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News

Nuit du vendredi 25 octobre 2024


Chers membres d'HPF,

Nous vous informons que la 148e édition des Nuits d'HPF, placée sous le signe de l’épouvante, se déroulera le Vendredi 25 octobre à partir de 20h. N'hésitez pas à venir découvrir les nuits et vous inscrire !
Pour connaître les modalités de participation, rendez-vous sur ce topic.
A très bientôt !


De L'Équipe des Nuits le 09/10/2024 12:52


Nuit HPF du 23 août 2024


Chers membres d'HPF,

Nous vous informons que la 147e édition des Nuits d'HPF se déroulera le Vendredi 23 août à partir de 20h. N'hésitez pas à venir découvrir les nuits. vous inscrire !
Pour connaître les modalités de participation, rendez-vous sur ce topic.
A très bientôt !



De Équipe des Nuits le 19/08/2024 00:41


Programme de juillet des Aspics


Bonsoir à toustes !

Un peu de lecture pour vous accompagner en cette période estivale... Vous avez jusqu'au 31 juillet pour, d'une part, voter pour le thème de la prochaine sélection ici et, d'autre part, lire les textes de la sélection "Romance" du deuxième trimestre 2024, et voter ici !

Les sélections sont l'occasion de moments d'échange, n'hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé sur le forum ou directement en reviews auprès des auteurices !


De L'Equipe des Podiums le 11/07/2024 22:30


Assemblée Générale 2024


Bonjour à toustes,

L'assemblée générale annuelle de l'association Héros de Papier Froissé est présentement ouverte sur le forum et ce jusqu'à vendredi prochain, le 21 juin 2024, à 19h.

Venez lire, échanger et voter (pour les adhérents) pour l'avenir de l'association.

Bonne AG !
De Conseil d'Administration le 14/06/2024 19:04


Sélection Romance !


Bonsoir à toustes,

Comme vous l'avez peut-être déjà constaté, sur notre page d'accueil s'affichent désormais des textes nous présentant des tranches de vie tout aussi romantiques ou romancées les uns que les autres ! Et oui, c'est la sélection Romance qui occupera le début de l'été, jusqu'au 31 juillet.

Nous vous encourageons vivement à (re)découvrir, lire et commenter cette sélection ! Avec une petite surprise pour les plus assidu.e.s d'entre vous...

Bien sûr, vous pouvez voter, ça se passe ici !


De Jury des Aspics le 12/06/2024 22:31


145e Nuit d'écriture


Chers membres d'HPF,

Nous vous informons que la 145e édition des Nuits d'HPF se déroulera le Vendredi 14 juin à partir de 20h. N'hésitez pas à venir découvrir les nuits. vous inscrire !
Pour connaître les modalités de participation, rendez-vous sur ce topic.
À très bientôt !


 


De L'équipe des nuits le 12/06/2024 12:33


Reviews pour Les affranchis

Laissée par : Bevy le 19/04/2019 21:58 pour le chapitre Chapitre cinq : I'm turning to a monster
Ce qui est intéressant, c'est que tu arrives à donner une réaction et une personnalité différente à chacun d'entre eux. Un passif et un choix de vie qui fait qu'ils ne sont ni vraiment bons, ni vraiment mauvais. Le désarroi de Pansy a survivre dans un monde qui n'existe pas ( et qui a t il vraiment existé ? ), l'acharnement de Nott à se refuser le pardon et pourtant, on la sent pondre, la volonté d'avancer et de rappeler aux autres qu'il est là. La colère froide, la violence de Blaise qui est sans doute le plus a même du mal à lui et aux autres. Tu auras sans doute d'autres reviews ce week end mais je suis contente de lire enfin ce petit bijou sur ces affranchis, cette jeunesse sacrifiée

Laissée par : Bevy le 18/04/2019 21:48 pour le chapitre Chapitre trois : Everything I touch isn’t dark enough
J'aime bien ta Pansy adulte, celle qui rappelle à James qu'il n'a pas le monopole du désoeuvrement et de la quête de soi. En fait, je les aime bien tous les deux, mais Théodore à Hannah ( et Susan, on y croit hein! ) pour lui prouver qu'il peut se racheter, qu'il peut changer. Son questionnement est bien pesé: s'isoler pour qu'on l'oublie, vivre dans l'anonymat ? Continuer de s'exposer pour se faire une place par habitude, pour se sentir lié aux autres. Car c'est quand même l'impression que me laisse Théodore, la solitude et le besoin de pardon qu'il recherche même s'il le nie. Hannah mérite une médaille, pour sa sincérité ( elle le fait pour elle, pas pour lui, pas par pitié ) et lui " tendre la main" publiquement si on peut dire. Ma review peut être confuse, la fin de semaine est proche ^^

