Le Club des Créateurs by Deanna
Summary:

Image réalisée par mes soins.



Vanille n'aime pas son prénom. D'ailleurs, c'est ce que vous apprendrez en premier sur elle.

Vanille, elle ne sait pas être attentive en cours, et ça lui vaut des coups de coudes réguliers de ses amies, qui veulent la remettre sur le droit chemin du sérieux et de l'attention.

Vanille, c'est un vrai livre ouvert. Quand son cerveau divague, tout le monde peut deviner à quoi elle pense.

Vanille, elle n'est pas vraiment seule dans sa tête. Souvent, elles sont au moins deux à y débattre.

Vanille, c'est l'élue d'une ancienne prophétie qui dit qu'elle sauvera le monde des sorc... non, non, attendez, pas du tout.



Pendant sa cinquième année, un mystérieux Club se présente. Il affirme pouvoir faire découvrir une magie différente, plus puissante. Et il n'a pas tort. Il oublie juste de préciser les embrouilles. Les mensonges. Les manipulations. Le danger.

Alors évidemment, personne ne s'en doutait, elle saute dedans à pieds joints. Et là, commencent les problèmes.


Bienvenue, lecteur. Bienvenue au Club des Créateurs.

Categories: Durant Poudlard Characters: Personnage original (OC)
Genres: Aventure/Action
Langue: Français
Warnings: Aucun
Challenges: Aucun
Series: Aucun
Chapters: 75 Completed: Oui Word count: 339025 Read: 27842 Published: 17/06/2016 Updated: 16/07/2020
Story Notes:

Bienvenue au Club des Créateurs. Je suis Deanna, Dean' pour les intimes, et je serai votre hôte tout au long de cette histoire.
J'ai commencé à travailler sur le Club il y a six ans. A l'époque, j'écrivais peu et lisais beaucoup. J'ai publié les premiers chapitres avec un enthousiasme certain.
Il y a deux ans et demi, j'ai mis en pause la rédaction de l'histoire, j'avais besoin de changer d'air. Il y a un an et demi, après un an sans écrire un mot, j'ai décidé qu'il valait mieux ne pas insister : j'ai publié un ultime chapitre racontant, au travers d'une lettre de mon héroïne, tout la fin de l'histoire.
Et puis, un beau jour, j'ai tout relu, et l'envie a suivi. L'envie d'écrire, d'achever mon travail, de révéler toutes mes idées, et de retrouver la passion de l'écriture. C'était en juin 2019.
J'avais décidé de ne rien publier tant que je n'étais pas certaine de terminer cette histoire. Aujourd'hui, au jour 3 du NaNoWriMo 2019, j'ai compris que j'arrivais à un tournant. Je sais que je vais la terminer. D'ailleurs, elle l'est presque.
C'est avec un immense plaisir que je reprends la publication.
Oh, je sais que ce texte n'est pas parfait, surtout les début, mais la fin non plus. Je sais aussi que ceux qui me suivaient sont certainement passés à autre chose. Mais je publie pour le plaisir.
Merci à tous ceux qui auront le courage de relire ce texte dont les début, je l'avoue, me font un peu rougir. En vérité, je n'ai moi-même pas eu le courage de relire les premiers chapitres.

Toute mon amitié, et au plaisir de lire vos reviews,
Dean'

C'est quoi ce prénom ? by Deanna
Author's Notes:
Chapitre de présentation, long et ch... Non attendez je dois vendre mon texte !

Ahem.

Bienvenue à Poudlard ! L'Ecole des sorcier a quelque peu changé. La guerre est finie depuis quelques années, nos héros ont déserté les bancs pour s'en aller vaquer à leurs vies d'adultes, place aux jeunes ! Vanille entre en cinquième année. Et soyons originaux (non), commençons ce texte avec... un banquet de rentrée ! Quoi de mieux pour exposer la situation?

Oui, bon, ça sera sûrement un peu plus sympa dans les chapitres d'après. Je vous souhaite (tout le bonheur du monde, et que quelqu'un vous...) (pardon) une bonne lecture !
Vanille n’aimait pas son prénom. C’était la cinquième fois qu’elle assistait au festin de début d’année à l’Ecole de Sorcellerie de Poudlard, cinq ans d’étude et elle n’avait jamais été capable de rester attentive, à quelle occasion que ce soit, cours, réunion, discours. Dès qu’il s’agissait de rester en silence à écouter un professeur parler, son cerveau désinvolte partait de lui-même dans des réflexions et des souvenirs.

