Whaou. J'ai vraiment aimé ton texte ! Je suis tellement désolée de ne pas l'avoir lu à l'époque ! J'étais, à l'instant, en train de me promener sur le topic de la Black Company en me disant qu'il faudrait bientôt relancer un projet pour l'anniversaire de notre cher Sirius, puis j'ai vu ton post, avec le lien vers cette fanfiction, que je n'avais jamais lue. J'ai donc cliqué dessus. Ta note d'auteur m'a beaucoup touchée déjà <3 Et surtout, ton texte... Je ne sais pas si j'arriverais à retranscrire l'effet qu'il m'a fait. Avec ce cauchemar, tu as réussi quelque chose d'assez incroyable. A lui tout seul, il est glaçant et affiche superbement l'état dans lequel se trouve Sirius. C'est vraiment très saisissant... Surtout que tu fais ça de façon extrêmement fine parce que les premières lignes sont là pour nous faire comprendre où il se trouve exactement, avec les mots en gras : froid, humidité, souvenir, nostalgie, faim... Mais pourtant, tu trouves une autre explication à ces mots-là. On est dans un présent alternatif où Sirius rendrait visite à ses amis un jour de pluie, jour de son anniversaire. J'adore comment tu nous fais comprendre qu'il se trouve, en fait, à Azkaban par le biais de ces mots en gras, et, en même temps, que tu cherches à nous tromper par le biais du cauchemar. C'est super bien fait. Concernant les mots en gras, d'un côté j'aime beaucoup leur utilisation, justement parce qu'ils sont trompeurs, et aussi parce qu'ils ajoutent une espèce de simplicité, de primitivité dans les émotions, mais j'ai également été destabilisée, je me suis demandée s'il n'y en avait pas trop. Je ne sais pas, il faudrait que je relise ton texte une deuxième fois pour m'en rendre compte. Bref, sinon, je n'avais jamais lu une fanfiction centrée sur un cauchemar de Sirius, aussi bien relatée, c'est pour ça que j'ai beaucoup aimé. Ce cauchemar qui nous raconte leur vie s'ils avaient survécu, si Peter n'avait pas.... Les mots que tu emploies sont justes et touchants, ce qui fait que je suis portée par ton récit, par ton Sirius, par sa joie déguisée (lui qui ne veut soi-disant pas fêter son anniversaire. D'ailleurs j'ai beaucoup aimé cela, lorsqu'il dit "Mais, au fond, je suis content d'avoir un jour à moi", ça me touche trop en fait, Sirius me touche trop, ton Sirius me touche trop, et le petit côté enfantin qu'il veut cacher aux autres par fierté, ou je ne sais quoi, me touche trop ;_;). Tu retranscris  bien les sens de Sirius, la chaleur qui l'empare, le froid, tu fais très attention aux détails et ça rend le récit spécial. J'aime ta façon de parler de Sirius, de façon générale, vu que tu emploies le "je" en plus, ce n'est pas tâche facile, et tu t'en sors à merveille. Tout est si simple, si détaillé, on a effectivement l'impression que c'est un rêve, le rêve de Sirius, c'est beau et triste en même temps.
J'avoue que j'ai adoré l'intervention de Peter dans le rêve. On comprend que ça devient irréel (déjà avec le bonheur d'avant, "too much", Harry et sa soeur... si on avait pas saisi qu'il était à Azkaban dès les premières lignes, cela nous met sur la voix d'un rêve, parce que c'est trop beau, et tu arrives à bien le faire ressentir, ce qui est assez fort), on comprend que le décor se transforme, on ressent les effets du cauchemar. J'adore la réaction, instinctive, "animosité", "Pas Pettigrow". Comme tout s'enchaîne, et c'est si fort, parce que voilà, c'est intsinctif, ça découle d'un rêve qui sans explication insère les émotions du rêveur dans l'"histoire", ça rend super bien ici. (Désolée, je m'explique mal, je suis un peu flemmarde x)).
Les réactions primitives de Sirius reflètent son envie de vengeance terrible. J'ai trouvé ces passages assez jouissifs à lire. Les mains autour du cou, le "TRAITRE" et aussi, surement, parce que tu insistes bien sur les mots "satisfaction", "délectation". Après, les visages des autres qui deviennent spectres, ça fiche limite des frissons, j'adore. Puis... le réveil, et on comprend l'obsession de la vengeance. Franchement bravo, c'est super bien fait. Jje n'avais jamais lu quelque chose de tel encore ! La façon dont tu t'es servie de l'anniversaire pour exprimer quelque chose d'aussi... brrr. Je suis  fan.
Et la façon dont tu exploites la folie et le désespoir de Sirius est juste parfaite.
Donc voilà, j'ai beaucoup aimé ton texte et je regrette de ne l'avoir pas lu plus tôt. J'ai trop hâte de relancer un projet sur la BC si c'est pour avoir autant de textes de qualités sur Sirius chéri <3 Encore bravo !

Réponse de l'auteur:

OMG <3 je ne sais pas quoi te répondre tellement je suis touchée par ta magnifique, grandiose, adorable, incroyable Review. La première fois que je l'ai lue, j'ai eu les larmes aux yeux, tu as illuminé ma journée. Et c'est pareil chaque fois que je la lis à nouveau. Cela me touche d'autant plus que tu es à mes yeux THE référence concernant Sirius. C'est grâce à ton talent pour l'écriture et donc à tes incroyables textes que j'ai découvert de nouvelles facettes de Sirius, c'est toi qui m'a réellement permis de le découvrir et qui me permet à chaque nouvelle publication de le découvrir encore. Un immense merci( même si ce n'est pas assez fort pour exprimer ce que je ressens). Merci, merci, merci, merci. <3

Oh ! Il est tellement beau et tellement poignant ton OS. Au début, je pensais que c'était avant leur mort, puis ils ont parlé de Harry qui ne donne pas de nouvelles. J'ai tiqué. Et enfin de sa soeur qui correspond souvent avec eux. Et là j'ai compris. Et là, mon coeur s'est serré...
Bravo pour cet OS que j'ai beaucoup apprécié lire. Tu as très bien rendu les émotions qui se bousculent dans la tête de Sirius, et cette pulsion lorsqu'il s'attaque à Pettigrow, lorsqu'il veut lui faire du mal. Tout y est très crédible. Il fait presque peur, comme ça, notre petit Sirius.

Merci Mary-m ! Et câlin à Sirius, il en a besoin :3

J'ai tout simplement ADORE ce texte. J'ai commencé à le lire tout joyeusement et innocemment (même si j'avoue que les mots en gras m'ont un peu intriguée) et puis j'ai commencé à avoir des doutes au moment où Harry a été mentionné...
Et voilà, maintenant mon coeur se serre en lisant la fin, qui contraste tant avec le début. Tu retranscris très bien cette folie à la fois si pénible et si salvatrice.
Bref, félicitation, encore une fois.

PS : Ce système de simple mot-phrase, ça ne te serait pas venu en lisant Pierre Bottero ?
PPS : je suis absolument admirative de ta mise en page, moi qui suis une vraie quiche pour ça...