Sache je ne savais ce que voulait dire "sauter quelqu'un" et que grâce à Ignatus, maitenant je sais :') ! C'est très classe tout ça ! Et j'aime le fait que Charlus soit un peu protecteur avec Dorea, corrige Ignatus lorsqu'il l'appelle le glaçon et tout ... C'est mimi.
"-Combien de fois t’ai-je dis de lire un contrat in extenso avant de le signer, hum ? attaqua son père." c'est un très bon conseil ehehehehe !
Cette conversation avec Priscus, je l'aime beaucoup elle aussi. Elle entre dans mon top 3. La première étant toujours celle de Charlus/Ambuela. Ca fait écho à ce qu'ils se sont dit quelques chapitres précédents et tes phrases résonnent toujours les unes aux autres. C'est bien. C'est pour ça que je suis très contente d'avoir lue ta fic 'une traite, parce que je pense que ce sont des détails que l'on ne peut pas nécessairement remarquér lorsqu'on découvre ta fic de façon épisodique : il faut une vraie lecture d'ensemble et globale pour apprécier tous ces petits détails que tu sèmes.
"Va jouer la Marche des Banshee, Dorea.
-Je viens vous tourner les pages de la partition, s’invita aussitôt Charlus pour enfin trouver un moment avec elle. " DARCY VIBESSSSS
Charlus sait drôlement bien lire en Dorea quand même... Il remarque tout de suite que son attitude n'est pas normale, ça montre qu'il est aussi attentif, et encore une fois, assez observateur.
Olalalah c'est si cruel de découvrir l'histoire du point de vue de Charlus, qui n'a absolument aucune idée du fait que Dorea n'a plus ses souvenirs... On tombe vraiment dans le pathos le plus complet.
Le moment où Dorea joue du piano, du point de vue de Charlus alalalalalah ❤❤❤❤❤❤❤
Et ma troisième conversation préférée de ton histoire, entre Charlus et son père ❤
Je trouve ça intéressant d'avoir son pdv sur sa relation avec sa femme, de voir comme au final, ils s'aiment d'amour tous les deux, mais de façons très différentes et c'est bien que tu montres différentes façons d'aimer et d'être aimé. C'est très tendre tout ça, et toutes tes histoires d'amour sont uniques, très maladroites dans leur construction (vraiment on n'a pas idée de se marier si vite, même à l'époque, ou de se fiancer à quelqu'un pour échapper à une autre union... Tout ça est très bancal, mais tu en fais quelque chose de constructible sur la durée et de tendre aussi).
Pourquoi tu fais des chapitres aussi longs ? :((((( Mes yeuuuuuuuuux !!!! (non en vrai c'est bien, j'adore ça, c'est juste qu'il faut que j'arrête d'avoir la sale manie de lire dans le noir).
"-Oui, vous consentez à répondre, ou oui vous acceptez ma demande ? lui demanda-t-il en souriant nerveusement.
-Oui, je consens à vous épouser, fit-elle d’une voix bien plus aigue que celle dont elle avait l’habitude. »
Elle consentait à l’épouser ?? Elle s’en sentait obligée ? Son père lui avait-il forcé la main ?
« Vous y consentez seulement ? s’entendit bafouiller sous le coup de la stupéfaction."
ce passage, là, c'est un bijou d'écriture ! Parce que tout le croisillement entre "consentir" et "accepter", c'est fort et intense, c'est plein de sens, c'est une vraie symbolique et diantre, que c'est intelligent !
Aaaaah Charlus est un gémeau. Ca explique tout. En vrai, il a un caractère de gémeau je trouve.
Arfff et cetet conversation sur l'hypothétique protection contre Grindelwald... Ecoeurant. Sans parler du fait que Cygnus parle vraiment de sa fille comme d'une pouliche qu'il met à la vente c'est vraiment eurk eurk.
"Charlus réfléchit à toute vitesse. Qu’est-ce que dirait Ambuela ?" awww c'est chou qu'il pense à sa cousine dans un tel moment, leurs deux situations étant assez similaires au final...
Et j'aime la conversation entre Arcturus et Charlus. Elle est pleine de sens pour le coup et on sent Charlus hautement plus impressioné qu'il ne l'est face à Cygnus, pour lequel il n'a en fait, aucun respect.
Mdr la juriste en moi a été assez comblée de lire toutecette scène de la validation de contrat. Bon c'est un stytème que tu as dû inventer et imaginer, mais juridiquement, y'a deux/troi trucs qui seraient fondamentalement impossible depuis la Lex mercatoria civile de Grande-bretagne qui édicte des principes, certes très flexibles, mais assez simples en ce qui concernent les contrats. Dont les contrats de mariages... Genre une langue compréhensible par les deux parties est obligatoire à la validité dudit contrat, sinon, il est caduc. Bon après je chipote, c'est la société sorcière... C'est pas pareil. Breffff je suis reloue, pardon.
Mais cette scène était super cool à lire, et c'est bien que Charlus se rende compte qu'il aurait pu se faire rouler, et qu'il s'est fait vraiment rouler pour le coup... Ca lui remet les idées en place ! Et y'a des articles olalalaah c'est immonde et c'est moyen-âgeux.
Hummm en vrai, un approfondissement de dialogue entre Charlus et Violetta m'aurait ravie. J'aimerais que ces deux là se parlent dans le furtur et se confrontent un peu, parce qu'ils en auraient des choses à se dire...