Ce soir-là, venu de nulle part, Vanille se disait qu’elle n’aimait pas son prénom. Elle le trouvait trop facilement sujet aux blagues. Leanne, sa camarade de chambre de Serdaigle, dès le premier jour qu’elles avaient passé à Poudlard lui avait fait une remarque qui s’était voulue drôle. Au moins, se dit Vanille, ce prénom aura été un bon moyen se nous rapprocher. Même Ambre, elle si silencieuse et avare en plaisanterie, lui avait un jour dit de se calmer pour ne pas “virer chocolat”, ce qui avait au passage fait tourner des têtes à ceux qui n’avaient pas l’habitude de l’entendre.
Vanille secoua la tête et songea amusée qu’il valait mieux pour elle qu’elle continue à éviter les blagues.



Ne sachant pas d'où lui remontaient ces souvenir, Vanille leva les yeux vers la directrice de l'école qui s'apprêtait à faire son discours de rentrée.

Evelyne Roy avait succédé au professeur Rogue, immédiatement après la bataille de Poudlard.

Debout devant la table des professeurs, elle regardait ses élèves patiemment et souriante, attendant le silence. Les professeurs, comme tous les ans, étaient désolés de la voir si peu encline à imposer son autorité. Bientôt, le calme vint.

- Merci.

Elle leva sa baguette et fit apparaître un tabouret devant elle.

- Mesdemoiselles et Messieurs, je vous retrouve cette année pour mon plus grand plaisir, en forme et prêts à reprendre vos études, après deux mois de folles activités qui vous ont, j'en suis certaine, fait oublier la moitié de vos leçons de l'année passée. Mais il est temps de reconnecter nos petits cerveaux et de se plonger à nouveau dans l'univers des nouveautés et de l'apprentissage, et quoi de mieux pour commencer cette année qu'accueillir nos nouvelles têtes !

- Toujours aussi déglinguée, celle-là, murmura Oliver, un camarade de l'année de Vanille, assez fort pour faire retentir des ricanements autour de lui.

La porte de la grande salle s'était ouverte et une nuée de robes noire s'avançait prudemment dans l'allée centrale.

- Ils sont si petits c'est trop mignooon !

La plupart des filles assises autour de la tête blonde qui venait de s'écrier la même phrase que les deux années précédentes se tournèrent vers elle, le désespoir aux yeux, tandis que les garçons semblaient émus par cette phrase et la demoiselle qui l'avait prononcée.
Certaines choses ne sont pas faites pour changer, se dit Vanille.

En reportant son attention sur les nouveaux, son regard croisa celui d'un garçon assis à la table des Gryffondor qui la regardait fixement de ses grands yeux noirs. Gênée, elle se détourna vite mais croisa un autre visage qui la fixait, à l'autre bout de la salle. Elle se ratatina au maximum et rougit d'un coup.

"Mais d'autres changent au contraire, pensa-t-elle. Qu'est-ce qu'ils me veulent ?"

Leanne lui envoya un coup de coude. Elle fixait le fond de la grande salle où tout le monde regardait à présent.

Il y avait deux groupes d'élèves devant l'estrade, et sur le tabouret était maintenant posé le Choixpeau magique. La directrice reprit la parole :

- Bienvenue aux nouveaux première année. Puisse cette année vous apporter confiance et amitié, goût du travail et soif d'apprendre. Mais avant de nourrir une quelconque rivalité entre vous, il est de notre devoir de vous inculquer le respect mutuel, la bonne entente, et l'épanouissement personnel. Cette année sera donc commune à tous et vous serez, à chaque cours, répartis en quatre groupes, qui changeront aléatoirement. Un dortoir est également réservé à tous les première année, et vous avez le choix de votre table dans cette salle. Lorsque vous aurez assez de maturité et de personnalité, nous vous répartirons selon vos qualités, et ceci – elle tendis une main vers le groupe de gauche qui piétinait d'impatience – en seconde année.

Mme Roy leur demanda ensuite de de répartir sur les grandes tables, et le Choixpeau se mit à chanter. Vanille, comme à son habitude, n'écouta rien.



Elle se remémorait de sa première rentrée. Née moldue, elle n'avait jamais entendu parler ni de guerre ni de survivant. Hors, quand la directrice adjointe Minerva McGonagall était venue chez elle pour la rencontrer et lui expliquer ce qu'était le monde des sorciers, elle leur avait expliqué à elle et ses parents que ce monde sortait à peine d'une guerre. Sans entrer dans les détails, elle leur avait dit que la première année de Vanille serait une année de grands changements dans la communauté sorcière, mais qu'elle-même ne s'en rendrait pas compte, étant née-moldue en première année. Ensuite, elle avait demandé à parler à ses parents, seuls. Elle avait rejoint son frère aîné à l’étage et n’avait pas pu entendre discrètement ce dont ils avaient parlé.

