Oh, c'est un texte super intense !
Je trouve que le ton va très bien avec la personnalité de Sirius et sa situation. J'aime beaucoup l'ambiance du 12 que tu as su réstituer (elle est si particulière !). Et les tourments incessants de Sirius... Sa relation avec Buck aussi, comme deux vies parallèles...
En tout cas, bravo pour le défi relevé et pour ce très beau chapitre
Salut Fleur!
J'ai déjà lu tes textes sur Sirius et Walburga et je dois dire que j'en suis absolument fan - autant dire que j'étais ravie quand j'ai vu que tu écrivais à nouveau sur eux ♥
J'ai adoré la poésie de ton texte, mais c'est quelque chose que je trouve difficile à expliquer donc je ne vais pas m'y attarder (alors que ça le mériterait clairement!). Sache juste que je suis très admirative de ton talent pour jouer avec les rythmes et les sonorités.
La première partie avec la répétition du "coupable" donne une perspective tellement juste sur Sirius! Coupable d'être né Black, coupable de s'être rebellé, coupable d'avoir échoué... il y a une sorte de fatalité très frappante. Et cette fatalité lui donne quelque chose d'un personnage de tragédie qui se marie super bien avec le côté théâtral de ton texte! Toujours par rapport à la vision que tu nous offres de Sirius: j'ai adoré que tu montres sa noirceur (et sa lucidité vis à vis de ça) avec la captivité de Buck. Je n'y avais jamais pensé, mais c'est tellement bien réfléchi!
J'ai un petit faible pour les allusions au canon, alors la mention aux retrouvailles avec Harry, à Remus, l'écho du rire à s'en déboiter la machoire...c'est juste génial à lire.
Merci d'avoir rejoint ce concours, ce texte est une superbe découverte!
Amnesie
PS: "Rien qu'à l'odeur, tout revenait comme hier." -> Ca a des forts accents de "Mon Enfance" (avec le "tout redevenait comme hier") !! Enfin ça m'a frappée, et je me demandais si c'était volontaire ? (en tout cas j'aime beaucoup)
Coucou Fleur !
Je sais que tes textes sont coup de poing mais wow, Sirius... J'adore cette chanson, on en sent vraiment la trace dans le texte, mais tu la réutilises avec un ton torturé et sans aucun comique ahah mais ça rend si bien ! J'adore le parallèle entre Buck et Walburga, puis entre Buck et Sirius. Tu redéfinies les éléments du textes, tu analyses en même temps le canon, on plonge vraiment dans la tête de Sirius, et ça fait peur gloups.
Bravo pour ce bel hommage à Barbara < 3
Merci < 3
Ton Sirius est tellement flippant que je comprends pourquoi le Ministère a si vite cru que c'était lui.
Purée, en temps que Black il porte bien son nom! Ses états-d'âmes sont impressionnants.
La relation qu'il a avec sa mère est terriblement complexe et cela rend le chapitre vraiment mystérieux. Il a développé une personnalité limite malaisante et on sent bien que là, il est au bord du gouffre et l'alcool n'en est qu'un des aspects.
Est-ce que selon toi il est vraiment un monstre?
J'espère voir la suite. A bientôt!
Hello !
Je suis une grande fane de cette chanson, alors j'étais très curieuse de voir ce qu etu en avais fait !
Très joli texte, une forme de poérique en prose/en vers modernes (j'ai pas les termes ahah)
Avec de bonnes images dans les mots, illustrant bien l'état d'esprit, l'urgence, la résignation quelque part, la haine surtout...
C'est une forme du texte qui m'a surprise mais qui fonctionne très nien.
Et la chute woaw elle clot parfaitement le texte !
Hello, ton texte est si touchant. Si dur, avec la vérité crue des mots. J’aime que Sirius réagisse au mot « traitre », parmi toutes les insultes, celle-ci en est vraiment une. J’aime cette phrase « quelques camarades de galère dont il aurait bien aimé se passer », Azkaban me fait toujours froid dans le dos. Le passage de regarder dans un miroir est violent aussi (12 ans sans se voir aussi…). L’accumulation des « Et » on est plongés dans la tête de Sirius, tout s’accélère.
Le parallèle avec Buck : wow, bravo.
La rédaction en morceaux de phrases, j’aime beaucoup aussi, le texte est très dynamique, quand Sirius s’emballe, on s’emballe avec lui, les idées s’enchaînent. Parfois le temps devient long aussi… C’est chouette de jouer avec cet élément de l’écriture.
Bravo à toi,
winter
Wow l'angoisse qui exsude de ce texte. On sent que tu maîtrises parfaitement ces deux personnages, leur caractérisation et leur relation,et j'avais lu un de tes textes sur eux mais ça ne se sent pas une redite. Ça reste beau et sale, et déchirant. Alors je suis aussi impressionnée par la façon dont tu as géré la contrainte, wow, c'est très fluide ! Notamment un passage qui me plaît beaucoup, les "vacances" canines de Sirius à la fois légères et amères, où tu cases habilement France. Retour au début du texte, joli développement sur la culpabilité de Sirius. Classique mais particulièrement bien écrit, et notamment agréable avec les rimes occasionnelles et puis le rythme général des phrases, ça se lit si bien ❤️
"et une nuit rencontrer son filleul/et frôler le bonheur" juste ces deux phrases c'était tellement touchant après toute la détresse de Sirius.
"C'était la deuxième fois en 15 ans qu'il riait à s'en déboiter la mâchoire" : magnifique. Je sais pas, déboiter m'a tellement frappée dans cette phrase. Et ce Sirius désabusé je l'aime oh la la j'adore l'écrire comme ça aussi XD les personnages désabusés en général en fait haha
J'aime le "Il n'avait pas compris qu'elle s'était insultée elle même." Le tragique de leur relation est ce gouffre d'incompréhension qu'ils ne franchiront jamais...
Et on arrive à la partie que je trouve la plus magistrale, toute cette relation que tu décris entre Sirius et Buck. J'adore. Les liens que tu leur écris, c'est juste le mieux de ce texte.
Je le vois bien alcoolique aussi. L'alcool qui est "l'enfance à l'état brut" wow c'est la version dark de la madeleine de Proust un peu !
Après voilà, le passage très juste sur l'enfermement, bien cristallisé par sa main dans ses cheveux ça rend tout de suite la dégradation physique, on se souvient bien comment après Azkaban ses cheveux sont trop longs, graisseux, etc...
L'adresse à la mère est peut être un peu longue mais j'adore l'écho au titre qui est parfait d'ailleurs, pas de pardon pour les monstres. Juste le double sens du titre qui marche à la fois pour Sirius et Walburga est ❤️
Aussi avant que j'oublie, l'illustration est très belle !
Le dernier paragraphe clôt parfaitement le texte, ça m'a fait penser que sa mort même l'a piégé, dans le voile... Jolie chute.
En lisant la chanson dans les notes, encore bravo pour avoir casé tous les mots, c'est vrai que s'aurait été difficile de faire fusionner cette chanson au texte !
Bravo, merci pour ce très beau texte <3