« Mr Potter, mais entrez-donc ! Violetta, du Whiskey-Pur-Feu, siffla-t-il ensuite entre ses dents. » ça, c'est quelque chose que je trouve très paradoxal pour le coup. Tu as plusieurs fois insisté sur le fait que les femmes Black, même aux yeux de leurs époux, étaient des femmes bien trop dignes pour s'abaisser à ce genre de tâches ingrates. Genre le service, le ménage, faire la cuisine tout ça... Donc ça m'a pas mal interpellée. Alors je ne sais pas si tu as voulu nous refaire la démonstration que Cygnus est une mauvaise personne qui adore faire étalage de sa domination sur les gens ...
"- Ma petite Dorea ?" ça aussi c'est curieux, mais pour le coup, j'aime beaucoup, surtout quand on sait que "ma petite" c'est le sunom que donne Arcturus à Dorea. C'est d'une belle ironie dramatique. Mais tu manies très bien l'ironie dramatique ! Genre vraiment, c'est un truc de fou !
Cette scène de demande en mariage, du pdv de Charlus, nous apprend que le petit n'était pas aussi sûr de lui qu'il n'y paraissait du pdv de Dorea !
Et apprendre de la bouche de Beurk que Dorea va l'épouser... Romantisme/-1000000 genre vraiment, c'est nul.
"-Non, non, ce n’est pas une blague, je suis un homme sérieux".... EHEHEHE comme Dorea te l'a demandé à demi-mot ! J'adore cette annonce de "au fait, les gars, je vais me marier, tu me passes le sel Darius stp" c'est génial !
Mdrrr la mère de Charlus me tue de rire à vouloir lui faire gober un bézoard. C'est vraiment risible comme réacttion. Et j'aime vraiment que du coup, le père de Charlus soit un allié. C'est aussi dans cette conversation, qu'on se rend compte que Charlus a aussi des liens à couper avec sa famille pour évoluer et s'épanouir. Bon, ils ne sont pas aussi forts que ceux de Dorea, mais ils sont bien là...
Mais c'est vrai que c'est précipité tout ça et qu'on s'en rend compte quand la mère et Charlus fait la chronologie des évenements et la synthétise.
"-Tu l’écoutes parler, mais tu n’écoutes pas ce qu’elle te dit, hein ?" YES THAT'S IT ! C'est exactement le problème de communication qu'il y a entre Dorea et Charlus.
En vrai j'ai toujours les yeux explosés, mais là je le vis comme un défi, de reviewer toute cette fic avant la fin de la JR.
Ouiiiiiii le mariage !!!! J'adore les mariages !!!!
" Il en aurait pleuré de dépit. Il en avait pleuré de dépit…" : moowwww j'aime bien ce passage et Charlus en amoureux épleuré me fait rire. C'est bien qu'il ait conscience det "attrait de la chasse", qu'il sache qu'il se sent en compétition contre lui-même et que finalement, Dorea n'a pas tort lorsqu'elle dit qu'il n'est pas assez sérieux pour elle. Bon, derrière, on sait qu'il y a des sentiments naissants, mais Charlus n'a jamais agit d'une manière laissant penser qu'il était aussi sérieux qu'attiré par le défi que Dorea représente.
"Elle renvoyait le Souafle et non le Cognard." Oooh c'est si beau ♥
J'aime aussi ce petit moment de complicité entre Darius et Charlus. J'aimerais vraiment en apprendre plus sur leur relation à tous les deux.
Awww et découvrir Dorea en mode léger flirt, c'est trop choupiiii ! Olalalah mais tout ce dialogue entre eux, quand Dorea accorde sans le savoir, exactement ce qu'il veut à Charlus. Ils sont mimis à s'isoler tous les deux, bon certes pour fuir Teophilius... Mais ça reste cute, et c'est chou de voir Charlus complétement destabilisé par cette attitude. Et c'est mignon aussi, qu'ils soient de connivence et montent ce plan pour fuir Theophilius : ça leur donne une belle complicité.
« Beurk, fit-il avec dégoût. » mais ça me tue tellement de rire.
Et c'est là, qu'on a un vrai premier choc d'éducation, une vraie fracture entre Dorea et Charlus, qui ne comprend pas qu'elle soit aussi soumise à sa famille, qui ne pige pas du tout l'emprise des Black sur Dorea., parce qu'il n'a pas grandi avec ce modèle familial...
"Vous voyez bien que j’ai vingt-trois ans et que je ne suis pas mariée, ceci veut dire cela" ça me tue qu'elle dise ça, alors qu'elle évolue autour de beaucoup de femmes, Sylvestra, sa propre soeur et jusqu'à maintenant Ambuela qui a un de plus de qu'elle seulement, qui ne sont pas mariés et aussi agées qu'elle.
Iiiiih leur premier baiser !!!! c'est si triste que Dorea n'en a pas le souvenir, parce qu'il est très beau !
Theophilius a un petit problème de possessivité et je crois que ... bah je sais pas... la consanguinité maybe ? Je ne trouve pas d'explication à son besoin de posséder et j'ai toujours besoin de trouver une explication aux comportements des gens, de leur trouver une origine, une raison d'être (ce qui n'est pas forcément sain, dans le sens où certaine chose ne s'explique tout simplement pas..., mais je crois fortement au déterminisme social quand il s'agit de la construction de mes personnages et concernant celui de Theophilius, je nage dans le flou...). Parce qu'il la veut, il aurait eu mille raison de l'embrasser, de la posséder après lui avoir lancé un confundo, et il ne l'a pas fait ????? C'est chelou. C'est un connard bien chelou.
