Je n'ai pas eu l'habitude de lire des écrits sur Lavande et pourtant, celui là prend vie avec tes mots. Félicitation et bonne continuation !
Salut,
Je n'en reviens pas de cette lecture. C'est tellement fort ! Chaque phrase, chaque mot m'a donné envie de pleurer et, quelque fois, de sourire. C'est juste magnifique la façon dont tu as exprimé ce qu'elle a pu ressentir après la bataille.
C'est plein de bonnes idées bien développées : Hermione qui vient la voir, qui devient son amie après des années d'imcompréhension, qui sait tellement avoir du tact; sa meilleure amie Parvati avec qui elle peut un peu goûter au doux parfum de l'"avant" ; son amour pour Seamus, la peur qu'il la voit défigurée, et leur réunion à la fin. Waouh c'est trop * pleure *
Je ne suis pas très attachée à Lavande que je trouvais superficielle à Poudlard, enfin le schéma typique de l'ado en quelque sorte, mais tu l'as rendu très attachante et touchante. J'en ressors avec un nouveau regard sur elle.
Merci pour ce très beau texte !
C'est toujours un plaisir de retrouver tes textes, et surtout un bonheur immense de retrouver ton écriture. Trois ou quatre ans plus tard et rien n'a fané. C'est toujours aussi violent et percutant. Les images que tu emploies, notamment pendant la bataille, à la fin aussi, lorsqu'il faut confronter Lavande à Greyback, à ce qu'elle devient, (mais aussi à son amour) sont brillantes. Tes mots, inimitables, nous engloutissent. Mais, je crois, c'est la première fois que je lis un texte de toi avec autant de narration et j'ai trouvé que tu t'en sortais à merveille. Avoir fait de Lavande et d'Hermione deux alliées, deux amies improbables, en temps de reconstruction, c'était une idée que j'ai trouvée géniale. Tu fais particulièrement bien ressortir le lien étrange qui les unit. Rien qu'au départ, avec le rappel de leurs différences profondes, sur les apparences, cette incompatibilité qu'il existait entre elles et qui s'est réellement matérialisée lorsque Ron est entré en jeu, et finalement, il a fallu que ce soit elle qui lui sauve la vie... et qui l'aide à se reconstruire. J'aime comment tu utilises leur lien, ce que tu en fais, que ces deux personnalités presque opposées puissent s'apprivoiser en fin de compte. Petit retour en arrière mais une des images que j'ai trouvée particulièrement forte, si on met à part ta première partie parce qu'elle kill the game, tout est absolument parfait dans cette partie, donc une des images que j'ai trouvée particulièrement forte c'est le miroir à Sainte Mangouste. Et comment tu accompagnes cela de petits détails quotidiens, la réaction de l'infirmière, mais évidemment ce qui frappe c'est ce rapport qu'entretient Lavande avec son physique, et l'idée qu'elle relève elle-même, que ce qui l'importe est de voir qu'elle ressemble à un monstre alors qu'elle a failli y passer. Brr. Incroyable. La fin du texte me plaît aussi même si je la trouve un peu rapide. Seamus, après avoir été rejeté par Lavande, revient avec beaucoup trop de facilité à mon goût, dans l'histoire. Ça manque d'émotion du coup. Mais j'ai, à l'inverse, beaucoup apprécié le face à face avec Parvati, qui semble presque surréel, puisqu'il met de côté la guerre. Ce passage a énormément d'impact, je trouve, en si peu de phrases et sans en parler clairement, il permet de rendre compte du traumatisme qu'aura été la guerre, et de tout ce qu'elle a pu leur enlever. Je ne reviens pas sur toutes les images et ces passages qui m'ont pris aux tripes, ils sont trop nombreux et je me perdrais dans ma review. Je te félicite de réussir à mettre des mots sur des moments aussi douloureux, et de le faire avec tout le talent que je te connais. Te lire, c'est véritablement voyager quelque part, se laisser emporter, et surtout, ne jamais être déçue parce que quoiqu'il arrive le paysage a quelque chose à raconter, comme tes mots qui sont toujours percutants, poétiques, dévastateurs. Ils emportent tout sur leur passage. Je crois que je pourrais te lire pendant des heures.
