Comme je l'ai déjà dit dans l'une de mes reviews, je retrouve ici le Théodore que j'ai découvert dans ta fanfic So...Let it snow et il est toujours aussi fidèle à lui-même. Pour répondre à ta question, je n'arrive pas à déterminer qui est le plus à plaindre entre lui et Pansy. J'aurais tendance à dire Pansy parce qu'elle semble être chamboulée d'une autre manière, complètement perdu dans un nouveau monde où elle n'est pas à sa place alors que Théodore avance à sa façon mais n'a pas peur de sortir au grand jour pour affronter tous les regards et les commentaires. La discussion sur son choix de boisson a aussi été un rappel pour moi de ton autre fanfic, ce moment où on imagine qu'il boit forcément de l'alcool et que le chocolat chaud nous surprend.
Pour le coup de la Marque des Ténèbres, j'ai beaucoup aimé ta description, on se sent à la place de Théodore. De même pour le début du chapitre où tu exposes les regards et opinions des autres. Une question m'est venue à l'esprit par rapport à tout ça : tu évoques tous les jeunes qui étaient à Poudlard et qui ont agi contre leurs camarades. Jusque là, aucun problème, mais il y a une petite chose qui m'étonne quand même : j'ai l'impression qu'ils sont perçus par la population comme des bourreaux sans coeur et extrêmement nocifs pour eux. D'un côté, je comprends parfaitement, mais de l'autre j'ai la sensation qu'il n'y a qu'eux comme cible alors qu'il y a bien des adultes qui ont commis de pires atrocités, n'est-ce pas ? En fait, ce que je veux dire, c'est que le jugement de chacun me paraît un peu excessif. Je tiens à préciser que c'est uniquement mon point de vue et qu'il n'y a là aucun reproche.
Pour repartir sur une note plus légère, j'ai apprécié retrouver Hannah. Ça ajoute un peu d'espoir et de lumière vis-à-vis du sombre contexte qu'il y a autour des autres personnages. Et ça montre aussi que certains veulent tourner la page sans rester dans le passé.
Je trouve ton écriture toujours aussi agréable à lire par ailleurs et je m'en vais attaquer la suite.
Coucou Lyssa,
Par rapport à ta note de fin de chapitre, heureusement que tu aimes bien le personnage de Pansy parce que sinon, je n'ose pas imaginer ce qu'elle pourrait subir la pauvre. J'ai eu un peu de peine pour elle, particulièrement vers la fin, quand elle se rend compte qu'elle est incapable de se peigner seule. C'est à ce moment-là qu'on voit à quel point elle a été habituée à ne rien faire et à laisser les autres agir à sa place. J'en plains presque l'elfe de maison qui n'a rien fait de mal et qui va devoir supporter son caractère x)
Le contraste entre le début du chapitre et les dernières lignes est assez saisissant. D'un côté on a Théodore qui se libère de manière claire de toute son éducation, qui n'hésite pas à "salir" tout ce qu'il a connu tandis que de l'autre, il y a Pansy encore chez elle qui semble prisonnière d'elle-même. C'est un peu comme si Nott avait compris avant les autres que ça ne sert plus à rien de se voiler la face et qu'il faut aller de l'avant.
Le passage concernant Lavande est intéressant parce qu'il montre bien que les Serpentard n'ont pas passé leur temps à dénoncer les autres sans aucune raison. Là encore tu nous fais une belle opposition entre Théodore et Pansy. Le premier réagit tout de suite en faisant comme s'il n'avait rien vu alors que la seconde a hésité un peu, sans vraiment savoir quoi faire.
Par contre, à ce rythme, ils vont finir par former une génération d'alcooliques. J'espère pour eux que ce n'est pas devenu un rituel de boire dès que quelque chose ne va pas (ou alors il faut demander à modération de les accompagner ^^). D'ailleurs, c'est assez ironique de voir qu'ils se plongent dans les usages moldus comme le whisky et les cigares.
Je file lire la suite !
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé la dernière phrase qui je trouve représente bien Drago.
En effet on remarque un peu que tu maitrises un peu moins ce personnage. Les phrases sont plus lapidaire, moins poétiques mais je trouve que ça donne un côté haché au personnage. Je pense que si tu ne l'avais pas mentionné en début de page j'aurai cru que c'était fait exprès.
Mais c'est vrai que du coup ce chapitre dénote un peu par rapport aux précédents de par l'ambiance plus narrative, descriptive et moins tournée sur les sentiments profonds des personnages. je sais pas si c'est clair.
Par contre j'adore le fait que tu montres que les habitudes ne sont pas facile à briser, qu'il est plus simple de se réfugier dans les souvenirs et de faire semblant de voir ne pas voir le bateau couler. Chacun de tes personnages à sa vision propre de la situation, sa propre façon de gérer tout ça et ça c'est interessant
A bientôt
Selket
Quand je finis ma lecture de tes textes il me faut toujours quelques minutes pour reprendre mes esprits et trouver les mots.