"L’avoir à ses pieds le fit se sentir puissant." juste cette phrase... ça montre bien à quel point il est dégueulasse.
Tiens c'est marrant que Charlus ne pète pas un câble quand on parle de Dorea en tant que gonzesse parce que de base, ça désigne quand même les prostituées... Pour une femme qui insiste autant sur le fait qu'elle est respectable... pauvre bichette !
OUUUUH ON A LES ORIGINES DE WEASMOCHE !!!! C'est désormais canon pour moi, Malefoy n'a rien inventé, c'est Theophilius qui a sorti en premier le mot Weasmoche.
Olalalalah tout ce passage où tout se mélange, où il prend la décision de lui demander sa main... C'est tellement beau, tellement intense !
"Elle était courageuse.
Etait-elle loyale ? Et fidèle ? Forcément." gniiiiiiiiiiiiiiii je fonnnnds.
Et cette évidence à la fin ♥
Alors la conversation Ambuela/Charlus est l'une de mes préférées sur cette histoire. Et j'adore ce passage :
"La deuxième gifle le sonna un peu plus. Il attrapa son poignet.
« Je te rendrai la prochaine, je te préviens, dit-il froidement."
Je le trouve absolument génial.
C'est une conversation vraiment genante, et pourtant, ils l'ont à coeur ouvert et ça montre comme ils tiennent l'un à l'autre. Tout en posant les limites de ce qui est acceptable pour l'un et l'autre.
Ambuela est si tournée vers sa famille... C'est très Potterien comme caractéristique j'ai l'impression, et quand on se rend compte qu'elle a sacrifié beaucoup de temps pour être avec Aristote, qu'elle a l'air d'aimer sincérement... Alalalah pauvre choupette ! Elle est maligne n'empêche.
Et Charlus aussi, est très tourné vers la famille. Parce qu'en soit, il bronche, mais il l'accompagne quand même sa cousine ! Mais ça montre aussi que Charlus reste un homme construit dans son époque, un sexiste pur jus dans le jugement qu'il porte à sa soeur, dont il ne cautionne pas la conduite, alors qu'il a exactement eu la même. Ca apporte une sacrée nuance à son personnage, qui paraît ouvert à 100% quand on le découvre du pdv de Dorea. Et vraiment Ambuela... Quelle sournoise celle-là, je meurs. Bon elle est assez malhonnête et manipulatrice, ça me plaît moyen, mais c'est très drôle à lire. Voir Charlus se faire mener par le bout du nez c'est très marrant.
"Sa cousine lui revaudrait ça. Parce qu’embrasser la main de Mrs Parkinson ne faisait pas partie de ses projets pour la journée." EHEHEHEHEHEHEH je ris fort.
Et Charlus reprend ses habitude de coq ui parade ... Il est un peu manipulateur lui aussi d'ailleurs : mais plus dans le sens charmeur.
"C’était ce genre de sourire que Charlus détestait et qui détruisait tout le charme qu’une femme pouvait avoir." Red flag... C'est tellement sexiste comme genre de remarque. En mode une femme doit avoir tel sourire et pas celui-ci... Eurk eurk. Charluuuuuus t'es mimi mais t'es so années 40 !
Encore un Black qui utilise un "nom de nom". De la bouche de Pollux, ça passe encore mais c'est étrange !
"Mais, même si elle louchait naturellement – consanguinité, quand tu nous tiens ! – elle louchait aussi un peu trop sur Charlus depuis le départ." mdrrrr t'as osé !!!!!!! mais juliette !!!!! Oh ! Enfin ! Elle est géniale cette phrase ! Pleine d'esprit et très marrante !
Toujours ces arbres généalogiques qui se dessinent dans ma tête... C'est pas simple !
J'aime le faitque Charlus se vante pour redorer le blason familial, mais qu'il déteste avoir le faire pour "bien paraître". Il reste un coq, mais un coq relativement humble et ça, c'est très cool.
"-Elle sait sourire, ne put s’empêcher d’intervenir Charlus" Aaaaah mon coeur, mon petit coeur tout fragile !!!! Awwww !!!! Bien rattrapé devant le frère n'empêche !
Le dialogue du début, là, c'est de la sapiosexualité. Pour beaucoup de spioseuxel, la conversation c'est un jeu de séduction et là on est en plein dedans.
Iiiiih c'est trop mimi tout ça ! Y'a moins de pression dans ce début de chapitre que dans les précédents, qui commencent tous de façon assez abrupute.
Bon on sent qu'il rame un peu le petit Potter : tant mieux, ça lui fait les pieds. Il est tellement fou d'elle c'est dingue !
Gniii ce moment où il attrape le vif... Ca fait écho à un autre passage et c'est bien joué de ta part. Le puzzle continue de prendre forme et c'est super en tant que lectrice, d'avoir une autrice qui ne perd pas le fil de son histoire et fait résonner ses chapitres entre eux.
Il a un problème de boisson Potter... Ca fait plusieurs fois qu'il se retrouve complétement ivre, là ça commence à être redondant...
Et le fait qu'elle s'immisce partout dans la vie de Charlus ehehehehehehe c'est si mimi tout ça !
