Coucou Cal !
Eh ben, je crois que c'est mon chapitre préféré! J'ai adoré la description de Vienne et de cette vieille rivalité entre deux familles, ça crée une ambiance très intéressante. J'aime aussi cet aperçu de la petite Pansy silencieuse, loin de ce qu'elle est devenue (et en même temps assez proche, le parallèle, avec cette sorte de régression est saisissant). Ah, et cette autre facette que tu dévoiles à travers cette "Lucy", celle de l'amie; là aussi c'est d'une belle finesse.
Je suis aussi fan de ton Théodore! Tes descriptions sont superbes, ta manière de montrer comment les émotions passent sur son corps est juste parfaite. Je crois que je vais regarder ce que tu as pu écrire d'autre sur lui :)
Bon, et puis j'aime énormément la conclusion. Un peu surprenante venant de l'amoureuse du drame que tu es, mais je vais pas m'en plaindre hehe ♥
Amnesie
Wouah, Cali, j'ai adoré ce chapitre !
Le style, l'atmosphère, la gravité du ton, la profondeur des personnages, les mots pleins de sens, et en même temps les choses très suggérées... Bref, j'ai adoré !
Je trouve que Pansy est un personnage passionnant en fanfic, et j'apprécie beaucoup la façon dont tu l'as mise en scène : c'est comme ça que je la vois après les événements de la saga...
Un grand bravo, et merci aussi, pour ce texte ;)
J'aime beaucoup ce point final à l'histoire de Pansy et l'idée qu'ils partent finalement tous les deux. C'est très recherché comme texte et j'ai vraiment adoré la manière dont tu l'as écrit, par petites touches et moments.
Ce couple-là me plaît bien et j'aimerais bien savoir ce qu'ils deviendront ensuite. L'idée que Pansy se raccroche à des souvenirs d'enfance pour retrouver l'envie de vivre est vraiment géniale!
A bientôt!
J'aime beaucoup comment tu as pensé le texte, selon ce que tu expliques à la fin sur Hava Brodsky.
Je trouve que ça donne un éclairage très pertinent, bravo pour ce texte !
Ce texte, cette fin... C'est drôle car je me suis souvenue que j'avais lu ton chapitre en modération et je l'avais déjà aimé à ce moment-là, mais de le relire en ayant tout le contexte, ça le rend d'autant plus touchant et beau. Comme l'exprime Pansy, ce n'était pas une histoire qui commençait bien mais tu as su en faire quelque chose de magnifique. J'ai beaucoup aimé cette fic et si tu as d'autres histoires dans le même genre/univers je suis partante pour avoir les liens :) en tout cas félicitations à toi, ta façon d'introduire les éléments est super belle et ça fait naturel donc c'est encore un bon point pour ton texte. Bravo ♡
Ce deuxième chapitre est encore meilleur que le premier, je trouve, et pourtant tu m'avais déjà conquise à ce moment-là. J'adore la structure que tu prêtes au texte, les mentions de l'assassin qui résonnent comme un refrain et le rythme qui s'accélèrent pour nous dévoiler la révélation à la fin du texte – ça m'a rappelé le chef d'œuvre de Stephen King, Carrie, avec ces évocations de la catastrophe à demi-mots qui font augmenter la pression de plus en plus vite. La relation que tu tisses entre Theodore et Pansy est complexe et ça me plaît, l'image de Drago qui flotte dans son esprit comme un souvenir fantomatique vient la perturber encore plus et ça la rend crédible, humaine, dans sa façon d'être perdue vis-à-vis de ses sentiments. On sent toute la construction de tes personnages et l'arrière-plan détaillé qui les met en valeur. Félicitations pour ce chapitre !!
