Ce texte est glaçant, juste dans la chasse et l’anticipation du plaisir que Greyback a à traquer et torturer ses proies. L’ambiance est au rendez-vous ( et je pense que quelques-uns des traqueurs présents envisagent une reconversion xd ), que ce soit la forêt, les bruits et la nuit qui appesantie le tout ! J’espère pouvoir te relire, si tu demandes des reviews pour les vœux de Noel, je serais au rendez-vous !
Oooooh, ce petit OS est beaucoup trop mignon !
C'est normal de faire des bourdes parfois, surtout à leur âge où on ne réfléchit pas toujours avant de parler. Mais leur manière de se rattraper est vraiment top ! Je suis sûre que Harry va passer une excellente soirée d'Halloween accompagné de ses amis.
Merci pour cette très belle découverte ! :)
A plus,
Tiph
Re coucou Josy :)
Voilà un petit os qui était vraiment très agréable à lire même si pauvre Harry ( on a vraiment envie de lui faire un câlin) :/ C'est vrai qu'ils ne pense pas forcément Harry n'a pas fait toutes ces choses et il peut y avoir des maladresses.
En tout cas, il essaie pour la première fois, et il ne pourra que s'améliorer à l'aide de ses proches ! Sinon, ça ne m'étonne pas qu'Hermione avait même la meilleure citrouille à l'école; elle reste bien fidèle à elle même :p
Merci pour ce moment de lecture !
Chris
Aïe, aïe, aïe... Pauvre Ginny !
J'aime énormément la progression de ton texte, et tous les éléments que tu détailles sur la relation de Ginny et ses frères. C'est hyper intéressant d'abord, et ensuite ça permet de plonger dans la tête et dans les émotions de Ginny. Le Journal de Jedusor n'est plus un simple outils qui s'empare du libre arbitre de Ginny (comme) par magie, mais il s'appuie sur ses faiblesses comme un pervers narcissique peut le faire sur ses victimes finalement.
D'ailleurs, les enfants de Molly et Arthur Weasley ne sont pas tendres entre eux ! Non mais "les cheveux tressés aux barreaux de son lit" QUI FAIT çA ? C'est absolument horrible !
Toute l'analyse du rôle de l'obscurité dans la vie de Ginny est aussi très bien mené et amené. On se sent tout aussi aveuglé que la petite Ginny enfant.
Un grand bravo pour ce texte, d'autant plus que tu l'as écrit en une seule heure d'une Nuit d'écriture ! Chapeau !
Ju'
Coucou :)
Je me suis rendu compte que j'avais lu plusieurs de tes écrits déjà ! J'ai donc choisi celui-ci que tu proposais pour les JR.
Bien, alors on sentait bien la pression présente tout autour de Greyback hein. Même ses complices en sont terrifié, et frenchement, à leur place qui pourrait les blâmer ? Même sans la pleine lune , il est terrifiant et bien dangereux le gars.
Je pense tout de même que ses sens sont développés par son statut de loup-garou, même non transformé, juste ? On est désolé d'avance pour la personne qu'il traque, et on sent bien qu'il l'aurait bien fait souffrir plus qu'il ne le fallait si il n'avait pas fallu la ramené à Voldemort.
C'etait mortifiant de l'imaginer lécher le visage de sa victime , aha !
Un joli texte en somme ou la tension était palpable !
Chris
Hello Josy57,
J'ai trouvé ce texte parfaitement exécuté. Il fait froid dans le dos parce que tes mots, deviennent plus durs, plus précis, au fur et à mesure du texte comme s'ils esquissaient le précipice dans lequel elle se précipite toute seule. L'après-guerre, les traumatismes, la dépression, j'imagine que c'était monnaie courante après la seconde guerre des sorciers... pour énormément d'entre eux, mais je n'avais jamais encore lu sur Ginny et les conséquences de cette guerre interne qu'elle a mené durant tant d'années. Tu ne le dis pas ouvertement, mais on le devine, surtout avec ta dernière phrase, et finalement c'est logique. Quelles conséquences à exactement la magie noire sur le cerveau d'une enfant de onze ans ?