Laissée par : Bevy le 16/04/2019 12:15 pour le chapitre Chapitre deux : Welcome to the new age !
Je me suis remise du fait que Pansy n'arrive pas à se coiffer seule, si si ! Elle a des circonstancies atténuantes mais je me pose la question, elle faisait comment à Poudlard ? Elle sifflait un efle pour qui la coiffe tous les matins ? C'est un bon résumé de la vielle, et ce n'était pas nécéssaire de trop en dire non plus.

Laissée par : Bevy le 16/04/2019 12:07 pour le chapitre Chapitre un : If I told you what I was, would you turn your back on me ?
Franchement, tu mérites des reviews. Tes chapitres sont en soit cours mais on rentre plus facilement dans l'histoire et je m'y suis sentie, dans ce salon d'un autre temps, dans cette ambiance lourde. Nos quatre Serpentard sont humains. Soit ils ont fait les mauvais choix mais il y a tout le poids de leur éducation, de leurs monde qui est désuète, condamné et qui s'éffondre. J'aime bien l'idée que les procès soient moins expéditifs, moins violents qu'après la 1er guerre contre Voldemort. Qu'il y ait une volonté de justice même si ( je le sais, tu me l'as dit) chacun va se reconstruire et se refaire une image à sa façon, à son rythme. Et de l'audace pour traiter d'un tel sujet en respectant les personnalités de nos quatre anti héros!

Laissée par : Bevy le 13/04/2019 09:39 pour le chapitre Prologue : The fall
Je te laisse une review rapide avant d'aller travailler. Je connais les grandes lignes de ton histoire mais j'ai envie de la lire en entier, parce que déjà, on en a longuement parlé. Et de deux, Pansy et Théodore quoi^^. J'aime beaucoup ces Serpentards sous ta plume! Passe un bon week end!

Laissée par : selket le 13/06/2018 12:47 pour le chapitre Chapitre huit : Do I have to run and hide ?
Coucou ça fait plaisir de lire un nouveau chapitre.
Je te pardonne pour la longueur malheureusement ça arrive souvent que l'inspiration nous fuit.

Je pense qu'il n'y a pas de solution meilleur qu'une autre ils font ce qui croit être bien pour se refaire une vie.
Drago pense à a sa famille avant tout mais Theodore et Pansy n'ont que eux alors c'est normal qu'ils se soutiennent. Seul, sans personne c'est plus dur de se relever.
Pour Blaise c'est marrant moi aussi il part en Amerique après la guerre.

J'espère que tu retrouveras vite l'inspiration. En tout cas tes chapitres restent toujours d'aussi bonne qualité.

Selket

Laissée par : selket le 07/05/2018 12:40 pour le chapitre Chapitre sept : I’m the one at the sail, I’m the master of my sea
Hello,

Je suis contente de retrouver ici Theodore et Pansy. Ce sont peut-être les deux personnages que je préfère dans ta fic.

J'aime ton Théo si serpentard, si mouvant dans les ombres. On a pas tout à fait la même vision de lui mais au moins nous sommes d'accord sur le fait que c'est un homme de l'ombre.

Pour Pansy j'aime le fait que tu montres qu'elle n'a choisit qu'une fois dans sa vie et que ce n'était pas pour le mieux. Tu la fais changer avec cette phrase qu'elle a prononcé. En voulant livrer Potter elle entame son déclin et son changement. Elle n'est plus la petite princesse qui a tout et s'impose aux autres elle est juste une gosse paumée. Car en fait ils sont encore des enfants ces serpentards livrés en pature à la rage populaire.
C'est triste de voir que ce sont majoritairement des enfants qui se sont battus et ont dut faire face aux conséquences de leurs actes. Actes qui souvent été déjà joués d'avance en fonction de leur camp.