Ces mots qui ne te font pas défaut et que ta plume sublime.
J'ai adoré ce chapitre même si il me laisse un sentiment d'amertume. Je l'aime bien ton Théo peut-être parce qu'il ressemble au bien ? Ou peut etre parce qu'il me touche ?
Hannah est un personnage auquel j'ai jamais fait attention mais plus je fais de fic sur elle et plus je m'y attache. Si ça continue je vais me mettre à écrire sur elle.
Je te rassure la fic de Catie et Julia n'est pas du tout la même dans le traitement que la tienne. Tu es plus poétique, elles sont plus dans le suspense et le drame. Vous traitez de deux façons différentes la déchéance de cette jeunesse doré. C'est interessant d'avoir plusieurs visions de cette chute je trouve.
A bientôt
Selket
... bonne question ! Tu es si douée pour jouer avec les personnages, les mots et les émotions que j'ai une subite envie de me precipipré chez Pansy pour l'aider à se coiffer et d'aller serrer Théo dans mes bras ♥ ... Bon pas sûre qu'il accepte par contre XD
Merci beaucoup pour ta trop adorable dedicace♥♪ surtout pour un chapitre comme ça ! Inoubliable ! Et tes descriptions sont beaucoup trop belles... Je proteste ! J'aime TELLEMENT ton style Lyssa ! *.* Tu as une plume si belle ! Tu pourrais nous faire avaler n'importe quoi, je lirai juste pour faire rouler les mots que tu as choisis sur ma langue, pour m'abreuver des sonorités de ton texte et de ses effets visuels !
Merci du fond du cœur ♥
Ah j'attends la suite avec impatience ! Non seulement pour savoir si Pansy va réussir à se démêler les cheveux XD (--->) mais aussi pour voir comment Théo (Aka l'homme de l'ombre) va s'en sortir (et je souligne qu'on retrouve la beauté du personnage d'Hannah dans ton texte ce qui est merveilleux) ainsi que Blaise et Drago ^^
J'aime cette ambiance teintée de nuances que tu dépeints ! Cet après-guerre de procès !
Vraiment bravo et à bientôt merci encore ♥
Bonjour Lyssa !
Décidemment, je n'aurais que rarement commenté deux jours d'affilée un texte sur les Serpentard mais quand j'ai vu ton histoire apparaître dans les nouveautés après l'avoir découverte hier, je me suis dit que je ne pouvais évidemment pas passer à côté !
J'ai beaucoup aimé ce chapitre, et tu vas me dire que je ne suis pas très originale dans mes commentaires mais le fait est que j'aime beaucoup lire ton histoire et que ce chapitre n'a pas fait exception à la règle : en fait, je crois même qu'il s'agit de mon préféré jusqu'à présent. Pansy est pourtant loin d'être mon personnage favori a priori, quoique ni plus ni moins que les autres Serpentard qui apparaissent dans ton histoire, mais j'ai adoré la façon dont tu l'écris ici et je trouve que tu la maîtrises incroyablement bien - j'imagine que tu as déjà écrit sur elle, ce qui me donne envie de fouiller un peu plus ton profil d'autrice, et si ce n'est pas le cas alors franchement bravo, parce que tu l'écris vraiment comme si tu l'avais créé.
En fait, ce qui est chouette avec ces personnages, c'est qu'on peut avoir plein d'idées sur eux à partir de ce qu'on sait dans les livres, mais que ça ne suffit pas, que ce n'est pas exhaustif, et qu'il y a donc une grande place laissée à l'imagination, plus qu'avec des personnages comme ceux du Trio. Je t'avoue que je m'étais rarement interrogée sur ce que devenait Pansy après la guerre, mais j'aurais du mal à imaginer les choses autrement maintenant que je t'ai lu : j'ai tout adoré dans ce chapitre, vraiment. Des détails de cette soirée où ils ont tous tenté d'oublier, le temps d'un dernier soir, que leur vie s'apprête à prendre un tournant qu'ils ne peuvent pas anticiper et contre lequel ils ne peuvent pas lutter, toutes les mentions de ce qui a un jour fait leur quotidien, la richesse dans laquelle ils ont grandi, l'éducation qu'ils ont reçue, les valeurs avec lesquels ils ont évolué, j'ai aimé que tu nous présentes tout ça tout en nous disant que ça n'allait pas pouvoir durer, c'est incroyable en fait parce qu'on découvre un monde au moment où il se fissure, parce que tu nous apprends des choses qui peut-être ne valent déjà plus, et c'est déconcertant, et ça permet de se mettre à la place de tes personnages. Et surtout, j'ai adoré la dernière scène dans laquelle Pansy essaye de se débrouiller seule, de faire ce geste a priori des plus banals qu'on a pourtant toujours fait à sa place jusqu'à présent et où elle n'y arrive pas : cette scène est merveilleuse, elle est brillante, vraiment, et l'expression "princesse déchue" ne pouvait pas mieux tomber.
