Bonjour Bevy,
J'avais déjà lu une fic expliquant l'attitude de Marietta, mais jamais celle de Zacharias. Et ce que tu leur a déniché leur va comme un gant !
C'est bien que Mariette soit partie à l'étranger prendre l'air (car un acte de traîtrise ne s'oublie plus). Et être une plume acérée (et peut être un brin irritante pour le Survivant et compagnie) va bien à Zacharias. Pourtant il n'échappe pas au stress de la relecture, même s'il prend un air détaché. C'est du vécu, non ?^^
Si l'on découvre le quotidien de leur vie pendant les quatre-vingt dix pour cent de la fic, tu as réussi à mettre en finesse une allusion au peu qu'on sait sur eux et qui leur donne une réputation exécrable (sans égaler les enfants de Mangemorts).
Cinq répliques suffisent (plus ce serait déplacé)pour dire l'essentiel de ce qui s'est passé pour eux et leur permet de garder la tête haute.
A bientôt,
Judith.
Réponse de l'auteur: Coucou! Déjà, après des semaines et des semaines, merci pour ta review! Je n'oublie pas ta fic sur Ted Lupin! Il faudra que je prenne du temps pour la terminer.J'ai beaucoup travailler sur Zach et je me suis vraiment prise d'affection pour ce personnage. Je ne le vois pas comme un "méchant" ou un mauvais personnage, juste parce que Harry et co ne l'aime pas! Pour moi, Zach et Marietta se sont bien trouvés tellement ils se ressemblent sur certains points !
*Journées review*
J’aime beaucoup cet OS. J’adore les personnages qui sont pas appréciés, et tu es doué pour leur redonner leur lettre de noblesse, surtout concernant Marietta ;).
Tu gardes les personnages tel que décrit par Rowling, tu te les transformes pas mais tu les fais vieillir, murir. J’aime les personnages cyniques, désabusés et là je suis servie.
Tes fictions sur les personnages peu aimé et/ou la reconstruction après-guerre sont à chaque fois une belle découverte, tu es douée pour ces thèmes.
Bises
Selket
PS : Trois petites coquilles
J’espère que je te gène pas avec toutes mes petites corrections dans mes textes.
- « C’est la porte ouverte à d’autres personnes, qui, elles, lui demanderont des comptes, lui rappelleront dans la nuit du deux mai. » je trouve la fin de la phrase bancale.
- « Tu imagines tous les vieux croupons du ministère ou de la finance qui n’ont jamais rien su faire de leurs dix doigts sans baguette. »
- « Ce n’est pas on dirait qu’il te manque un mot si je te forçais souvent à sortir. »
Réponse de l'auteur: Re! On est faites pour s'entendre ^^, pour moi, Marietta et Zacharia sont sans doute les personnages les plus désabusés de J.k Rowling ( enfin, dans ma vision) si on exclut les Serpentard post guerre! En tout cas, merci pour ta review! Je note tes coquilles, il faudrait vraiment que je prenne le temps de les corriger !
Je ne lis jamais de texte sur Zacharia, faute de texte sous le nez peut-être… Mais l’imaginer journaliste est une très bonne idée. Cela correspond beaucoup avec ses observations, sa langue un peu acerbe et la critique qu’on voit de lui dans le tome 5.
Je suis assez intriguée sur ce qui s’est passé dans la salle des pas perdus, et j’aurais aimé en savoir plus. En parles-tu dans un autre texte ?
Tu as construit un Zacharia très intéressant, conscient de la lâcheté adolescent qu’il a eu, de ce poids qui lui pèse (est-ce si important ? ne sur-réagit-il pas la réaction de ses amis ? une bataille, risquer sa vie, des jeunes… ne doit-on pas accepter que tout le monde n’ait pas la même implication, la même réaction face au risque ?). On retrouve ce poids dans sa recherche des ombres du Ministère, derrière ses articles… Creuser plus, davantage, cacher sa faiblesse ?
Ce poids est renforcé par la solitude dans laquelle tu l’as placé, sous le regard qu’il imagine des autres. Et là, arrive Marietta, tout autant paria que lui. Les esquisses d’amitié que tu donnes sont très intéressantes car on connait très peu de ce côté-là. Vraiment, Bevy, le poids de ce texte, le poids de la conscience de Zacharia connait son point d’orgue avec sa question, son « Tu crois que je suis un bon ami ». Elle explique tout. Ce qu’il a formulé plus haut sur Ernie, les doutes d’avant et les doutes futurs (pour la soirée, entre autres).
J’ai juste trouvé qu’il y avait un décalage entre ce qu’il dit de la gloire qui lui importe moins et le début où tu nous le présentes très concerné par être le premier sur le scoop.
Réponse de l'auteur: Tu sais à quel point je suis contente d'avoir un retour sur ce texte? D'autant plus qu'il me tient à cœur car j'ai passer plus de temps que coutume dessus et aussi parce qu'écrire sur Zacharia est toujours un défi, car il y a tellement plus derrière son image de gars blasé, rasoir et lâche. Je suis contente qu'il t'ai surprise! Alors la Salle des pas perdus, je n'ai encore rien dessus, j'imagine juste ça, comme chez nous, comme une salle où se rassemblent les journalistes pour les déclarations publiques et je n'ai qu'une très vague idée ce que qu'est ce fameux scandale. Pour l'instant, c'est juste de l'anecdotique pour moi!