Bref je m'égare mais tu sais combien j'adore tes serpentards torturés.
Dis moi tu as prévu combien de chapitres à peu près ? ^^

A bientôt
Selket

Laissée par : Bloo le 03/05/2018 14:58 pour le chapitre Chapitre six : You made me a, you made me a believer, believer
Oh là là Lyssa, ton écriture est tout bonnement magistrale. Vraiment. D'ailleurs je suis allée lire ma review précédente pour constater, effarée, que je n'avais même pas pris la peine de le souligner, alors il faut que je le fasse doublement ici : c'est magistrale, cette façon dont tu écris, les pensées de Pansy, le décor autour d'elle, j'avais littéralement la scène qui se jouait sous mes yeux comme si c'était un film que je regardais et pas un chapitre que je lisais. Et tes mots, bon sang tes mots, j'ai l'impression que chaque mot a été judicieusement choisi, qu'il est le fruit d'une longue réflexion, les phrases s'enchaînent parfaitement les unes les autres et moi je suis sciée. Sérieusement, ça te prend combien de temps d'écrire un chapitre comme ça ? Et je t'en prie ne me dis pas une heure parce que ça va sérieusement me déprimer :mg:

Non mais même la fin, ça m'a soufflée, littéralement, les pantoufles, la princesse, la citrouille, et le rideau s'abaissa sur l'actrice épuisée. Je suis : 200% fan.

Ce chapitre est très dur, en effet, mais je crois que je l'ai préféré au premier chapitre sur Pansy que j'avais pourtant déjà beaucoup aimé. En fait, tu commences à vraiment me la faire apprécier, ou en tout cas, tu me fais voir ce personnage sous un angle complètement nouveau et que j'apprécie énormement : c'est comme si je redécouvrais Pansy.

Le talent de ce chapitre, c'est de faire autant référence à la dénonciation de Pansy dans la Grande salle, quand elle a voulu livrer Harry. Parce que j'ai beau ne jamais avoir aimé ce personnage, s'il y a bien un point sur lequel je n'irais jamais lui faire de reproches, c'est celui-là ! Personne ne l'a forcée à harceler Hermione toute sa scolarité durant, à moquer et rabaisser les autres, ni même à rejoindre la Brigade ou les Carrow - tous les Serpentard n'en faisaient heureusement pas partie. Mais dénoncer Harry, c'est terrible bien sûr, et ça paraît incompréhensible pour les résistants, les héros, ceux qui ont le courage, mais c'est bien le moment où j'ai pu me mettre à la place de Pansy. Parce que là, on a une jeune fille à qui Voldemort vient d'annoncer une bataille imminente, qui a peur pour sa vie, pour celle de ses amis, et on lui dit qu'il est possible d'éviter tout ça, qu'on peut épargner des dizaines de vie en en donnant une seule - qui plus est la vie de quelqu'un qu'elle ne porte pas spécialement dans son coeur : c'est lâche, sans doute, de vouloir livrer Harry, ce n'est clairement ni courageux, ni gentil ni bienveillant ni quoi que ce soit, mais à ce moment, pour elle, c'est rationnel. Et je suis persuadée qu'elle n'a pas dû être la seule à le penser, même si elle le paye seule après. Je n'ai jamais été dans ce genre de situation, et j'espère bien ne jamais l'être, mais c'est impossible de dire ce que j'aurais fait à sa place : j'espère, bien sûr, que j'aurais été du côté de Harry, des résistants, mais qui peut bien savoir comment il réagit face à la peur la plus terrible, la peur pour sa vie ? Parfois l'instinct de survie prend le dessus et c'est ce qui est arrivé pour Pansy et c'est totalement compréhensible - ce qu'a fait Blaise ne l'est pas, pas à mes yeux en tout cas, mais Pansy ne fait pas pareil. D'ailleurs elle n'a pas non plus directement cherché à faire du mal à Harry, et peut-être que si elle avait dû le tuer ou le livrer elle-même, elle ne l'aurait pas fait, parce que là ça aurait rendu le "on n'a qu'à le livrer" bien réel et que Pansy est sans doute beaucoup de choses, mais elle n'a pas l'air d'être une meurtrière.