Du coup, forcément, j'ai revu un peu ce que j'avais pu te dire dans ma review précédente déjà : je crois que je me satisfais vraiment de ce qu'on fait les membres de l'AD pendant le procès, maintenant, parce qu'il est évident que Pansy et ses amis ne vont pas s'en sortir si facilement et qu'ils seront quand même "punis" d'une façon ou d'une autre. Disons que dans le précédent chapitre, je me demandais si la situation n'était pas un peu injuste encore mais pas pour eux, pour les autres plut tôt, si les Serpentard ne s'en sortaient pas finalement un peu trop bien, maintenant je comprends vraiment le choix qu'a fait Lavande (je suis curieuse d'en savoir plus d'ailleurs sur cette fois où Pansy et Theodore l'ont épargnée !), le choix de Seamus, le choix de Harry, et je crois pouvoir un peu plus affirmer maintenant que j'aurais fait le même, même si je ne suis pas encore très arrêtée et que ce point de vue évoluera peut-être encore par la suite - je ne suis pas sûre de beaucoup apprécier Blaise par exemple ahah.
Merci d'écrire cette histoire et à bientôt !
Hello,
C'est ton image qui m'a attirée. Cette femme en talon dans un cadre étriqué et sombre. Et puis après ce titre : les affranchis.
ça me fait un peu penser à la fic Les désillusionnés de Catie et Julia. Surtout qu'elles aussi parle de la chute des sangs-purs. C'est ce texte qui m'a donné envie d'écrire le naufrage du temps et c'est ta fic qui me donne la motivation de continuer à finir ma fic.
Tu vas avoir 3 reviews en une.
Commençons par le commencement avec ce superbe prologue.
J'aime beaucoup les premières et dernières phrases qui se font écho.
Ce passage à la première personne est interessant et permet de poser l'ambiance et l'histoire.
On y retrouve une Parkinson sur le banc des accusés. Et on peut dire que ce personnage avec Drago fait partit des personnages de Serpentard dont les procès sont les plus intéressants de par les actes qu'ils ont commis.
Le chapitre suivant rentre tout de suite dans le vif du sujet. Comment les princes et princesse sang-pur vont-ils vivre leur déchéance. J'ai toujours trouvé dur le sort des vaincus surtout quand ce sont des adolescents qui n'ont jamais eut le choix. Ils doivent réparer les pots cassés de leurs ainés, vivre avec leurs remords et regrets et devenir la cible de la haine populaire.
Dans le dernier chapitre que tu nous offres pour l'instant on retrouve une Pansy perdue.
J'aime beaucoup les petits détails que tu distilles. La mini rébellion de Théodore. Pansy qui se rend compte que sans son elfe elle ne peut rien. L'amitié étrange de ces deux personnages.
Beaucoup d'informations dans ce chapitre sans qu'on est l'impression de faire une overdose.
J'ai hâte de lire la suite.
A bientôt
Selket
Réponse de l'auteur:Hello Selket !
Je suis contente que mon image t'ai attiré parce que, à la base, ce n'était pas celle que j'avais choisi. J'avais plutôt opté pour un navire en train de chavirer et un homme sur le mât tenant une bougie. Finalement, celle-ci a retenu mon attention et je la trouve peut-être plus représentatrice des sang-purs qui étaient auparavant en pleine lumière et se retrouvent à présent dans l'ombre. J'ai déjà vu la fic de Catie et Julia passer dans les nouveautés mais je t'avoue que je ne l'ai pas lu... J'essaierais de rattraper ça prochainement si je peux mais sans doute après avoir terminé ma fic pour ne pas être influencée. J'irais également lire et commenter ta fic avec plaisir et si ça te permet de t'y remettre, tu m'en vois ravie ! <3
En tout cas, ça me fait plaisir que ces trois premiers chapitres t'aient plu. <3
A bientôt !
Lyssa.
Mais c'est que c'est encore un excellent chapitre, dis moi. J'ai littéralement adoré, du début à la fin!
On avait déjà parlé de notre vision du jugements des Serpentards en privé donc je me doutais que l' on placerait toutes les actions des Serpentards sur le conditionnement de leurs éducations et sur la banalisation de l'intolérance et du Mal. C'était tout aussi surprenant qu'agréable de voir défiler des membres de l'AD pour plaider en leurs faveurs, même si on note une grande absente: Susan. Cela dit, elle représente - après la lecture de Let It Snow... - le regard commun et plein de jugements qui sera porté sur ce groupe après la Guerre, donc j'ai trouvé que c'était une excellente façon de faire du lien entre cette fic et la prochaine.