J'espère vraiment que Dorea va retrouver la mémoire... (ça me tue de rire, qu'on écrive toutes les deux sur ce trope de la mémoire qui a été effacée d'ailleurs... y'a pas mal de similitudes entre nos deux traitements de la chose, c'est hyper marrant !)
Oh le papy relou là... Il insiste à peine c'est charmant.Cette conversation est détestable d'ailleurs. Parce qu'on a vraiment la sensation que Charlus va faire ses courses avec son "-Brune, grande, spirituelle, douce mais pas soumise, surtout pas." et avec ceci, ce sera tout monsieur ?
"-Qu’est-ce que tu veux dire par sa baguette s’est ramollie ? lui demanda-t-il avec méfiance" OMG je sais pas si j'ai lu trop de smut mais VRAIMENT j'avais pas pensé à cette interprétation ci pour cette expression j'étais tellement rouge devant mon écran en mode "OH BAH JULIETTE !!! TOUT DE MEME !!!".
Je pense que Darius est gay. Ou qu'il va être déshérité. Je sais pas. Mais c'est louche qu'il soit l'aîné et qu'on transfère toutes les responsabilités familiales à Charlus...
Je t'ai déjà dit que j'aimais beaucoup Madame Potter et j'apprécie que tu aies pris le temps de montrer plusieurs aspects de l'amour, ses différentes facettes ... Après moi je suis une grande romantique et je veux que les gens s'aiment pour toujours, donc les histoires comme ça, ça me fend le coeur. Parce que je veux de l'amour pur, passioné, mignon, pour toujours :'( Mais c'était très chouette de lire ça, très réaliste aussi.
C'est vraiment une queen madame Potter, je l'aime, elle a un parcours assez inspirant et je pense que ça desservira Dorea : Charlus, en gentil petit fils à sa môman, pourrait avoir tendance à les comparer sur certaines choses, notamment le plan professionnel et eurk eurk ça sentirait pas bon tout ça !
Ignatuuuuussss ! Je me suis attachée à lui petit à petit ! C'est pas le grand amour mais je le trouve chouette et il fait un bon canalysateur pour Charlus.
J'aime le fait qu'il s'excuse aussi, auprès de Dorea, pour sa conduite précédente : ça montre bien qu'il apprend de ses erreurs, qu'il a conscience de son mauvais comportement et qu'il 'nest pas complétement irresponsable. Juste un brin immature et insouciant.
Alors là mon petit Charlus... Revenir vers Esmeralda et profiter d'elle après ce que tu lui as dit... C'est moche, c'est petit et c'est clairement pervers de ta part. Et narcissique aussi. Bref, autant les chapitres précédents je lui trouvais toujours un charme, une excuse, un "il est jeune, insouciant, il est égoîste ok, mais clairement pas méchant". En tout cas, il veut bien agir, là, c'est sûr, je reviens pas dessus, mais ce qu'il fait là. Woah. C'est méga violent ! Profiter des gens comme ça... Tssss et ok, c'est elle qui le contacte, mais tout de même.Elle lui fait du mal aussi, c'est certain. Très toxique tout ça... Et cette histoire de traffic... Beurk beurk... Mais en même temps, elle a pas trop le choix si elle veut gagner sa vie et bon ok, c'est pas un moyen moralement admissible, mais Charlus la juge tellement vite. Rude.
Charlus est adorable et m'a clairement attendrie lorsqu'il déclare qu'il était prêt à l'épouser lorsqu'elle était secrétaire pour le club. Il est pur ce garçon. Et gentil. Mais tellement naîf et pétrit d'idéaux à gerber par moment (il me fait penser à mon Louis Weasley par moment, surtout sur ça en fait...).
C'est marrant, mais tes phrases sont moins élaborées, moins étriquées, plus naturelles et je ne sais pas si c'est parce qu'on est du point de vue de Charlus, mais ça rend bien et ça donne un autre ton à ton histoire. Il a fallu que je m'adapte à ça, à son vocabulaire plus cru, plus vulgaire aussi, par moment.
J'aime bien le moment où il se rend compte qu'il a un comportement chelou lorsqu'il suit Dorea haha !
Il a vraiment une chouette complicité avec sa mère. Bon elle le traite comme un bébé sur certains trucs, mais j'imagine qui c'est ... bouarf, le genre de relation qu'ils ont.
Je m'interroge vraiment sur le nombre de sortilège que Theophilius a lancé à Dorea, parce qu'elle fait déjà référence à lui en tant que Chlotter.
La pression familiale du mariage ... C'est bien qu'il envoie tout le monde bouler sur ça ! C'est une personne qui s'affirme, contrairement à Dorea.
"Ben voyons, s’il fallait qu’il recommence tout à zéro à chaque fois qu’il la voyait, il n’était pas sorti des Trois-Balais…" GNIIIIII J'adore c'est tristement marrant. Tu manies trèèès bien l'ironie dramatique et pour le lecteur, de conivence avec l'autrice qui nous a révélé le pourquoi du comment Dorea ne se souvient de rien, c'est tellement génial !!!
Il mérite le verre qu'elle lui jette au visage d'ailleurs. Queen.
Eeeeeh c'est parti pour la deuxième partie (et vraiment, j'ai préféré la première partie ! Sûrement parce que je m'identifie davantage à Dorea, et que Charlus m'a donné envie de le tuer à plusieurs reprises ! bien qu'il reste terriblement attachant... Tu as trouvé le dosage parfait le concernant !).