Bref, en attaquant comme ça, tu as fait gagner ma sympathie à Pansy (j'ai l'impression que ma phrase n'est pas très française ?). Et je me suis sentie tellement mal pour elle lorsqu'elle en arrive à se faire du mal à elle-même, à se marquer comme si quelque part, elle acceptait que la société l'ait marquée comme une "traîtresse", au moins inconsciemment en tout cas, en reproduisant elle-même les marques. Et sa mère ne fait rien pour arranger les choses : avec une figure maternelle pareille, on comprend un peu mieux comment Pansy a pu devenir ce qu'elle est - elle n'a clairement pas eu un modèle de tolérance et de bienveillance dans son enfance. D'une certaine manière, il y a un côté retour de bâton dans cette beauté déchue, Pansy qui moquait ses condisciples et notamment pour Hermione pour leur physique se retrouve à haïr le sien et à l'âbimer volontairement, et en même temps ça ne paraît pas juste et d'ailleurs je ne pense pas qu'un personnage aussi droit que Hermione prendrait plaisir à voir Pansy dans cette situation - ça ne soignera pas ses propres plaies, de toute façon. Pour autant c'est dur de dire qu'on voudrait la serrer dans nos bras, la consoler, parce qu'elle a bien fait des choses méchantes, on le sent quand elle parle de son elfe, par exemple, et de ce qu'elle lui faisait subir, et qu'il ne s'agit pas de tout effacer d'un claquement de doigt et de pardonner parce qu'elle réalise enfin que, peut-être, ce n'était pas bien - et uniquement parce qu'elle se retrouve finalement de l'autre côté du miroir. Mais tu la rends plus humaine, assurément, et si ça ne suffit pas encore à en faire, pour moi, un personnage appréciable, ça donne clairement de l'espoir quant à son avenir et en tout une envie qu'elle s'en sorte et qu'elle se reconstruise si elle parvient à admettre ses erreurs et ses "vraies" erreurs, pas le fait d'avoir soi-disant ruiné le prestige d'une famille qui a très bien su faire ça toute seule et qui n'a de famille que le nom.

Merci énormément d'écrire Lyssa, parce que tu me fais réfléchir, et j'ai vraiment hâte de lire la suite de cette histoire !

Laissée par : Bloo le 03/05/2018 14:40 pour le chapitre Chapitre cinq : I'm turning to a monster
Salut Lyssa !

Avant toute chose, en voyant ta petite note je suis allée voir rapidement ta fiction "Pour survivre", juste la survoler pour un peu mieux comprendre ce chapitre, mais je n'ai pas laissé de reviews et j'en suis désolée - j'essayerai plus tard, mais je t'avoue que les histoires vraiment centrées sur la torture/la répression, ça me met mal à l'aise, c'est pas du tout contre ton écriture et toi au contraire, c'est juste que ça me fait me sentir trop mal et c'est pour ça que j'écris plutôt sur l'après.

Quoi qu'il en soit, c'était vraiment intéressant de savoir ce qui s'est passé avec Seamus parce que mine de rien, ça joue beaucoup sur mon ressenti final de ce chapitre et de Blaise. Blaise est détestable. Vraiment. J'arrive à trouver des choses qui m'émeuvent en chaque autre personnage, même Pansy qui n'est pas un personnage que j'affectionne beaucoup de base par exemple, mais Blaise n'a vraiment pas grand-chose pour lui. Avec Seamus, il ne s'est pas juste contenté de sauver sa peau quand même, il a clairement "fait du zèle" (si on peut employer une expression pareille pour la torture...) et dans ce chapitre on dirait clairement un gamin qui refuse d'admettre qu'il a fait une bêtise et une grosse bêtise en plus. "Le bon plaisir" des sorciers qui organisent la commémoration, d'accord, mais son bon plaisir à lui pendant l'année à Poudlard ça l'effleure pas trop visiblement. Bref, il apparaît clairement un personnage insupportable et impardonnable, et en même temps, ce faisant, il donne beaucoup plus de relief aux autres : à Theodore dont on sent bien qu'il commence à comprendre ou en tout cas finira par comprendre qu'il a pu commettre des erreurs, à Drago qui est sans doute le plus conscient de tous et qui essaye de remettre de l'ordre dans sa vie, et même à Pansy qui a au moins le mérite d'essayer, de tenter de reconstruire quelque chose quand Blaise a déjà clairement abandonné.