J'ai vraiment beaucoup aimé parce que ton texte me pousse à la réflexion.♡
Lyssa
Réponse de l'auteur: Oui, je pense en effet que l'après-guerre a dû être une période particulièrement difficile pour beaucoup des personnages de la saga, qui l'on vécue à des moments formateurs de leur vie. Pour Harry bien sûr qui doit se construire en vivant dans sa propre ombre, en ayant atteint la fin de la quête qui a déterminé toute sa vie jusque là, mais pour beaucoup d'autres aussi. Ginny m'interesse particulièrement car, comme tu le soulignes, la guerre, elle l'a d'abord vécue de l'intérieur. Elle est, à part Harry (et Quirrell), la seule à avoir vécu l'intrusion de LV dans sa psyché même, et je trouve vraiment dommage que ça n'ait pas été exploré dans la saga après le deuxième tome. Merci pour ta belle review, qui m'a à son tour fait réfléchir ❤️
"Perle à perle, le chapelet de ses fautes semblait plus pardonnable." Wow j'adore cette formule !
Alors en soi rien ne m'obligeait à laisser une deuxième review, mais j'ai tellement aimé "Peur du noir" que j'étais curieuse de lire ce texte-ci. Il est glaçant, on sent tout le poids de l'addiction et, mine de rien, de la solitude (et de la peur de la solitude).
Désolée je ne vais pas trop m'étendre, je suis déjà à la bourre mon bus part dans 5 minutes xD Bonne fin de week-end !
Réponse de l'auteur: Eheh, je suis moi-même dans le train, donc je comprends ;) Je suis contente que tu soulignes la solitude, parce que c'est vraiment ce que j'avais en tête : la relation privilégiée avec Jedusor, toxique mais tout de même réconfortante, vers laquelle elle se tourne consciemment ou inconsciemment dans les moments les plus sombres et solitaires, comme on peut se détruire en cherchant le réconfort par tout une panoplie de 'maladaptive coping strategies' comme disent les anglophones. Merci beaucoup !
Bonjour Josy,
Tiens, le hasard fait bien les choses, je me retrouve moi aussi à lire sur l'insomnie durant ces JR ! J'aime beaucoup toute la première partie où tu imagines ce que c'était, de grandir dans la fratrie Weasley, et à fortiori en étant la benjamine. Cela n'a en effet pas dû être de tout repos. J'étais vraiment oppressée en même temps qu'elle par les volumes et par la nuit, c'était très bien écrit.
C'est vraiment intéressant de voir ce lien que tu fais entre son enfance et ce glissement progressif vers la possession, et comment ses insécurités vont être pansées par Jedusor.
J'aime comment cet enfermement se mue en quelque chose de plus enveloppant quand les parois s'arrondissent (les tuyaux ?). C'est très ironique que sa bouffée d'air frais se fasse dans les entrailles poisseuses du château, mais quelque part cela colle assez bien à cette atmosphère que instaures (et que l'on peut imaginer pour la Ginny de la saga) de rêve éveillé, où la conscience et le rapport à la réalité sont altérés.
Merci pour cette lecture très immersive et puissante !
Réponse de l'auteur: Coucou Tiiki, Merci beaucoup pour cette belle review. J'ai tout un texte plus long que j'aimerais écrire sur, justement, cette façon dont Jedusor s'insinue dans la psyché de Ginny en jouant sur ses failles, et les dégâts que cela laisse chez elle par la suite, donc de lire ton retour me motive plus encore à l'écrire ! Les parois qui s'arrondissent sont bel et bien une référence aux tuyaux dans lesquels le basilic se déplace. Merci encore ❤️
Luna est toujours aussi fantasque et touchante. Elle a une véritable foi en ses amis et c'est vraiment impressionnant. J'aime beaucoup la manière dont tu l'écris!
Ce texte est court mais excellent. Tu abordes la peine de Molly avec beaucoup de subtilité et de manière terriblement touchante: le syndrome de la persistance.
J'aime beaucoup franchement!
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup ❤️
Je me demande qui parle mais ce drabble est très beau!
Je viens relire des chapitres de cette fic pour les JR donc je l'aisserai plusieurs reviews dessus puisque ce sont des textes courts!
Hello Josy !
Dans le cadre des JR, je découvre avec bien du plaisir ce petit texte que tu as mis dans ta fiche, sur ce qui est peut-être bien l'époque la plus vulnérable de la vie de Voldemort.