Bon. On a un Potter sans coeur, c'est flagrant. Et quel goujat. Quel rustre. Quel pleutre. Il est vraiment cruel avec cette pauvre Esmeralda. Cette rupture est vraiment... horrible quoi;
"— Seuls les membres de l’équipe qui a fait atteindre la troisième place à l’Angleterre lors de la coupe du monde, ma jolie, répliqua-t-il en se décrispant doucement.
— Ma jolie ! Oh il m’a appelée ma jolie ! s’excita la fille pendant qu’il s’éloignait."
Oh pitiééééééé qu'on m'achève. Ok, on est dans les années 40. MAIS J'AI MAL À MON FÉMINISME !!!!
Et il se réfère à Dorea en tant que glaçon. Grrrrr. Ceci dit, ce que j'ai aimé avec la deuxième partie, c'est qu'on a des réponses à toutes nos questions, et qu'on a vrai développement de "enemies to lovers trope" et ça c'est chouette et savoureux! C'est une autre type de romance que celle de la première partie du coup, et c'est une facette très intéressante de ton histoire.
Alors par contre, je ne sais pas si on qualifiait les femmes de canon, dans les années 40 :') je crois que c'est plus venu vers les années 50, mais je me trompe peut-être !
Par contre j'aimerais un recueil de toutes les fois où Dorea a rembarré Charlus lorsqu'ils étaient à Poudlard x)
"— Quoi ? hallucina Charlus. On passait des heures au Club de Duel avec Carley pour la regarder s’agiter dans tous les sens et guetter le moment où sa robe se lèverait assez pour dévoiler ses chevilles et…"
OUUUUH LE COQUINOUS !!!!
Et quel coq... Vraiment, je vais demander à ce qu'on change l'animal totem des Potter par un coq. C'est plus approprié que le cerf !
Et ton écriture toujours aussi intelligente : on retrouve les limaces de la dernière fois et ça... C'est douloureux de se dire que Dorea n'a pas le souvenir exact de cette conversation, car ça fait partie de son histoire et de sa construction avec Charlus en tant que couple...
"Il en attrapait une (ou deux), Carley en consolait une (ou deux) et tout le monde était content." Alors la phrase est super drôle mais j'insite : des COQS !!!
Et cette scène de danse olalalalah y'a des vibes orgueil et préjugés quand même.
C'est bien qu'elle l'envoie bouler avec force ! c'était bien joué de sa part ! Tu sais définitivement diluer pleins de détailes dans ton récit, et ça, c'est franchement chouette, parce qu'en tant que lectrice, c'est hyper satisfaisant de voir toutes les pièces du puzzle s'imbriquer les unes dans les autres !
Bon à la première lecture, j'avais trouvé ça trop simple, que Theophilius soit à l'origine des maux de tête de Dorea, en lui lançant ces sortilèges. Ok, il est clairement mégalo et a un gros problème d'égo, il est en pétard, ça on a bien compris, mais je trouvais ça faible comme motivation. Je suis un peu plus coinvaincue à la deuxième lecture, mais pas tout à fait conquise. J'espère que tu développeras davantage ses motivations par la suite, parce que son "je veux juste la pécho et si elle n'est pas à moi, personne ne l'aura", c'est un peu faible quoi... Enfin non, mais c'est juste étrange étant donné qu'on en sait au final, très peu sur lui ou son passé (ou tout du moins, on ne le sait qu'à travers le personnage de Dorea, qui est très biaisée - on s'en rend aisément compte à la lecture de la deuxième partie !".
J'aime bien ce que tu as fait de la voix du père de Cygnus : c'est très bien pensé, car la voix est quelque chose d'insaisissable, d'invicible, ça rend sa menace omniprésente et invincible surtout. Donc sur ça, chapeau, parce que c'était très intelligent de ta part, surotut pour creuser ce côté menaçant, le fait que Dorea ne trouve finalement aucun échapatoire pour se réfugier loin de son père.
Et alors Charlus qui est méga à côté de la plaque mais qui en même temps, et d'une bienveillance incroyable... Et Dorea se montre très honnête avec lui !
Ette cette scène, avec une Dorea recroquevillée sur elle-même qui mange ses doigts pour ne pas parler, qui retient ses mots, ou alors ne dit les choses qu'à demi-mot...
Bon par contre pour le coup Charlus m'a déçue : ok question de contexte, ok Dorea et lui s'aiment, mais ils ne se connaissent , ok, j'entends... MAIS BORDEL C'EST PAS LE MOMENT DE REMETTRE EN DOUTE DOREA ET DE LUI POSER DES QUESTIONS SUR SA RELATION AVEC DONKOR !!!!! Mais aaaaah j'ai eu envie de l'étrangler, c'est d'une maladresse et d'un égoisme incroyable, alors qu'elle est clairement en détresse devant lui. C'est fou ça !!!!
« Je ne veux pas être un second choix ou un choix par défaut, lui souffla Charlus en passant ses bras autour de sa taille. » MAIS IL EST PAS QUESTION DE TOI LÀ AAAAAAAAAAH
Bon en soit, je le comprends, et oui, c'était important qu'ils aient cette conversation, mais pas MAINTENANT QUOI. Mauvais timing Charlus, tu aurais dû écouter Dorea, elle aurait eut des choses importantes à te confier sur son enfance, si tu avais pris le temps de prendre soin d'elle et NON DE TON PU... D'EGO !!!