Ecris le plus souvent que tu peux, ça fait du bien à nos yeux. A notre moral. Enfin, c'est superbe.
A bientôt !
Oh là là, je ne sais pas si je vais réussir à reviewer ce texte correctement, je suis en train de pleurer, je suis une boule d'émotion et mon esprit critique est visiblement en vacances, je n'arrive même pas à mettre des mots sur ce que je ressens à la suite de ma lecture, ça va être très dur de mettre des mots sur le texte en lui-même. Je vais tenter.
J'ai plus qu'adoré. Adorer, c'est trop faible. Ce texte est un tremblement de terre. Ton style d'abord, qui est incroyable : il n'y a pas une fausse note, chaque mot est le bon, chaque mot est à sa place, je ne suis pas sûre d'avoir eu cette sensation en lisant une fanfiction ces derniers temps. Ce n'est pas un texte, c'est de la dentelle. Ce n'est pas une fanfiction, c'est une symphonie. J'ai été vraiment, vraiment, vraiment touchée par ta façon d'écrire d'abord, et je crois que c'est, après tout, ce qui est le plus important pour moi dans un texte, avant l'histoire, avant les personnages, avant tout.
Mais pourtant, l'histoire et les personnages ne sont pas en reste. Cette affection entre Lavande et Hermione, sortie un peu de nulle part, inattendue, se met à couler de source sous ta plume. Et les sentiments de Lavande... Je n'aime pas trop les textes écrits à la première personne, habituellement, mais ici tout est tellement naturel, tellement beau, tout coule de source, que je me suis prise au jeu. (Zut, je suis encore en train de parler du style alors que j'avais dit que je commenterais l'histoire !) Il y a une espèce de distance dans ta manière de décrire les choses, qui fait que même au coeur de la bataille, ton écriture frappe mais ce ne sont pas les faits qui frappent. Ce que je dis n'est pas clair du tout, mais c'est très fort, comme manière de placer les mots comme frontière entre le lecteur et l'histoire. Toujours est-il que la scène de la blessure est un vrai morceau de bravoure, raconté avec juste ce qu'il faut de froideur, juste ce qu'il faut de violence, juste ce qu'il faut de poésie. C'est incroyablement bien dosé. Les scènes suivantes n'ont pas la même intensité - jusqu'à la chute, qui est magnifique - mais c'est normal, et je n'aurais pas survécu à un texte écrit intégralement comme ça. Il y a tellement de justesse dans ta manière de traiter le traumatisme, de la justesse et toujours cette légère distance qui fait toute l'originalité de ton texte et toute sa richesse, parce que ça t'évite de tomber dans le pathos et ça te permet de rester dans le vrai.
Bref, cette review part dans tous les sens et elle n'est pas du tout à la hauteur du miracle qu'est ce texte, mais je tiens à te remercier d'avoir partagé une telle histoire avec nous.
(Bon, j'ai très peu dormi cette nuit, cette review doit être bourrée de coquille, et je n'arrive pas à me relire... J'espère que c'est relativement compréhensible tout de même, si ce n'est pas le cas, mes plus plates excuses).
Hello,
Je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais lut ce texte. Moi qui adore Lavande c'est un crime. Ce texte la sublime dans toute sa fragilité touchante. Je l'aime ta Lavande, elle est belle malgré ses cicatrices. Ce texte est sublime et je ressort de ma lecture toute émue.
Tu mérites ton nom, Pollock, tellement tu l'as dépeint si bien cette Lavande toute en mouvance, creux et reliefs qui la rendent plus vivante qu'elle n'aurait jamais pu l'être.
Selket
Salut Polock !
Dis donc, je suis bien contente que le thème des sélections d'HPF m'ait poussé à lire ton texte... C'est une belle découverte.