J'ai beaucoup aimé la torpeur du début du chapitre qui est teinté de tension et qui monte graduellement à travers le silence chez Théo. Et lorsque Blaise a explosé, c'était le paroxysme. Le dialogue qui s'en suit est vraiment savoureux et très très bien écrit, il véhicule tellement de chose. J'ai bien aimé que ce soit Pansy qui fédère le groupe, avec son égoïsme et le tranchant de sa vérité du "plutôt eux que nous".
J'ai vraiment hâte de voir comment cela va évoluer pour tout ce petit monde. Il nous faut vite la suite hein <3
Réponse de l'auteur:Hiiii ! Je suis trop contente qu'il t'ai plu ! <3
Oui, on en avait parlé pendant une bonne heure si je me souviens bien ! :mrgreen:
Comme tu t'en doutes, l'absence de Susan se justifie par ce qu'elle a vécu avec Theodore. Hannah et les autres membres de l'AD ne sont pas au courant et, je pense qu'à cette époque, Susan n'est pas encore prête à l'affronter. En même temps, quand quelqu'un vous sauve la vie pour se servir de vous comme d'un bouclier pour prendre la fuite, il n'est pas facile de s'y confrontrer facilement ! xD Et, comme tu le dis, elle est aussi ce regard commun de la société, plein de jugements et de mépris.
Je suis vraiment contente que le dialogue plaise parce que je l'ai retravaillé deux ou trois fois en n'étant pas certaine qu'il sonnait bien. Il est difficile de se mettre dans la tête de quelqu'un qui refuse d'être à la fois un coupable et une victime et c'est ce que Blaise expose. Pansy reste dans cette manière de pensée égoïste qu'on lui a transmise : "eux avant les autres".
T'inquiète pas pour la suite, elle découle rapidement sous mes doigts ! <3
Lyssa.
Ce chapitre est vraiment à la hauteur de mes espérances et même plus encore !
D'abord, par rapport aux questionnement qui me sont venus en lisant ton prologue, je dois dire que j'ai vraiment adoré le passage où tu cites les membres de l'AD qui ont successivement témoigné en la faveur des Serpentard. En fait, ça m'a fait admirer encore plus ces personnages si courageux, parce qu'ils sont vraiment celles et ceux qui ont tout compris : pendant que les "grands", les adultes, le monde des sorciers se permet de juger les Serpentard en oubliant bien commodément qu'à peine deux ans auparavant c'était Harry qu'ils jugeaient ainsi, les membres de l'AD, eux, savent que tout est bien plus nuancé, bien plus compliqué, et j'ai vraiment apprécié que ce soit eux qui prennent la défense des Serpentard quand on sait que ce sont aussi eux qui se sont vraiment battus - alors que tous ceux qui jugent, pour la plupart, n'ont rien fait pendant l'année des ténèbres ou à la rigueur ont rejoint la bataille après avoir laissé des gosses endurer toute l'année le règne des Mangemorts. Quelque part, j'ai plus eu l'impression en lisant ton chapitre que c'était la jeunesse contre le vieux monde des sorciers, plus que "Serpentard vs. gentils".
Pour autant, je comprends bien toute la rancœur de Blaise, notamment, parce qu'on se doute bien que malgré la défense de Harry, de Lavande, de Seamus, de Hannah, on se doute bien que les "autres", les adultes, celles et ceux qui n'étaient pas à Poudlard, on sait et Blaise sait qu'ils ne vont pas pardonner comme ça et qu'ils se chargeront de rendre une justice de leur côté - même si la justice privée est aux antipodes de la justice mais bon, ils ne sont pas à trois contradictions près. Et en même temps, et c'est ça qui est génial avec ton texte, je n'étais pas non plus complètement empathique avec Blaise et les autres, c'est tout dans la demi-mesure : oui je pense que leur milieu les a trop influencé pour qu'ils deviennent des résistants, oui c'est pas facile de rejoindre l'AD quand ses propres parents sont des Mangemorts, mais ils avaient 17 ans, pas 12, et il arrive un âge où on doit aussi être capable de faire ses propres choix en conscience et se détacher de ce qu'on nous a inculqué chez nous. Le racisme envers les Moldus, comme pour nous dans la vie, n'est pas excusable : on peut comprendre d'où il vient, bien sûr que c'est plus dur pour eux d'apprendre la tolérance, mais pour les victimes, que ton bourreau vienne d'un mauvais milieu ou non, ça ne change rien au résultat qui est la blessure mentale ou physique, bref, on ne peut pas non plus excuser leur haine des Moldus. Et j'ai l'impression qu'ils le sentent, en fait, qu'ils s'en rendent compte qu'ils ont leur part de responsabilité, et qu'en même temps ils ne sont pas encore prêts à l'assumer parce qu'on leur a toujours fait croire qu'ils avaient raison, et c'est dur de réaliser que tout ce en quoi on a cru n'a plus de sens et ne veut rien dire. Du coup, voilà, à la fois je les comprends, et je suis d'accord avec les membres de l'AD qui les défendent, et en même temps leur dialogue à la fin m'a laissée un peu songeuse, mal à l'aise, parce que moi en tout cas je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils ont une part de responsabilité et que ce serait aussi trop facile de tout balayer. Mais je ne dis pas ça négativement pour le "mal à l'aise" au contraire, ton texte me fait réfléchir et j'adore ça, et je me demande ce que toi tu en penses, quel est ton avis là-dessus, sur leur responsabilité ou non :)
Bref, j'ai passé un très bon moment en te lisant et j'ai hâte de lire la suite et de savoir ce que tu vas leur proposer comme horizon !