« Merci, souffla-t-elle. Merci de me croire.
— Je crois en toi, Dorea mon amour, c’est un peu différent, nuança-t-il.
— Ah oui ?
— C’est toi que je veux pour la vie. »
Awwwwww là, je refonds...
Je pense que Dorea risque d'avoir du al à faire son deuil : elle avait trop de choses à régler avec son père, et là, va y avoir une accumulation de non-dits étouffés par la mort de son père et c'est mauvais. Archi, mais alors archi mauvais...
Theophilius... Il m'intéresse vraiment hein. Il a une cruauté plus marquée et perfide, subtile, que celle de Cygnus. Toute cette dernière partie sur lui est très agréable à lire, très lourde et dense, mais elle est riche en informations;
"Merci Oncle Cygnus, nom de nom "hummm on entend plus Potter sortir ce "nom de nom" et associé à Theophilius, ça fait bizarre ! Bon j'espère que Dorea et Charlus vont clairement se parler dans ta prochaine fic (je serai dans le déni quant aux trucs mauvais que tu vas leur faire arriver parce que ça va vraiment me briser le coeur, je suis trop attachée à eux !)
Et un Theophilius/Lucretia... C'est à gerber.
Je crois que c'est ce chapitre qui m'a définitivement fait tomber amoureuse de ton écriture pour toujours. J'aime bien ton côté très académique : tu décris souvent toute une situation, toute une scène, que tu finis par conclure à sa fin sur une seule phrase, qui résume tout ce qu'on vient de lire. Et là, c'est une pépite :
"Elle aimait bien qu’il soit plus léger et moins cérémonieux que la famille Black. Mais hier soir, cela avait été de trop."
C'est exactement ça !
« J’aime ton impertinence. J’aime même ton insolence, commença-t-elle.
— Mais, avança-t-il avec méfiance en fronçant les sourcils.
— Mais pas ton indécence. »
Pareil, beau résumé de tout ce que peut ressentir Dorea visàvis de Charlus; J'adore ce passage.
Charlus m'a vraiment fait rire dans ce chapitre; Je pense que c'est surtout parce que c'est pas mon mari, sinon je l'aurais décalqué : il est imprudent et immature au possible, c'est infernal. Mais en tant que lectrice, c'est savoureux !
Alalalah tes scènes de reveil sont toujours très belles ! Tu aimes bien les écrire, ça se sent ! Tu en places très souvent !
J'aime aussi beaucoup le passage où Dorea mentionne sa soeur et ses cousines. Cassiopeia m'intrigue beaucoup aussi et son destin me paraît assez tragique, cette histoire d'amour... pouarf, c'est trop triste. Bon, j'ai un peu moins d'affinité avec Callidora. En fait, je voudrais juste lire sur une femme Black qui vit un bel amour sans trop de souci mais euuuuh voilà... Tu as rendu cette famille tellement intéressante à mes yeux n'empêche; Et c'est archi pas gagné !
IIIIIIIH LA REF AUX ANIMAUX FANTASTIQUES J'AIME ! C'est une réplique qui a un côté très comique dans le film, mais toi tu la tournes de façon assez romantique, c'est mimi !
La rivalité Darius, cHarlus... Woah ils me fatiguent. Faudrait que leur mère s'en mêle et leur tire les oreilles sauf que.. Bah elle a clairement un chouchou. Il me fait presque de la peine en fait, ce Darius; il a un côté con, mais Charlus aussi...
Monsieur Robertus est très effacé en comparaison de sa femme et chacune de ses interventions sont géniales et très symboliques;
Etttt la famille Black qui revient à Dorea, qui lui rappelle qu'elle reste une Black.
Et ce moment où elle s'apprête à échanger les deux chevalière... On est à mi-chemin, là, et l'image est très forte, très belle, très puissante ! Ça m'a donné des frissons;
Ce moment où elle est devant la porte de la chambre de son père.;; Ca auss c'est fort. Un peu brut, très rapide, trop sûrement... Je pense que tu aurais pu développer davantage cette partieoù Dorea se rappelle les mots durs et violents de son père;
Et sa voix qui revient en force. C'est vraiment très brut hein... Et au final, je me demande si ce n'est pas mieux que ce passage soit bref. Ca fait et donne un effet éclair à ton récit et ce n'est peut-être pas plus mal...
Et cette phrase conclusion... Alalalaaaaaah pauvre Dorea :(
Ça, c'est ce qu'on appelle un choc des cultures ! A la place de Dorea, j'aurais été complétement destabilisée. Je trouve qu'elle c'en est relativement bien sortie et qu'elle a gardé sa droiture habituelle.
Le dialogue entre Madame Potter et Dorea m'a beaucoup plu; On sent qu'elle est soucieuse du bien-être de son fils, c'est mimi, mais ça a un petit côté envahissant. Et la réaction sur sa robe, contrebalancée avec celle de charlus : c'est très cocasse à lire. Et ça montre surtout que ce qui compte pour elle, c'est son fils et rien d'autre. Dorea, elle s'en cogne un peu.
Ce repas a été très dur à lire pour moi. Y'avait trop d'interractions, ça partait dans absolument tous les sens et je crois que c'était ce que tu avais envie de montrer : une tablée vivante, aux discussions multiples, des paillements de partout et woah, à la première lecture ça ml'avait donné un mal de crâne (bon, il était 4h55 du matin et je lisais depuis 6heures... C'était peut-être à cause de ça aussi ahem ahem).