J'ai bien aimé que Tom soit dépeint comme la vague tête de turc du groupe, sans pour autant faire du pathos là-dessus ; puisque, conformément à sa personnalité, les moqueries des autres ne l'atteignent que moyennement, ça n'est pas trop tire-larmes.
Je trouve qu'on ressent bien le caractère de l'époque de Jedusor, totalement sociopathe et avec pour seul rapport humain que la mesquinerie, l'envie de faire du mal et de se démarquer (puisqu'il joue sur le fait d'être le seul à percevoir le phare).
Et quand on sait l'impact qu'aura cette virée dans la grotte sur l'histoire de HP...
Bien joué en tout cas ! A bientôt !
A1
Réponse de l'auteur: Hello A1 ! Je trouve fascinante l'ambivalence fragilité/invulnérabilité chez LV et elle n'est jamais plus frappante que pendant les scènes de son enfance, puisqu'il apprend à cacher ses failles bien mieux (et même obsessionnellement) par la suite. Merci pour la lecture et le retour.
La lecture de ce texte lors de la nuit, en live, m'avait déjà un peu secouée surtout que j'étais dans une passade difficile au travail, et là je suis dans une autre passade, et je peux t'assurer que si cela a été cathartique pour toi de l'écrire, il va être cathartique pour d'autres de le lire (je m'inclus bien dedans).
En plus récemment j'ai lu un texte de Toopil dans la même logique, mais avec un style d'écriture totalement différent car vous êtes différentes bien sûr ^^ les deux en miroir, ça fait quelque chose !
J'ai relevé deux phrases qui m'ont particulièrement marquée : "Parce qu’elle ne voulait pas être à jamais prisonnière de promesses et d’ambitions qu’elle avait formulées lorsqu’elle était enfant et que tout ce qu’elle voulait, c’était s’attirer de l’admiration car, à défaut d’affection sincère, c’était ce qu’elle croyait à sa portée. Impressionner, être au-delà de tout reproche, faire tout mieux que tout le monde pour n’être jamais prise à défaut, pour ne jamais décevoir." J'aurais tellement aimé un jour pouvoir formuler avec autant d'acuité ces phrase, un jour où j'en avais eu bien besoin, et à la place, seules des bribes inintelligibles sont sorties de ma bouche. Là, c'est, en deux phrases, l'exacte articulation du problème.
Merci beaucoup à toi pour ce trait de justesse ♥ et je n'oublie pas les étoiles sur le texte !
Piti
Réponse de l'auteur: Merci beaucoup pour cette review qui m'a beaucoup touchée. J'espère que ta mauvaise passade se résoudra vite ❤️
Coucou Josy,
L'ouverture avec les pâquerettes est particulièrement drôle, j'aime cette Lily sarcastique. Elle est très bien écrite, partagée entre ses sentiments et la raison (pas que Severus incarne non plus un choix de raison, au contraire, je la trouve assez lucide là-dessus, mais James n'est pas un choix évident). Ce que j'ai bien aimé et qui change de la majorité des fanfics, c'est qu'on la découvre assez cruelle ici. Ce n'est pas une adolescente exemplaire, elle a des sentiments très humains. Elle a des pensées parasites assez dures envers son ami, certaines sont même assez gratuites... l'avant-dernier paragraphe assène un peu le coup de grâce tellement sa pitié mêlée de mépris transparait. Le pire c'est que je l'ai trouvée crédible dans ces pensées torturées.
Merci pour cette si intéressante lecture. En une heure, c'est impressionnant !
Réponse de l'auteur: Coucou Tiiki !
J'écris en ce moment un texte sur cette période du point de vue de Severus. Donc je suppose que c'est pour cela que la dynamique du triangle très très isocèle Lily-James-Severus me trottait en tête au moment de la nuit d'écriture et que je me suis essayée à l'explorer, mais cette fois-ci à travers les yeux de Lily.
Ta review me fait grand plaisir parce qu'elle vise en plein de le mille de ce que j'ai voulu montrer. Lily est souvent très idéalisée, ce qui m'a personnellement toujours un peu dérangée. Ici, je voulais la dépeindre en adolescente somme toute assez ordinaire, avec ses élans, ses scrupules et ses accès de cruauté.
Merci beaucoup pour cette belle review !