Et en même temps, même si le personnage principal de ce chapitre est très peu sympathique, j'ai adoré ma lecture, vraiment ! Parce qu'il y a quelque chose de presque fataliste dans le destin de Blaise et j'ai trouvé la remarque sur les maris de sa mère terriblement brillante, si bien placée : on a presque l'impression que Blaise part déjà du principe qu'il va mourir jeune lui aussi, qu'il ne survivra pas à cet après, et que c'est une fatalité qu'il a déjà accepté. C'est terrible, parce que personne ne devrait avoir cette idée en tête à un âge pareil, et c'est terrible parce que ça tranche complètement d'avec le Blaise qui a fait du mal à Seamus et qui, lui, n'avait qu'une seule idée en tête : survivre. Il a fait les pires choses pour vivre et maintenant que la guerre est finie, il se laisse dépérir et c'est à se demander à quoi ses actions pendant la guerre ont bien pu servir. Du coup, je m'interroge énormément sur ce personnage : est-ce que finalement, et quoi qu'il puisse en dire, il n'éprouve pas d'immenses regrets ? Est-ce qu'il n'a pas terriblement honte de ce qu'il a fait, au point d'en perdre sa volonté de vivre ? Parce que l'objectif qu'il s'était fixé - survivre - il l'a atteint, et pourtant il en est réduit à se droguer pour supporter la réalité. Le coût de l'objectif était-il trop élevé ? Il dit qu'il est un monstre, mais on sent qu'il ne l'accepte pas encore tout à fait, qu'en tout cas il ne l'assume pas et que verbalement, il préfère encore rejeter la faute sur les autres, et même dans ses pensées, il a des mots assez violents à l'égard des résistants. Il y a une énorme contradiction qui se dessine là, entre ce qu'il a fait et ce dont il prend peut-être très péniblement conscience, et ce qu'il prétend avoir fait. Honnêtement, je n'arrive pas à savoir si le mot "monstre" qu'il emploie à la fin résulte d'un vrai travail de réalisation qui débouchera plus tard sur des regrets, ou s'il lui vient simplement à l'esprit parce que son camp a perdu et si, dans le cas inverse d'une victoire de Voldemort, il n'aurait pas tranquillement continué à vivre sa vie avec une conscience presque tranquille. Il est très perturbant, quand même, comme personnage.

Paradoxalement, c'est peut-être le personnage dont j'ai le plus envie de connaître le futur, du coup, parce que c'est aussi celui qui a le futur le plus incertain : je suis tout bonnement incapable de te dire si je le vois finir par exprimer ses regrets et tenter de se repentir ou rester dans son espèce de déni actuel et finir par se consumer avec. Les deux me semblent plausible à ce stade - peut-être aussi que tu inaugureras une autre voie, je suis pas très douée pour deviner les suites de toute façon ahah.

Laissée par : BellaCarlisle le 30/04/2018 03:14 pour le chapitre Chapitre six : You made me a, you made me a believer, believer

Coucou Lyssa,

Plus on avance et plus j'ai l'impression que tes chapitres s'assombrissent et deviennent plus déprimants pour tes personnages. J'ai bien aimé retrouver Pansy, je crois que j'apprécie beaucoup cette version que tu nous livres, cette jeune femme qui a tout perdu (y compris l'esprit dans ses coups de folie) et qui ne peut se raccrocher à rien et à personne. Elle est vraiment seule au monde, tu ne fais pas mention de ses amis et je trouve que ça amplifie énormément ce sentiment de solitude. Un peu comme Raiponce seule dans sa tour qui attend de connaître l'extérieur. Si je me permets la comparaison, c'est justement parce que les tiennes sont frappantes. Entre le coup du miroir et la référence à la citrouille, on pourrait plonger dans un conte de fées mais ce serait un monde où tout se finit mal, où il n'y a pas de fin heureuse pour l'héroïne.