C'est rapide, on survole chaque instant, mais tu utilises des mots très justes et des métaphores qui donnent un joli rythme à ton texte. J'ai beaucoup apprécié les rapports à l'enfance que tu as inséré lors de l'attaque. Personnellement, Greyback est une parfaite représentation des angoisses enfantines... Le grand méchant loup, le monstre sous le lit... Haha !
Merci pour cette jolie lecture, j'essaierais d'aller lire d'autres de tes textes :)
A bientôt !
Oh mon Dieu, Polock, ce texte est absolument magnifique et je crois bien que je suis en train de pleurer.
Tu sais, je crois l'avoir déjà lu, quand il a été publié, et je m'étais dit qu'il fallait absolument que je le commente et je ne l'avais pas fait, et là en cherchant des textes sur le thème de la résistance je retombe dessus, je vois qu'il y a Lavande, qu'il y a Seamus alors je me dis : "C'est pour moi !" Et me voilà embarquée dans un bien terrible voyage - et si jolie, si jolie traversée.
J'ai réalisé que je l'avais déjà lu, et pourtant c'était toujours la même tristesse, toujours la même tension, toujours la même émotion. Toujours la même émotion de tes mots, si beaux, qui s'enchaînent naturellement, de ton style d'écriture qui, j'en ai bien l'impression, grandit encore et encore et je me demande jusqu'où tu iras, si déjà tes textes aujourd'hui peuvent me faire pleurer. J'ai l'impression que chacun de tes mots est juste, que chacun de tes mots est placé exactement là où il doit être, et je suis émerveillée par ton talent.
Bouleversée, aussi. Bouleversée par cette histoire, ces histoires que j'aime tant, ce ton mi-doux mi-amer, les ravages de la guerre et en même temps les espoirs de l'après. J'ai tout aimé dans ton texte, de la Lavande pleine d'autodérision, qui se moque elle-même de l'adolescente qu'elle a été, j'ai aimé Hermione qui vient la rencontrer à l'hôpital, j'ai aimé que les deux filles se reconstruisent ensemble, j'ai aimé Parvati arrivant pour panser les plaies, j'ai aimé les mentions de Seamus distillés un peu partout et l'apparition finale, tellement soulageant, comme si finalement, ça y était, on pouvait respirer.
J'ai toujours aimé l'idée d'une réconciliation entre Hermione et Lavande après la guerre et j'aime bien penser que la première fille de Lavande porte le prénom d'Hermione en deuxième ou en troisième prénom, mais je n'ai jamais trop su encore quelle forme donner à cette reconstruction à deux, à ce qui je crois deviendra une vraie amitié. J'aurais du mal à voir les choses autrement que sous ta plume, maintenant. C'est si beau, ce que tu as écrit, et plus je lisais, plus je me disais que je ne pourrais plus jamais imaginer l'après-guerre autrement pour Hermione et Lavande, parce que j'aime l'idée qu'elles s'apprivoisent enfin, qu'elles se reconstruisent ensemble, qu'Hermione réalise que Lavande n'est pas que l'image fade qu'elle s'en faisait, que Lavande réalise qu'elle peut compter sur Hermione et ne pas simplement voir en elle une ennemie, j'ai tout aimé. C'était beau, touchant, bouleversant.
Et que dire de Seamus à la fin qui a fait fondre mon petit coeur ? Je suis heureuse que tu les ramènes l'un à l'autre au final, parce que ces deux-là, je ne peux plus non plus les imaginer séparés.
Merci de m'avoir fait passer un si formidable moment, Polock.
Je suis fan, c'est magnifique ! Tu m'as presque tiré une larme.
Lavande n'est pas un perso que j'apprécie beaucoup normalement mais, avec ta fic on ne peut que la plaindre et avoir de la peine pour elle. C'est impossible de ne pas s'attacher à elle vu ton histoire.
En tout cas félicitations c'est super beau !