Réponse de l'auteur:Ton analyse est vraiment topissime, Bloo ! D'autant que c'est exactement mon ressenti également ! <3 La communauté sorcière a tendance à oublier, quand ça l'arrange, quelle partie de la société s'est battue pour la paix entre les murs d'une école.
Je voulais vraiment qu'on puisse comprendre ce que Blaise pense mais, qu'en même temps, on ne soit pas tout à fait de son côté. Tes mots m'ont énormément touchée parce que c'est exactement ce que j'ai tenté de dépeindre dans ce chapitre. Un monde qui se fissure, part en morceaux, et dont les protagonistes ne sont pas, et ne seront jamais, des héros ; ce sont même pas "de bonnes personnes". C'est ce qui est le plus intéressant dans leur construction : leur donner des raisons pour expliquer leurs choix sans pour autant les excuser. Je crois que ça définit entièrement ma vision d'eux. Je ne leur donne pas d'excuses mais des explications aux décisions qu'ils ont prises, conditionnés par leurs parents.
Je comprends que leur dialogue t'ai mise mal à l'aise. Et tu sais quoi ? Je l'étais également en l'écrivant ! Je me suis dit : "non mais tu en fais peut-être un peu trop...", "C'est vraiment trop égoïste...", etc. Pourtant, en y réfléchissant, je pense que ça correspond à ce qu'ils vivent à ce moment-là. Ils ne sont pas encore prêts à se voir comme des "coupables" et encore moins comme "des victimes" ce que leur procès voulait dire si l'on y réfléchit bien. C'est difficile de se dire que leurs parents les ont manipulés, que tout ce qu'ils croyaient n'était que des mensonges et, qu'au lieu de les guider comme ils auraient dû le faire ils les ont attirés sur la mauvaise pente. Et puis, finalement, ils seront punis d'une autre façon. Ce ne sera pas aussi simple de vivre en portant cette étiquette de "criminels" sur le front...
Je suis vraiment contente que cette fiction te plaise, Bloo ! <3 Tu ne peux pas imaginer à quel point ! <3 (je réponds le plus vite possible à ta dernière review)
Lyssa.
Bonjour Lyssa !
ça fait un petit moment que je vois tes histoires passer dans les nouveautés et à chaque fois elles me font de l'œil, alors aujourd'hui, je compte bien profiter du printemps des reviews pour enfin te laisser les commentaires que tu mérites !
Je lis rarement sur les Serpentard parce que je leur préfère ceux que l'on qualifie de "gentils", mais en fait c'est plutôt chouette parce que d'une, je n'ai pas d'idée arrêtée à propos des personnages sur lesquels tu écris et de deux, ton texte va donc me faire sortir un peu de ma zone de confort et ça ne peut qu'être une bonne chose !
J'ai beaucoup aimé ce prologue en tout cas, et je me suis demandé jusqu'à que l'identité du personnage soit révélé s'il s'agissait de Pansy ou de Daphné, je t'avoue que je penchais plutôt pour Daphné comme tu parlais de l'indifférence du personnage envers Harry et je me disais que Pansy n'avait pas vraiment été indifférente, mais si en fait, en y repensant, c'est surtout envers Hermione que Pansy était agressive plus qu'envers Harry, alors finalement mon intuition n'était pas la bonne ahah. J'ai énormément aimé la construction du prologue en tout cas, que Pansy se rappelle de ce qu'avait vécu Harry, de ce qu'elle avait pu elle-même cautionner d'une certaine manière, pour réaliser lorsqu'elle le vit finalement elle-même que ce n'était pas ce qu'elle avait cru. Je pense que beaucoup des gens qui voyaient en Harry quelqu'un d'arrogant qui aimait et jouait de sa célébrité tomberaient de très, très haut s'ils devaient vraiment vivre ce qu'il a vécu, et c'est finalement l'expérience que fait Pansy et j'ai trouvé très intéressant que tu l'amènes comme ça, de faire ce parallèle avec Harry alors que les deux personnages sont a priori les plus opposés impossible, l'un encensé, l'une jugée pour traîtrise. Et pourtant, ils ont cette expérience en commun et ça m'a vraiment fait m'interroger : est-ce que n'est pas un peu facile de juger ainsi Pansy ? Est-ce qu'on n'oublierait pas un peu vite que presque personne n'a cru Harry pendant un temps ? Jusqu'où réécrit-on l'histoire, finalement ?