Pansy est définitivement torturée, aussi bien physiquement que mentalement. C'est fou comme la fin de la guerre a un impact sur elle, je ne pensais pas à ce genre de conséquences (enfin, je n'y pensais pas pour cette génération, j'imaginais plutôt ça pour les plus vieux). C'est assez contrasté en fait entre l'image qu'elle renvoyait à Poudlard et celle qu'elle est désormais. C'est un peu comme si le sortilège de la marraine la fée avait marché à l'envers. Le passage où elle se griffe le visage est triste dans le sens où tu expliques les conséquences après et qu'il est dommage de se rendre compte du fait qu'elle n'est pas soutenue par ses parents. Pour tout dire, je m'attendais peut-être à un peu plus de compréhension de leur part, d'autant plus que tu précises bien que ses parents n'ont pas été les petits sorciers parfaits du coin. Du coup, on se dit qu'il pourrait y avoir un certaine soutien de ce côté mais en fait, non. C'est un peu pareil lorsqu'elle parle du petit voile, comme si Pansy allait prendre son temps pour sortir alors qu'elle semble être au bord du gouffre.

Un autre personnage qui fait de la peine, à mes yeux, c'est l'elfe de maison. On voit bien qu'elle tente de tout faire pour satisfaite ses maîtres mais que ça ne marche pas à chaque fois (et sérieusement, Pansy oserait lui demander de se mettre les oreilles dans le four ? Mais c'est inhumain et franchement peu hygiénique x) ).

Je n'arrive pas à déterminer si c'est de la pitié ou de la compassion qu'il faudrait avoir pour Pansy mais, d'un autre côté, je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'elle mérite un peu la situation dans laquelle elle se trouve. C'est elle a qui a clairement dénoncé Harry (pour ce que ça a servi, bon, ce n'était pas si problématique) et c'est une question de principe. Les autres maisons ne réagissaient pas et je pense qu'elle a pris la décision qui lui semblait la plus juste, même si elle s'attire les reproches de sa mère.

J'ai assez hâte de revoir une scène avec les différents protagonistes, surtout s'ils sont tous dans le même état qu'elle. Déjà que Pansy déprime alors qu'elle n'est pas forcément la plus fautive du lot. Mais je continue à dire que j'ai bien aimé cette ambiance autour d'elle.

À bientôt !


Laissée par : selket le 28/04/2018 20:33 pour le chapitre Chapitre six : You made me a, you made me a believer, believer
Hello,

ça faisait longtemps que je n'étais pas venue ici. J'ai raté deux chapitres diantre.

Au fil du récit le ton devient encore plus dur tandis que les masques se craquellent. Pansy et Blaise sont les plus à plaindre de ce quatuor il me semble.

Tu as toujours ce don des mots pour cette fic. Je me demande comment tout cela va tourner et si ils vont aller à cette réception.

A bientôt
Selket

Laissée par : BellaCarlisle le 23/04/2018 03:39 pour le chapitre Chapitre cinq : I'm turning to a monster

Hello Lyssa !

Ta note de fin me donne furieusement envie d'aller lire la fanfiction sur Seamus et Blaise, ce qui signifie que tu auras sans doute encore certains de mes avis sur tes écrits.

Je ferme la parenthèse pour en revenir à ce chapitre. Plus j'avance et plus je me dis qu'ils n'ont pas de chance les uns et les autres. Ils semblent tous être détruits par ce qu'ils ont fait et subi mais là, Blaise représente quand même le summum de leur détresse. J'avais trouvé que Pansy paraissait être un peu perdue et complètement hystérique mais en fait, c'est bien Zabini qui est le pire du lot. Il y a une telle violence dans ses gestes et tant de dédain dans ses mots qu'il apparaît presque comme étant loin de tout et de tout le monde. Au moment où il évoque le fait que les autres ne sont pas ses amis, on en vient à se demander quel qualificatif peut être le mieux pour leur relation. Dans un sens, j'ai un peu pensé à Peter Pan et aux enfants perdus, ils le sont tous ici et il n'y a personne pour leur venir en aide.

Je suis un peu intriguée par la potion que Blaise boit parce que j'ai eu la sensation de retrouver une image de Docteur Jekyll et Mister Hyde. Il y a la bonne part et la mauvaise part, plus particulièrement une version colérique de lui-même qui doit être calmée. Et d'un autre côté, ça m'évoque aussi d'une certaine manière tous les calmants et autres anxiolytiques "moldus". Pour le coup du Blaise monstrueux, il contraste énormément avec le chapitre où on apprend que Pansy et Théodore ont laissé Lavande en paix. Zabini est sans doute le moins clean de toute la bande et on voit nettement qu'il en a contre le monde entier pour tout ce qui lui a été inculqué. On en revient toujours à ce petit débat sur le fait qu'ils soient innocents ou coupables, complètement manipulés ou bien conscients de leurs actes. Je reste encore entre deux opinions sur ce point parce qu'ils ont agi un peu comme des moutons à suivre les modèles de leur enfance mais, d'un autre côté, ils n'ont justement connu que ce modèle et ça explique tout le reste.