Eh dit donc, ils sont olé olé Dorea et Charlus, on ne les arrête plus !
J'aime le concept du respect de Charlus, qui se moque bien d'un quelconque droit d'aînesse ou de respect de l'âge. C'est bien que Dorea expérimente autre chose.
Et après "notre maison", on a "notre famille", je awwwwww JE LES AIME TROP (tu vas me briser le coeur avec eux, je le sais, mais THIS IS TRUE LOVE !!!!!)
Et ce moment où Dorea retourne au vouvoiement... Un pas en avant deux en arrière. Y'a vraiment ce côté "paraître avant d'être", qui lui colle à la peau.
Il s'en sort bien Charlus quand il s'agit de mentionner ses ex... C'est vrai que c'est très triste que Dorea n'a pas connu d'autres hommes que lui sur le plan physique.
Trop de prénoms, trop de personnages d'un coup, Charlus il vient de nous faire une Black là :'). En vrai, ça passe très bien; J'ai mis un peu de temps à relier tout le monde mais ça passe !
"Toute cette agitation finit par donner le tournis à Dorea." : oui moi aussi bichette !
J'aime bien Ambuela (enfin bof, jusqu'à ce qu'elle s'adresse à Dorea en l'appelant le gaçon. Je trouve que ça frôle le harcelement, dans le sens où, elle a parfaitement compris que Dorea n'aimait pas particulièrement ce surnom). J'avoue que j'ai pas d'avis fixé sur Aristote pour le moment. Et mdr j'adore ce passage, lorsque Dorea parle avec elle, et que Charlus marche sur les mains; Le contraste est à mourir de rire !
"l laissait sagement son bras autour de sa taille, et seul le pouce de sa main traçait de petits cercles sur le tissu de la robe de Dorea. Elle se glissa un peu plus contre lui, rassurée de le voir rester proche d’elle, un peu trop selon les codes dans lesquels elle avait été élevée, mais pas trop pour que ce soit non plus trop impudique." ouiiiiiiii J'AIME CE DÉBUT D'ÉQUILIBRE ENTRE EUX DEUX !!!!!
"— Je n’ai pas de leçon de respect à recevoir de quelqu’un qui a engrossé une jeune femme qui pourrait être sa fille hors mariage et hors fiançailles ! chuchota furieusement Charlus. »" SPILL THE TEA ! Charlus a un côté très vipère j'adooooore ça ajoute de la couleur à son personnage !
J'aime tellement tes dialogues ! Ils sont très efficaces et agréables à lire.
Mais Anathema, quelle queen, vraiment j'aime beaucoup sa description : elle fait tellement décalée, tellement hors cadre ! Et mdrrrr l'effet comique de répétition sur la potion aphrodisiaque, j'adooooore. Et son discours sur les parents de Dorea : woah elle est dans le juste la dame. C'est bien que Dorea entende clairement ce genre de discours, bien qu'elle ne le prenne manifestement pas au sérieux. C'est un autre pas vers la frontière infranchissable qu'il peut y avoir entre elle et Charlus, voire même elle et le reste du monde.
Même discours pour Sylvestra : une langue bien pendue et une audace vraiment charmante. Elle n'a pas peur de prononcé les mots trop forts, trop violents auquel Dorea ne pense pas.
« Ton-père-est-taré, Dorea, il t’a gardée enfermée comme une vulgaire Sang-de-Bourbe, tu ne peux pas le défendre ! Tout le monde n’a fait que parler de lui en ces termes. Outch Sylvestra... Tu avais l'air tellement plus libérée des préjugés et concepts traditionnels et conservateurs des sang-purs... Comme quoi ! C'est une très belle nuance que tu apportes à son personnage et c'est hyper appréciable !
Alors mdrrr oui, Dorea, il te manque plusieurs pièce du puzzle, et c'est bien que tu en aies conscience à ce stade, maintenant il s'agirait d'interroger Charlus. J'ai peur que tu nous glisses un hint d'un potentiel Sylvestra/Theophilius. Sache que je te surveille sur ce point :unamused: ça m'effraie un peu, mais y'aurait un potentiel de rivalité et un traitement de l'amitié très intéressant à faire sur Dorea/Sylvestra (j'y vois un soupçon de Charlotte/Elizabeth dans orgueil et préjugés, ce qui ferait de Theopilius, un M. Colins en puissance... Mais juste dnas la dynamique des couples/relations, pas dans leurs caractères respectifs).
Bon vraiment Sylvestra a des idées très arrêtées sur la pureté du sang... C'est très violent, et ça passe niquel dans des phrases banales, sur un quotidien banal... C'est très bien dilué dans l'ensemble. C'est vraiment étrange, parce qu'elle a un vocabulaire très libre, peu réfléchi, elle fait très libérée de tout ça et en fait... pas sur certains points. Vraiment, gros coup de coeur pour les femmes Selwyn !
Et voir Charlus un brin gêné, c'est mémorable j'adore ! C'est chou qu'il a besoin d'être rassuré et savoir comment Dorea le perçoit. Et olalalah quel bébé sur le rangement. J'ai eu envie de le claquer sévère.
"— Je prends plaisir à te faire plaisir, dit-elle en se sentant véritablement stupide." si c'est pas niais et meugnon çaaaaa !