Oh waow Calixto j'avais vu passer ton texte dans les news et je n'avais pas encore pris le temps de le lire – quelle erreur ! Et quelle claque ! Tu sais que j'aime Pansy et la vision que tu en offres, dans ce texte, correspond peu ou prou à la mienne. Mais tu exploites avec tellement de talent sa souffrance et sa solitude que ça en devient poétique. Ton style percute et déstabilise, tu nous entraînes dans ces émotions sombres et douloureuses – et pourtant bien réelles pour beaucoup de monde. Je ne changerais pas un mot de ton texte, je le trouve parfait ♡
Hello hello,
J'aime tellement l'atmosphère sombre de tes textes, tes perosnnages ne sont pas lisses, bien au contraire. Le moment où Théodore lui demande partir avce elle... ♥︎ De toute manière avec "Parce que je t'aime" tout devient juste adorable ♡
J'adore aussi cette image : "Ma solitude reste sur le quai. Pansy Parkinson aura sa fin heureuse." J'imagine une ombre grise sans visage qui regarde l'autre partir, cette ombre se sent seule alors elle va avec les gens, mais eux ils se sentent seuls, alors quand ils la laissent, c'est elle qui est de nouveau seule. Tu vois ce que je veux dire ? Je vais sûrement trop loin ^^
Bravo à toi :)
winter
Coucou,
J'aime beaucoup cette Pansy, pleine du caractère qu'on lui connait mais avec en plus une nouvelle profondeur qui la rend super intéressante. J'étais un peu perdue dans certains passages du début de ce chapitre car je n'étais pas sûre de comprendre de qui/quoi parlait Pansy exactement. Je sens bien que c'est volontaire mais j'avoue qu'à certains moments je me questionnais un peu trop pour apprécier le texte à sa juste valeur... Enfin ça n'a pas duré.
J'adore l'ambiance et le rythme de ce chapitre. Le désenchantement/la désillusion de Pansy est un thème magnifique.
Bravo pour la mise en mots (imposés en plus !)
Du coup, je me demande qui a essayé de la tuer.
Bravo, ton texte est passionnant et j'aime toujours autant la description que tu fais des états-d'âme de Pansy.
Je trouve paradoxalement ce personnage très attachant sous la plume des scribouilleurs et c'est sans doute un des meilleurs textes que j'ai lu jusque là, bravo!!
J'espère que la suite nous apportera des réponses! Quel mystère!
Hello Cal' ! ♥
C'est toujours aussi beau, avec ce supplément "mystère" de ce fameux assassin, qui me rappelle un peu "Dominique bat des cils". Tout se dévoile peu à peu et on perçoit au milieu de la confusion plein de beaux symboles, vraiment c'est très réussi.
J'ai particulièrement aimé la description de Theodore (j'aime bien l'expression "une vieille colère"), tu l'as rendu rapidement très intrigant et quelque part, touchant. Et j'ai adoré qu'il soit "cet assassin". Ca me fait penser que je me demande si tu as déjà en tête l'histoire de Pansy, ou bien si tu improvises à chaque fois? En tout cas je suis curieuse de savoir quelle fin tu lui réserves.
Cette nouvelle fonction de passeuse est tellement intéressante! Je trouve qu'elle incarne bien l'entre-deux moral dans lequel Pansy s'est toujours trouvée. (Et clairement, elle n'a pas l'air d'être prête à se décider à passer, vraiment, d'un côté ou de l'autre. (Et ce que ça pourrait être l'issue du dernier chapitre? alala je suis beaucoup trop curieuse, je vais peut-être avancer les deadline, tiens, histoire d'obtenir cette fin plus rapidement ^^))
Bravo pour ce très beau texte, en particulier avec toute la difficulté de la double contrainte (parfaitement exécutée, j'ai consciencieusement vérifié (c'est à dire, épié la moindre faute qui aurait pu me pemettre de me venger ♥)
A
Hey
« Mon cœur a remonté mes veines pour battre follement dans le creux de mon poignet. » j’adore cette métaphore. J’adore dans les textes et notamment le tien que le coeur a une place importante dans le récit. C’est lui qui nous fait vivre, si on a peur, c’est lui qui bat plus vite, si on a mal d’amour, c’est dans la poitrine que ça se passe. J’adore je crois ta phrase pour ça. L’image est assez puissante.