Bref, après ce prologue annonciateur de très belles choses, je vais m'empresser d'aller lire le premier chapitre !
Réponse de l'auteur:Hello Bloo !
Franchement, venant de ta part, je suis hyper flattée ! :mrgreen:
J'ai déjà vu certains de tes écrits et je sais que tu préfères écrire (parfaitement, soit dit en passant) sur les résistants, les combattants. J'avoue que je m'attarde aussi quelquefois sur eux mais que je leur préfère les zones sombres des Serpentard.
Daphné n'apparaît pas sur le banc des accusés tout simplement parce qu'elle est, à mes yeux, une poupée de cire qui ne se faisait pas remarquer, qui a su en jouer pendant l'année des ténèbres, et que ses parents (même si je les imagine verser une certaine somme à Voldemort afin de protéger leurs arrières) ne seront pas jugés aussi sévèrement que le seront Lucius Malefoy ou les parents Parkinson (dont, dans ma vision, l'oncle était un mangemort) ; quant à Blaise, sa mère occulte quelques doutes par rapport à ses différents maris tous morts (j'ai d'ailleurs écrit une fiction sur ce thème où Blaise est accusé, quelques années plus tard, de complicité de meurtre).
Concernant Pansy et Harry, je me suis dit que ce serait une drôle de revanche qu'elle expérimente, à sa façon, ce qu'il a pu vivre. Ce ne sera pas évidemment pas les seuls choses qu'elle devra subir après son procès parce qu'il n'est jamais simple de faire face au jugement populaire et à ses quolibets quotidiens, d'autant quand on a toujours été au sommet de cette société.
Je vais de ce pas répondre à tes autres reviews ! Merci ! <3
Lyssa.
C'est encore moi !
Bon, j'ai eu ma réponse par rapport au prologue : ils sont graciés et leur éducation est une sorte d'excuse quant à leur comportement. C'est drôle mais je m'attendais à un peu plus de résistance de la part de la communauté magique, parce qu'à mes yeux, ce n'est pas suffisant, d'autant plus qu'ils ont utilisé des sortilèges impardonnables sur leurs camarades. Il est vrai qu'ils devront quand même porter ce jugement sur leurs épaules jusqu'à la fin de leur vie et que ce n'est pas forcément la meilleure chose s'ils veulent s'insérer professionnellement quelque part.
Leur discussion est assez houleuse, on sent que Blaise est le plus touché des quatre, au niveau de la colère surtout. Il n'accepte pas ce qu'il se passe et n'hésite pas à dire ce qu'il pense. Drago semble être complètement lessivé à côté de lui. Pansy correspond au chapitre précédent, son intervention est une manière de remettre le groupe sur la même voie, sauf que ses arguments sont parfaitement égoïstes. Quant à Théodore, il m'a fait penser à celui que j'ai découvert à travers ta fanfic "So ... Let it Snow", en particulier quand il triture l'attache de sa cape.
Sinon, je les trouve très "Serpentard" et leur comportement ne me surprend pas plus que ça. Même si au début, ils semblent être encore plongés dans le jugement, dans le silence, la fin est une sorte de renaissance soudaine, une étincelle qui rallume leurs identités de vert et argent, un rappel de qui ils étaient à Poudlard.
J'ai apprécié les références aux autres personnages, ceux qui ont participé à leur défense. Comme quoi il y a plus de considération dans un camp que dans l'autre : Harry et Cie n'hésitent pas à intervenir et à témoigner alors qu'on finit sur une note plus personnelle de la part du groupe des Serpentard.
A bientôt pour le prochain chapitre :D
Réponse de l'auteur:Ils sont graciés en effet mais ils devront porter le poids de leurs actes toute leur vie. C'est un peu comme si ce dossier "Crime contre la communauté sorcière" les suivait toute leur vie et qu'on leur collait cette étiquette jusqu'à la fin de leur existence. Qui voudra les engager après cela ? Qui sera prêts à leur laisser une seconde chance ? Tout ne s'efface pas d'un simple coup de baguette magique. Alors, la question qui se pose est : que seront-ils prêts à faire pour avancer, pour se réintégrer ? En seront-ils capables finalement ou préféreront-ils fuir comme lors de la bataille de Poudlard ?
Blaise est sans doute le plus impulsif des quatre en fin de compte. Ils sont tous touchés mais ne réagissent pas du tout de la même façon. Tu verras, par la suite, que ce sera aussi le cas pour leurs futures décisions. Je suis contente que tu rattaches Theodore à celui que tu as lu dans "So... Let it snow" parce que j'avais peur d'être à côté de la plaque. <3
Les Serpentard sont, en effet, bien plus égoïstes mais... on les a élevés de cette façon. A travers certains détails, notamment la relation mère-fille de Pansy, celle de Blaise avec sa mère, ou celles de Drago et Theo avec leurs pères, tu comprendras les enjeux qui ont tracé une partie de leur vie. Du moins, je l'espère... <3
A très bientôt, Bella ! <3
Lyssa.