Je trouve ça adorable que Dorea se permette de le taquiner. J'adoooore ça !
Ce reveil est moins doux, mais il est tout aussi important dans la construction de ton récit je pense : il montre qu'une certaine routine s'est très vite installée entre tes deux personnages, et ça, c'est très chouette.
"Elle prit sur elle pour ne pas crier de rage. C’était son mari, elle ne pouvait pas s’énerver contre lui. Il semblait apprécier qu’elle le taquine, mais il y avait sans doute des limites."
Aïe : premier red flag. Elle n'est toujours pas naturelle avec lui, y'a un filtre, et c'est normal, malgré les nombreuses interventions de Charlus lui assurant qu'elle pouvait tout à fait se permettre d'être qui elle est. Là, on sent qu'il y a comme une frontière, pour le moment grandemment infranchissable. Y'a toujours une distance naturelle entre eux, malgré cette routine.
Et y'a cette douce prise de conscience aussi, sur ce que doit subir sa mère, lorsqu'elle compare ses propos, à ce qu'elle, elle a vécu et là, c'est un passage MÉGA GIGA IMPORTANT de mon point de vue : parce qu'on a un premier pas vers cette frontière infranchissable, une prise de conscience, comme je disais, qui marque un trait entre ce que Dorea vit et expérimente, et ce qu'on lui a auparavant appris. Tu retranscris très bien ce lot d'informations qu'elle traite avec difficulté et qui l'embrouille, parce qu'elle y cherche une logique.
"Elle se contenta d’acquiescer avec soulagement et de lui tourner le dos." tu as oublié un mot Ju ! ❤
"— Si tu ne veux pas que je le sois, je ne le suis plus, se força-t-elle à répéter calmement contre son torse." : deuxième red flag par rapport à ce que je disais juste avant.
Je serai curieuse de lire ce que tu pourrais écrire sur Lycoris ! Elle m'intrigue vraiment...
"En fait… en fait, elle aimait bien qu’il l’agace et qu’il la mette mal à l’aise." YESSSSSS OUIIIIIII C'EST ÇA QU'ON VEUT !!!! Mais moi j'ai une autre question, tout aussi essentielle : est-ce que Charlus, aime lui aussi qu'on l'agace et le mette mal à l'aise ? Là, y'a moyen que ça coince à un moment ... Il a des convictions Charlus, des valeurs, mais je le vois mal s'en éloigner et accepter d'être bousculé sur certaines pensées qu'il peut avoir.
La blague des limaces, c'est clairement un truc que j'ai envie de reprendre dans une fanfic tellement c'est drôle et enfantin.
La conversation sur les nés-moldus et le rapport que Dorea peut entretenir avec eux était très intéressant et peu ouvrir à énormément de futures problématiques; on peut même espéré qu'elle s'éduque sur la question et se rende compte que la pureté du sang en fait pas la valeur d'une personne.
Je suis tombée amoureuse du personnage d'Anathema parce que woah, quelle femme. C'est uen question très délicate que tu poses et traites à travers elle, et la réaction de Charlus appelle aussi à beaucoup de reflexions, que ej t'épargne parce que ce sera pas intéressant que ej développe mille ans. Mes reviews sont déjà assez enquiquinantes comme ça x)
lL'un de mes chapitres préférés de cette histoire, car il a un goût de début, de construction de quelque chose.
J'adore ton deuxième paragraphe, car il n'idéalise pas la situation ou même le premier rapport intime qu'ils ont eu, en mode "hum c'était sympa, mais sans plus". Bon y' aussi cet aspect de "ça y est je suis une femme", qui pouvait exister à l'époque, qui pouvait se traduire comme l'envie de se sentir différente et je trouve que tu le retranscris très bien.
Le réveil de Charlus est d'une douceur absolument adorable, on dirait presque un enfant dans tes descriptions. Je fonds tellement c'est mignon. Et mdrrrr Dorea toujours à côté de la plaque, à tout prendre au premier degré... Ça la rend absolument charmante, bien qu'un peu agaçante à ce stade : on dirait vraiment une enfant à qui il faudrait tout apprendre, même les interractions sociales qui à nous, pourraient nous paraître évidentes.
J'aime aussi le fait que tu insistes sur le malaise de la nudité. Métaphoriquement, j'y vois beaucoup d'interprétation.
Bref cette scène était adoraaaable.
Sinon c'est officiel : Charlus est officiellement un enfant. Après c'est mimi, donc ça va, et si c'est juste pour un goûter (bon en vrai, on sait qu'il a un côté très immature et naîf lui aussi). Et quel coq, franchement...
Et la scène du petit-déjeuner me fait me dire pleins de choses. je ne sais pas si c'est volontaire de ta part, mais dans plusieurs mythologies et légendes, on raconte qu'un lien d'amour (a mating bond en anglais) se réalise pleinement au moment où l'une des âmes-soeurs (la femme, parce que ce sont des mythes très hétéronormatifs) offre à manger à sa jumelle (l'homme). Le lien ne s'établit qu'à ce moment. Donc je sais pas, le fait que tu inverses la tendance, que ce soit Charlus qui cuisine pour Dorea... C'est adorable et ça me plait énormément.
Pareil, belle symbolique de voir Dorea s'épanouir dans ce "notre maison", à deux seulement, alors qu'elle a toujours vécu chez les Black sans jamais trouver ce même épanouissement, là où la notion du notre devait être bien omniprésente.