Quatrième paragraphe. Oh la la, ce jeu du "moi", là il devient vraiment insupportablement (!) formidable. "Mon ombre, mon reflet, les vêtements que je porte, c’est toi. C’est nous. Tu es moi, je suis toi ". Tu ne peux pas savoir à quel point j'aime ces phrases, à quel point j'ai envie de t'embrasser pour les avoir écrites ! Puis cette ressemblance qui devient trop insupportable, tu m'étonnes, il se voit et il le voit, c'est tellement vrai, tellement juste... "On était un tout, on était « nous ». Moi sans toi, je deviens « je » et j’déteste ça." putain j'adore <3 Et puis après, l'histoire des phrases qui se complètent, mais tu es tellement forte d'en parler ainsi, d'en parler tout court, et avec tes mots de génie. "C’est tellement difficile aujourd’hui de commencer à parler et de se confronter à ce blanc infini, ce blanc qui devrait être comblé par ta voix… Mais il continue, interminable. " wow, tu nous touches là, Laura, wow ! Pff et la sensation d'être bancal, et tout en fait ! ça ne sert à rien que je continue car je ne ferai que répèter les mêmes louanges en citant presque tout ton texte ! Quoique, non, je suis obligée de citer un autre passage parce qu'en le lisant, j'étais tellement à fond - c'est tout ce que j'adore dans le texte des autres, cette force des émotions (et pas mentie ou simplifiée avec l'idée du deuil, non, tu dépasses tout ça), ces belles images, cette espèce de poésie, cette plainte ! "Je ne suis qu’un mensonge, une imposture sans toi.". Je suis en admiration. Hahaha. Argh, et tu continues avec la ressemblance ("Où tu es ? Je te cherche et je me perds dans notre ressemblance qui n’a plus aucun sens à présent.") et tu continues avec tes mots de malade. Tu ne veux pas t'arrêter, dis ?
Le passage sur Angelina, je le trouve très bien ! On ne dirait pas que tu as tant galérer, tout coule de source, c'est vraiment très bien. J'aime comment il dit qu'il aurait aimé que son frère soit là pour se foutre de lui, c'est eux tout ça, c'est Fred et George. Et, en fait, tu as tellement bien fait de décrire le deuil et de ne pas traiter d'une dispute - la dispute, ce n'est pas Fred et George, j'ai été bête et tu as été parfaite !
La fin avec les "Il y a", j'adore, vraiment, "cette guerre qui m’a estropié, amputé de ma moitié.", je vais pleurer. Genre vraiment. Parce que tu ne trompes personne, tu touches dans le vrai, dans l'intense, dans quelque chose qui ne se veut pas être la tristesse absolue mais qui est encore plus triste que ça et c'est fort. Franchement, bravo bravo bravo, je ne te le dirais jamais assez. Bravo ma petite Laura, tu as tellement bien géré. Puis plein de bisous, et écris encore, ne t'arrête jamais, sinon on rate des merveilles comme celles-ci ! Et bien sûr :
ENCORE UN TRES TRES TRES JOYEUX ANNIVERSAIRE MA BELLE <3 <3 <3
ps : j'étais censée bosser mais ton texte méritait une pause ! Par contre, je me relis bof donc j'espère que ma review est quand même bien. Et encore plein de bisous choupi<3
"Alter ego" est une de mes chansons françaises favorites et je suis heureuse qu'un auteur aussi douée que toi l'ai remis au goût du jours sans démoder la chanson.
Perso, j'ai vécu la mort de Fred Weasley comme une tragédie, détruisant le binôme formidable qu'il formait avec Georges, et par la même occasion l'idéal fraternel que j'avais en tête.
Bref!
j'ai trouvé ta fiction très belle, avec des mots justes et qui sonnent bien, surtout dans le dernier passage où il parle d'Angelina.
Très beau!