On dit de la Pucelle d’Orléans qu’elle naquit dans une ferme attenante à l'église de Domrémy, aux marches de la Lorraine, que sa piété était sans pareille, et qu’à treize ans elle commença à entendre distinctement des voix. On dit qu’à Vaucouleurs la roturière convainquit le capitaine Robert de Baudricourt de lui obtenir une audience auprès du Dauphin, puis qu’à Chinon elle reconnut le futur Charles VII parmi toute une assemblée. On dit que Jeanne d'Arc libéra Orléans des Anglais dans la nuit du 7 au 8 mai 1429, puis qu’elle fut tenue en échec en marchant sur Paris. On dit que l'année suivante elle fut faite prisonnière par les Bourguignons qui la vendirent aux Anglais afin qu’elle soit jugée. On dit qu’elle fut brûlée vive à seulement dix-neuf ans sur la place du Vieux-Marché à Rouen, le 30 mai 1431.

On dit aussi de Jeanne qu’elle était une Sorcière.

Première place au concours de selket "Et si ça avait été un sorcier ?"

Chers lecteurs,

Si vous lisez ces mots, c'est que vous vous êtes procuré la dernière édition spéciale de la Gazette de Poudlard (déconseillée aux moins de seize ans, alors si vous n'avez pas l'âge requis, prière de lâcher immédiatement cette coupure de journal ou un délicat "CAFARD" viendra bientôt orner votre joli petit front !). Bouchez les oreilles des plus jeunes et ouvrez-vous au monde fabuleux des ragots. Je ne vais rien vous cacher : cette fois-ci c'est très très chaud !

Votre dévoué reporter,

Thomas Beurk

DERRIÈRE L'INSIGNE || Préfets pas si parfaits !

LA FLÈCHE DE CUPIDON || Équipe de Gryffondor, de l'amour dans l'air ?

POINTS DE VUE || Derrière le silence de la Cabane hurlante, le drame

Complément à la fiction Plumes de couloir
(concours "Les Héritiers de Rita")

Crédits : hansbenn, image libre de droits (Pixabay) Montage réalisé par mes soins

Attention, travaux ! Prenez garde à ne pas vous prendre les pieds dans les outils de chantier et à ne pas tomber dans un trou. Car ce recueil se construira au fil du temps, des thèmes, et des mots. Alors, oserez-vous pousser les portes du Manoir ?

Après la guerre, Pansy a ouvert un salon de tatouage dans le Londres sorcier. Elle y recouvre tranquillement la peau des autres et y panse en même temps ses plaies. Jusqu'au jour où une certaine Serdaigle pousse la porte de sa boutique pour se faire tatouer...

Il faut avoir la peau dure pour supporter les assauts du dermographe, et encore plus pour s'autoriser à aimer.

 

Mimi a toujours des reproches pour tout.

C'est vrai que je suis souvent en retard pour nos rendez-vous, c'est vrai qu'il m'arrive quelques fois de regarder d'autres personnes qu'elle dans ce château, c'est vrai que je fuis les responsabilités et qu'il serait temps de passer un cap dans notre relation…

Mais je l'aime ! C'est tout ce qui importe, non ?

Participation au concours d'Hazalhia, "Les associations improbables : Here we go again"

Crédits : Montage réalisé par mes soins à partir d'une image libre de droits (Pixabay)

« Eh bien, évidemment, elle est très triste à cause de la mort de Cédric. En plus, je pense qu'elle ne sait plus très bien où elle en est parce qu'elle aimait Cédric et que maintenant elle aime Harry sans arriver à déterminer qui elle aime le plus. Ensuite, elle se sent coupable en pensant que c'est une insulte à la mémoire de Cédric d'embrasser Harry et elle se demande ce que les autres vont penser d'elle si elle se met à sortir avec lui. D’ailleurs, elle n’arrive sans doute pas à définir ses sentiments pour Harry parce que c’est lui qui se trouvait avec Cédric quand il est mort et donc, tout cela est très embrouillé et très douloureux. Ah oui, il faut ajouter qu’elle a peur d’être exclue de l’équipe de Quidditch de Serdaigle parce qu’elle vole très mal en ce moment.

— Il est impossible de ressentir tout ça à la fois sans exploser. »                                                            (Harry Potter et l'Ordre du Phénix)