Ah je suis contente que les JR me donnent l'occasion de reviewer ce texte précisément. Oui je m'en souviens encore ; malheureusement je ne review qu'à peine un quart de ce que je souhaiterais réellemenr reviewer (j'utilise vraiment les JR pour me "forcer à me mettre à jour"' mais dans un sens positif bien sûr, car j'ai besoin d'échéances dans ma vie).
J'ai été marquée à ma première lecture, et le suis encore, par la méchanceté en réalité de la fratrie entre elle - même de la part de Ginny c'est vrai, mais c'est horrible de laisser quelqu'un seul dans un champs ou dans un placard ou accroché à quelque chose. Après peut-être que je dis ça parce que je suis moi-même du genre à paniquer devant l'imprévu ? Ou est-ce vraiment un rendu que tu voulais donner ? En tout cas c'est aussi intéressant de voir une fratrie où l'on ne s'entend pas comme dans le meilleur des mondes !
Et bien sûr j'avais été frappée par la description des insomnies de Ginny, notamment par l'idée de ressasser les échéances (toute coïncidence avec ma relation aux échéances doit être liée hahaha). J'ai trouvé que c'était très réaliste. La description de ses symptômes, notamment aux jambes, aussi.
La pauvre Ginnh est en pleine détresse et par ces phrases en italique tu démontres bien à quel point le monde des adultes peut être cruel pour les enfants, même sans le vouloir. En fait, tout le terrain que tu prépares pour la suite du texte est savamment étudié : tu habitues Ginnu au silence, à la peur en silence, tu l'isoles et tu la rends insomniaque. Cela est une très bonne réflexion de ta part que d'imaginer donc que l'ouverture de la chambre des secrets n'est que la fin d'un pricessus, et pas du tout une coïncidence malheureuse.
C'est de manière générale une circonstance de la vie de Ginny bien peu exploitée (y compris par l'autrice de Harry Potter elle-même...) et c'est dommage car je crois sue c'est fondateur aussi pour comprendre qui edt Ginny.
A la fin tu oscilles entre rêve et réalité et cette confusion étrange est encore une fois bienvenue pour le sujet dont tu traites. Tu manies parfaitement ce que tu écris à chaque fois, c'est fascinant haha !
Merci pour les lectures,
Piti
Réponse de l'auteur: Concernant les relations dans la fratrie Weasley, oui, l’impression de méchanceté était quelque chose de volontaire, du moins en partie. Mon idée n’était pas de suggérer qu’ils ne s’entendent pas et qu’il y a chez eux un véritable désir de se nuire les uns aux autres de façon cruelle. Par contre, oui, souvent les aînés utilisent leurs jeux avec leurs cadets comme défouloir et moyen d’exercer sur autrui un pouvoir qu’ils n’ont pas dans leurs rapports aux adultes du fait de leurs statuts d’enfants. De ce fait, quand on est la plus jeune du fratrie (et, je suppose, a fortiori quand on est la seule fille), on peut souvent se retrouver dans des situations où ce qui n’est pensé que comme une taquinerie va trop loin et devient réellement blessant. Mais je n’ai pas non plus voulu représenter Ginny comme étant exclusivement victime du rapport à ses frères, d’où le fait qu’elle rejoigne parfois le camp des ‘agresseurs’. Ce que je voulais montrer, c’est une espèce de guerre de tous contre tous, le plus souvent bon enfant, mais qui peut parfois déraper. Donc, si méchanceté il y a, c’est une méchanceté banale, qui provient surtout d’une incapacité à se mettre à la place de l’autre.
J’ai moi-même été insomniaque durant de nombreuses années de mon enfance, même si les problèmes de sommeil que j’imagine ici à Ginny sont très différents des miens. Mon propre rapport aux échéances était empreint de beaucoup plus de crainte que d’excitation. C’est drôle, d’ailleurs, mais en écrivant cette RàR, je me rends compte que j’ai glissé pas mal d’éléments de mon enfance dans ce texte, car l’histoire du placard et les parents qui finissent par s’agacer des soucis de sommeil de leurs enfants sont aussi des éléments partiellement biographiques. Je vais arrêter là avant de m’auto-psychanalyser, ahah !
En tout cas, merci beaucoup beaucoup pour tous ces beaux retours que tu m’as faits, ils me vont droit au cœur !