Coucou Lyssa !
J'aime énormément la période post-guerre, particulièrement quand elle touche les Serpentard. On en sait peu sur eux et cette idée de jugements me plaît bien.
Le point de vue de Pansy est très intéressant ici. On l'imagine comme une personne un peu superficielle, d'autant plus qu'elle n'a pas hésité à montrer Harry du doigt pendant le règne de Voldemort et c'est original de constater qu'elle commence à comprendre ce qu'Harry a pu vivre. Forcément, il y a l'éducation reçue qui entre en jeu et je ne sais pas de quelle manière les élèves de Poudlard peuvent recevoir une sentence alors qu'ils ne font qu'appliquer des préceptes qui leur ont été enseignés depuis leur plus tendre enfance. Certes il y a une part de libre arbitre, ils ne sont pas obligés de suivre tout ce qui fait l'honneur de leur famille mais on a surtout une vision centrée sur Drago dans les livres, ce qui biaise un peu le point de vue général.
La dernière phrase est très bien placée, on dirait un coup de poignard après les autres paragraphes plus long et ça fait penser au "marteau" du juge qui rend sa sentence après une audience. J'aime bien aussi le balancement entre le "je" et le "nous", ce "nous" qui est là presque pour justifier les actions, pour avoir la sensation d'un collectif, d'un groupe plein de soutiens et ce "je" qui est seul face à la foule, face à tous ceux qui rêvent de voir son jugement et d'assister à sa chute. Comme quoi même si elle a partagé son quotidien avec du monde, elle est seule avec ses erreurs et ses choix.
Réponse de l'auteur:Coucou Bella !
Cette histoire me trotte dans la tête depuis un petit bout de temps d'autant que j'ai déjà écrit des morceaux de vie sur Pansy, Blaise et Theo. J'ai un peu moins écrit sur Drago, c'est donc une sorte de challenge pour moi d'écrire sur cette période de son existence.
Je pense que Pansy est vue comme le montre le point de vue de Harry. Je me dis que, d'un certain sens, elle est égoïste mais qu'elle pose aussi une question cruciale : peut-on vraiment imposer aux autres de se battre pour une cause ? Leur demander de se sacrifier ? Sachant que certains de leurs parents se trouvent sous les masques... Bref, Pansy pose de multiples possibilités et de vastes réponses finalement. Elle n'est pas manichéenne comme le laisse penser sa dénonciation. Après, je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle est toute "blanche" non plus. Elle avait dix-sept ans et elle avait certainement conscience de ce qu'elle faisait, bien que l'éducation et les valeurs enseignées ont grandement joué dans ses décisions.
Pansy est seule face à son jugement mais, lors de ces procès, ce sont les enfants des sang-purs dans leur ensemble qui sont jugés. Je parle surtout des enfants qui ont suivi les préceptes de leurs parents. j'imagine, par exemple que les Greengrass sont un peu moins centré sur la pureté du sang même s'ils vivent dans un certain luxe. D'où le fait que Daphné n'est pas sur le banc des accusés (J'ai toujours vu Daphné comme une poupée de cire qu'on ne remarquait pas, ce qui l'a grandement aidé pendant l'année des ténèbres). Elle n'a pas dû prendre position comme l'ont fait les quatre autres et sa famille n'était pas autant affiliée à Voldemort.
Je file répondre à ta seconde review ! <3
Han Lyssa, comme j'aime bien quand tu écris sur Pansy <3
Ton texte illustre la relativité du temps. Je sais, dis comme ça, ça fait l'effet d'une pierre lancée dans une marre, mais laisse moi donc m'expliquer. Il est très court en termes de mots, pourtant dans toute la première partie du texte (juste avant qu'on ne l'interpelle), le rythme est très lent. D'une lenteur qui laisse penser que Pansy est totalement déconnectée par le stress mais aussi submergée par ses émotions/souvenirs/pensées. Elle est dans une sorte de torpeur, exposée devant tout le monde comme mise au pilori. On a l'impression que sa vie défile devant ses yeux juste avant qu'une sentence mortelle ne lui tombe dessus. J'ai vraiment trouvé cela mis en place de manière tout aussi intelligente qu'efficace.
J'imagine que le procès s'est fait un peu à distance de la guerre, on est à quelle date à ce moment là ? Pansy fait un peu plus mature que ce que l'on en avait vu dans le dernier tome, mais j'aime que l'on la retrouve à distance d'Incertitudes. Je mets cela sur le compte du temps qui passe, de sa prise de conscience mais surtout du procès en lui-même. Elle est jeune, et ce n'est pas rien de se retrouver dans un tel contexte, surtut lorsqu'on a eu une enfance dorée/facilitée.
