Hey,
C'est fou comment en quelques mots, tu me plonges dans l'atmosphère du 12 Square Grimmaurd. Les gens sont tendus, ne se parlent pas vraiment et ont pourtant tant de choses à dire.
La complicité, le soutien que se donnent les deux soeur n'en est que plus belle.
J'aime toujours autant avoir une petite fenêtre sur ton univers. Tu ouvre les volets, on a quelques instants d'Arcturus, on évoque Dorea, et je retourne chez toi :)
À bientôt,
winter
Coucou Juliette !
Cette desccription impersonnelle est super intéressante - à vrai dire, j'ai l'impression d'avoir déjà lu ce genre de descriptions où chaque partie du corps est détachée du tout, comme si l'essence était complètement dispersée, ou simplement oubliée. (Est-ce que tu te serais inspirée d'un truc de la littérature ? Ca me dit vraiment quelque chose, c'est très frustrant de ne pas m'en souvenir...) En tout cas, l'effet est réussi (cruellement réussi) : Charis apparait si peu remarquable que son visage s'est presque immédiatement effacé de mon imagination (à l'inverse de Cedrella, wahou elle elle marque). C'est génial quand même, être capable de dédier un OS à un personnage, chaque phrase rappelant combien ce personnage est fade et inintéressant. (Même si c'est clairement un regard, hein - le sien, et l'absence du regard de son père.)
Je crois que je me perds un peu dans ma review, mais qu'est-ce que j'adore découvrir ta vision des Black ♥
Des bisous
Coucou Juliette !
Oh ce que j'aime la manière dont tu écris les Black ! Charis fait un peu mal au coeur, engoncée dans toutes les attentes de sa famille, à ne pas être aimée comme elle le voudrait, trop d'un côté, pas assez de l'autre, et elle n'a pas la flamme de Cedrella pour se rebeller, en poupée qu'elle est.
Tu écris tellement bien !
Merci pour ce très beau texte !
A bientôt,
Sif.
J'aime beaucoup le moment entre soeur à la fin du texte, je le trouve très beau et très réconfortant !
Oh ça fait un joli pendant aux quatre filles d'Arcturus Black !
Ce que j'aime dans le corps que tu décris, c'est qu'on sent bien que la beauté est une notion subjective et construite, et même construite socialement. La description est si précise que malgré l'uniformité que tu décris de ce visage, j'arrive à m'en composer une image dans la tête.
Elle me fait pitié, Charis. Autant d'obéissance à tout un tas de règles viellottes dans l'espoir de se faire remarquer en tant que parfaite petite jeune femme toute sage.... Espoir vain qui ne peut engranger que de l'aigreur.
À bientôt,
Piti