Au début je pensais que l’assassin était l’amour. Finalement il n’y a pas que ça.
« Draco Malfoy ne s’est jamais soucié de toi. Pour la rime, elle y ajoute le prénom d’Astoria. » bien trouvé, bravo à toi, à lire avec un bruit de « pot pou pou » grave et dramatique dans la tête.
En fait, elle, elle est bloquée à un moment et lui, Drago, Théodore, ils continuent. C’est comme si c’était deux âmes qui n’avaient pas la même vitesse pour vivre. C’est tragique, comme si le destin ou l’univers lui montrait que c’était juste impossible. Qu’elle ne s’accorderait jamais avec eux. Et puis, il y a toute cette dimension de voir les autres évoluer dans leur vie et toi… non. C’est très dur à encaisser.
Mais finalement avec la phrase de fin, j’entre-aperçois une belle possibilité, non ?
J’y crois pour elle.
Dernière chose, la symbolique de se débarrasser d’affaires pour ne plus « s’encombrer » et pouvoir avancer. J’adore ça, je trouve ça si vrai, tes objets, ils incarnent ta vie à un moment T. Encore un rappel que elle, elle fait du sur place.
J’ai bon espoir qu’on se remette en marche :)
Bravo et merci,
winter
Hello, J’aime beaucoup la tension qui règne au début du texte, la pesanteur est bien décrite. On sent la lourdeur des poids des morts, du passé, des familles.
Je trouve super bien pensé la manière dont tu as casé Amsterdam et les moyens de locomotion. Je ne m’attendais pas franchement à de l’action qui est dans la dernièe partie du texte, mais la fin ouverte me plait. On retombe dans cette ambiance super bien faite, agréable à lire, et bien mise en scène de léthargie plusieuse.
Ah et bien, li faut savoir que je suis très intrigué par Theodore Nott comme Serpentard, donc je suis vraiment ravie de le voir mis en avant dans cette histoire.
J'aime bien le ton que tu utilises dans ce texte. Tu laisses d'abord tes lecteurs dans le flou avant de monter crescendo dans la révélation de cet assassin qui relie autant Theo que Pansy, et au final on comprend qu'il a tué un mangemort pour elle. Pour lui suver la vie. T'imagines si c'était justement son paternel derrière le masque ? aha
D'ailleurs, les mangemorts viennent tuer comme cela, tranquille ? J'veux dire ils savent qu'il y a des enfants de leurs collègues à Poudlard, juste ? Où ils ont juste l'ordre de tuer et c'est tout ? x)
Je trouve interessant le fait qu'elle ait décidé de devenir passeuse d'objets de magie noire pour les autres familles de Mangemorts afin d'être clean de tout problème.
Et on sent que ce meurtre les perturbent tout les deux. Bon, on va dire que les aventures intenses ça rapproche les gens ? ;)
A voir comment tu vas continuer cela, mais j'ai bien aimé l'envers du décor avec la bataille de Poudlard. J'avoue secrètement avoir voulu lire des Serpentard dit " bon" qui ne suivent pas pour l'évacuation afin d'aider les autres ( qu'ils soient courageux), puis que Pansy le remarque tout comme Théo l'a fait x)
Quoi.... Serpentard ce n'est pas automatiquement être méchant ^^
Merci beaucoup pour la lecture.
Chris
Coucou !
Alors voilà le prologue du fameux concours. Je ressens surtout que la Guerre a bien amoché Pansy, et qu'elle en garde de nombreuses stigmates. Qu'elle a aussi tout perdu.
Sa fierté. Sa richesse, non ? Et même ses rêves d'antan, je pense notamment à Draco qui c'est marié.
On ressent Pansy, seule, différente de l'image que les autres se sont fait de sa personne avec les années écoulées.
Pour moi, dans ce début, elle n'est l'Ombre que d'elle-même. Bien joué pour les descriptions, c'était tout en poésie ;)