J'ai beaucoup apprécié la répétition de "Je n'avais jamais compris[...] dans les moindres détails" qui fait l'effet d'une réverbération de ses sentiments. Et la chute qui tombe comme un couperet est très bien placée.
Le prochain chapitre serait-il d'un point de vue différent ? Prendra-t-il la suite du procès de Pansy ? Ou bien se penchera-t-on sur l'audition d'un autre Serpentard ? Kya, j'ai trop envie de lire la suite maintenant!
Réponse de l'auteur:Coucou Hortensea !
Tu as vu ma réponse est super réactive pour une fois ! :mrgreen:
C'est drôle mais ton analyse est clairement merveilleuse parce qu'elle illustre mieux mon texte que mon idée. <3 Je m'explique. Je ne pense jamais à faire d'effets de style ou à des petites choses comme la relativité du temps et j'écris comme ça me vient alors, du coup, ça me fait trop plaisir qu'on puisse relever de telles choses dans mes textes.
De mon point de vue, le procès a eu lieu deux ou trois mois après la guerre. Le temps de panser les blessures, de rendre un dernier hommage aux morts sur le champ de bataille, le temps de laisser la communauté se relever de cette guerre.
Je pense vraiment que Pansy a dû se faire ce genre de réflexions car, mine de rien, ses actes ont été planifiés par ses parents de par leur éducation pro sang-pur.
Le prochain chapitre ne sera pas d'un point de vue particulier de Pansy ou de l'un des Serpentard. Il se déroulera après leur procès, après qu'ils aient été graciés. La question qui se pose, pour eux, est : comment vont-ils pouvoir être réhabilités dans cette société qui les considère comme des monstres ? ;) Tu as eu un aperçu de Theo dans "So...Let it snow" et je t'invite, si le coeur t'en dit, à découvrir "The brighness of his eyes" qui concerne Blaise Zabini (six ans plus tard environ après ce procès, il doit faire face aux accusations de complicité concernant les meurtres de sa mère) ainsi que "The shadows of the past" qui concerne Pansy presque trente ans plus tard et qui rencontre James.S Potter. Cette fiction reprendra pas mal de points abordés dans ces différentes fictions. :mrgreen: Bien sûr, tu peux également la lire indépendamment. <3
Je m'en vais de ce pas écrire la suite ! Merci beaucoup pour ta review, Hortensea ! <3
Lyssa.
Salut Lyssa !
J'avoue, j'ai cliqué sur ta fanfiction quand j'ai vu que tu avais mis Whatever it takes dans ton résumé... héhé ! J'adooooooooooooooore cette musiiiiiiique!
Mais bon, au dela de ça, je ne regrette pas non plus. Ce texte est court et je sais qu'il peut faire fuir pour ça, mais moi j'adore ! Tu maitrises parfaitement. Tes mots sont justes et c'est efficace. Pas de descriptions longuettes à sauter ou de flash back qui cassent le rythme, c'est bien écrit et ça laisse place à l'imagination concernant, justement, les chefs d'accusation qui lui sont reprochés.
J'ai beaucoup aimé cette Pansy très humaine qui doit grandir d'un seul coup et j'ai hâte de lire la suite !
A bientôt !
Réponse de l'auteur:Salut Charliz !
J'avoue, j'ai mis les paroles de Whatever it takes qu'après y avoir pensé pour mon premier chapitre. :mrgreen:
Je suis contente que ce prologue te plaise. Pour moi, un prologue est toujours assez court mais le premier chapitre sera plus long. ;) Concernant les chefs d'accusation contre Pansy, à mes yeux ils concernent sa dénonciation et sa collaboration avec les Carrow tout comme ses camarades de maison. Merci pour ta review et à très bientôt !
Lyssa.
Coucou Lyssa,
Je trouve ce début de texte intéressant. Tu nous décris une Pansy Parkinson plus mûre que celle que l'on perçoit dans l'oeuvre de JKR.
C'est en effet parfois difficile de se mettre à la place des autres quand on a pas vécu ce qu'ils vivent Elle avait en effet une vie plutôt privilégiée, elle se sentait supérieure à certains de ses camarades et finalement un jour tout cela a volé en éclat.
Réponse de l'auteur:Coucou Caro !
Merci, je suis contente que ce debut de fiction (le prologue en quelque sorte) te plaise. C'est vrai que je présente une Pansy plus mûre que dans les livres de JKR mais je pense sincèrement que la fin de la guerre et ses conséquences, notamment son procès après-guerre (que j'imagine être pour sa collaboration avec les Carrow et sa dénonciation) ont dû la faire changer, se remettre en question, elle et ses valeurs.
Merci encore pour ta review super rapide ! <3
Des bisous,
Lyssa.