La commémoration est une bonne idée (d'ailleurs, ça me rappelle le projet sur le forumforum) mais je ne suis pas sûre du tout que ce soit un gage de sécurité pour eux. Même s'ils ont jugés, je doute que la communauté sorcière soit prête à pardonner à tout ce petit monde. Mais on ne sait jamais ce qui peut arriver et je pense qu'on aura nos réponses par la suite.

Un détail frappant, c'est l'effacement de Drago par rapport aux autres. Je trouve que c'est quelque chose d'assez symbolique parce que le long de ses années à Poudlard, on ne voyait que lui, et désormais il n'est plus qu'une ombre qui se fond dans le paysage. Mais ça paspasse très bien et ça me paraît vraiment cohérent. Et aussi le passage sur le petit Blaise qui a vu sa mère empoisonner des thés. On peut supposer que ça marque un enfant à vie d'assister à la folie meurtrière d'un parent.

Je finis sur une petite note d'humour en disant qu'il leur faudrait une petite séance chez le psychomage pour aller mieux.

A bientôt ! :)


Laissée par : Bloo le 16/04/2018 19:31 pour le chapitre Chapitre quatre : An expoxy to the world and the vision we've lost, I'm an apostrophe
Alors, je n'ai pas trouvé Drago moins bien traité que les autres et en plus moi aussi je l'imagine très déprimé après la guerre, déjà quand on le voit dans les tomes 6 et 7 il respire pas franchement la joie de vivre et je ne vois pas trop pourquoi ça irait en s'arrangeant dans l'immédiat après-guerre.

Cela dit, je dois avouer que j'ai un petit peu moins apprécié ce chapitre que les autres, et je suis vraiment désolée de dire ça, mais je crois que c'est plutôt moi de toute façon : Drago n'a jamais été un personnage m'intéressant particulièrement et les Malefoy en général en fait. Et j'ai bien aimé le rituel du thé de Narcissa mais j'ai trouvé que ça apportait un peu moins de choses que tous les autres détails que tu pouvais donner dans les chapitres précédents.

Ce qui était vraiment vraiment bien fait c'est le dosage des sentiments de Malefoy, et c'est peut-être aussi pour ça que ce texte me laisse un sentiment un peu... je sais pas trop comment dire, "déprimée" ? Mais là c'est pas du tout une critique au contraire, tu nous mets très bien dans l'état d'esprit de Drago en fait et cet état d'esprit n'est clairement pas des plus optimistes. C'est ce que j'aime le plus, je crois, dans ton écriture, ta capacité à faire ressentir les émotions, à mettre en empathie avec les personnages, tu nous permets de vivre l'histoire avec eux et ça c'est vraiment juste formidable alors bravo Lyssa !

Laissée par : Bloo le 16/04/2018 18:42 pour le chapitre Chapitre trois : Everything I touch isn’t dark enough
Je crois que Theodore est celui qui attise le plus ma curiosité depuis que j'ai dû écrire sur lui dans le cadre d'un échange de Noël : je n'ai pas du tout développé la même vision de lui que toi, mais on sent bien que la tienne est bien mieux maîtrisée et je l'ai donc beaucoup aimé !

Theodore a beau dire qu'il n'est pas sûr de mériter tout ça, j'ai l'impression que son inconscient parle un peu pour lui quand même : en fait, tout au long du chapitre, j'ai vraiment eu cette impression d'auto-flagellation avec un Theodore qui peut-être sans même s'en apercevoir cherche à se punir pour ce qu'il a pu faire par le passé. Je suis d'ailleurs très curieuse d'en savoir plus par la suite ! Quel a été son rôle concrètement au sein des Mangemorts ? Qu'est-ce qu'il a été amené à faire exactement qui le pousse à s'infliger une punition comme ça ?

Clairement, tu réussis à faire prendre le dessus à l'empathie sur ce chapitre et pourtant tu sais bien comme je suis un peu sceptique sur ces personnages. Mais l'histoire de Theodore a l'air particulièrement dure et il m'a un peu fait penser à Regulus en un sens : le seul qui puisse encore redorer le blason familial et qui a cette responsabilité toute entière sur ses épaules (Regulus parce que son frère est parti, Theodore parce que sa mère est décédée et qu'il n'y a que lui pour perpétuer la lignée des Nott). Et autant, je pense que même avec des parents qui ont des idées racistes, il y a un moment où on prend une responsabilité et à 17 ans, tu pourrais commencer à faire la part des choses et à te questionner, mais là, dans le cas de Theodore, c'est bien plus pernicieux que ça : il n'a vraisemblablement pas été élevé dans l'amour, choyé d'un point de vue matériel sans doute, mais pas aimé et ça on sait malheureusement bien les dégâts que ça peut causer. Je trouve ça chouette d'ailleurs que tu n'aies pas basculé dans la "facilité" de faire de tous les parents des Serpentard de mauvais parents comme excuses au comportement de la bande, mauvais parents par les idées qu'ils transmettent évidemment, mais je pense que beaucoup d'entre eux devaient sincèrement aimer leurs enfants et leur souhaiter de réussir et c'est ce qui doit rendre la situation d'autant plus difficile et incompréhensible pour ces jeunes qui ont toujours été couvés. Et ça donne une profondeur en plus au personnage de Theodore du coup ! Qui a fait tout ce qu'il a fait parce que son père lui a dit de le faire mais sauf que lui n'a même pas l'air de vraiment l'aimer, ce père, alors j'imagine qu'il a peu le sentiment d'avoir fait tout ça pour rien et que peut-être c'est ce premier sentiment qui va amener à la prise de conscience de ses actes.

Et sinon, j'ai énormément apprécié l'intervention d'Hannah, c'est un personnage que j'aime beaucoup moi aussi et ses répliques sont juste waouh ! "Considère que le pardon est le privilège des vainqueurs" je te jure j'étais soufflée ahah, j'aime bien qu'elle se défende, qu'elle ne se laisse pas faire, gentille et compréhensive mais capable d'aller jusqu'au bout de son truc sans se faire mépriser ou ignorer. Voilà chapeau Hannah Queen Hannah, et puis chapeau toi surtout pour avoir pensé cette réplique et rédigé ce nouveau merveilleux chapitre !

Laissée par : BellaCarlisle le 09/04/2018 06:03 pour le chapitre Chapitre quatre : An expoxy to the world and the vision we've lost, I'm an apostrophe
Tu as raison d'être fière de ta dernière phrase parce qu'elle n'est pas mal du tout (le reste du chapitre aussi, hein, mais je pense à ta note d'auteur en écrivant cette review). Bon, après, il faut se dire que si cette phrase avait été fausse, il y aurait de quoi s'inquiéter au sujet de la famille Malefoy.

J'ai bien aimé ce petit rituel de Narcissa qui consiste à prendre le thé. On dirait qu'elle n'arrive pas à dissocier le passé et le présent, comme si elle s'attendait presque à voir Lucius franchir la porte. Et on a Drago, très amer, qui me donne la sensation de découvrir un personnage qui aurait mille reproches à faire à son père. Je me dis qu'entre Lucius et Drago, ce n'est pas la joie du tout et le second préférerait sans doute ne plus être reconnu comme étant le fils du premier.

J'ai adoré le passage avec la presque solitude dans le silence du manoir. C'est sûr qu'après les tortures sur les prisonniers, les réunions avec Voldemort et les hurlements fréquents, ça doit sembler un peu calme. J'imaginais presque que Drago changerait d'endroit où vivre, que ça lui rappellerait trop tout ce qu'il s'est passé avec les Mangemorts mais j'imagine qu'acheter un bien lorsqu'on a fait la une des journaux en étant jugé, ce n'est pas si simple.

J'aime beaucoup cette façon de voir les choses. Ton Drago n'est pas moins bien traité que les autres, si jamais tu as besoin d'être rassurée à ce sujet. Et puis c'est sympathique d'avoir un aperçu de sa mère, du bouleversement qu'il y a dans leur famille suite à l'emprisonnement de Lucius.

J'ai hâte de lire la suite et de plonger encore plus dans les sentiments assez peu joyeux de la petite troupe.

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