Ensuite, le professeur était parti. Ses parents, pendant quelques temps, avaient refusé de reparler de cette rencontre. Mais un jour, ils avaient expliqué à Vanille ce qu’ils avaient appris.

Les sorciers sortaient d’une guerre due à une prise de pouvoir de sorciers n’acceptant pas ceux qui étaient nés comme elle, nés moldus. Ils revendiquaient l’autorité et la supériorité de ceux issus de sorciers depuis plusieurs générations. Pendant cette guerre, les sorcières et sorciers issus de moldus avaient dus se cacher pour ne pas être enfermés ou pire, être assassinés. Heureusement, certains d’entre eux, sang-purs comme sang-mêlés, s’étaient levés contre cette dictature, et, guidés par un jeune sorcier, avaient triomphé cette guerre.

Evidemment, cette histoire avait bouleversé les parents de Vanille. Le professeur McGonagall leur avait assuré que les risques étaient aujourd’hui révolus, et que la communauté sorcière avait besoin de retrouver confiance en ses membres. Ils ne devaient pas se replier sur eux-même, et les nés-moldus étaient de nouveaux les bienvenus parmi eux. Mais malgré tout cela, ses parents avaient peur.

Mais Vanille était une sorcière, c’était indéniable. Ses parents lui apprirent que, selon le professeur McGonagall, refuser à sa magie de s’exprimer pouvait comporter de gros risques. Il fallait qu’elle apprenne à la canaliser et à s’en servir, pour ne pas se laisser submerger par elle. Son père avait pris cette information pour une menace et s’en était indigné, avant de comprendre qu’il s’agissait d’un avertissement.

Ils n’avaient donc pas eu le choix. Leur dernier espoir de ne pas voir leur fille partir était qu’elle-même refuse. Et, bien évidemment, Vanille avait exprimé son souhait d’apprendre la magie.


Le premier jour, dans le train qui l’emmenait dans une nouvelle vie, une petite fille maigrelette aux cheveux frisés, avec deux yeux partant dans des directions opposées et à l’air terrorisé lui avait fait une blague maladroite sur son prénom après qu'elle se soit présentée. D'abord vexée, Vanille avait été sur le point de renvoyer une remarque cinglante et terriblement méchante sur le physique de la fillette, mais elle avait vu ses yeux s’humidifier de timidité, et exprimer une envie maladroite de faire connaissance avec ceux qui l'entouraient. Vanille avait rit et s'était liée d'amitié avec Leanne. Elles étaient restées ensemble toute l'année.



L’Ecole avait subit un changement majeur dans la répartition de ses élèves. Affligés par les événements de la guerre, les conseils de sorciers avaient mis en place une série de nouvelles lois (après avoir abrogé celles qui avaient été rédigées pendant la guerre) visant à mieux intégrer les sorciers sang-purs et sang-mêlés, et à diminuer les rivalités. C’était une tâche ardue et subtile, les moeurs étant ce qu’ils étaient, et même reconnaissant l’atrocité et l’absurdité de la guerre, certaines familles de sang-purs restaient très attachées à leur statut social prétendument supérieur.


Et donc, à Poudlard, une décision importante avait été prise : la répartition se ferait en début de deuxième année. C’était le professeur McGonagall qui avait appuyé cette requête, invoquant un souhait inavoué de feu professeur Dumbledore


La Gazette du Sorcier en avait fait un article, dans lequel McGonagall avait été interviewée :

Le professeur Dumbledore a souvent exprimé son regret de voir les jeunes sorciers être répartis si tôt dans leurs études. Il disait que pour la plupart, ces jeunes découvraient pour la première fois un monde magique et une liberté relative, vis-à-vis de leurs parents. Malheureusement, beaucoup d’élèves ont été répartis selon leur ascendance, à onze ans, ils n’exprimaient que rarement une opinion divergente de celle de leur famille. Je soutiens entièrement cette décision de repousser la répartition, et ai déjà commencé à mettre en place une organisation différente avec l’aide des autres professeurs.
Bien évidemment, nous ne souhaitons pas supprimer tout esprit de compétition, qui peut être bénéfique dans le cadre des points, de la Coupe des Quatre Maisons et de la compétition de Quidditch. En revanche, nous souhaitons, et moi la première, voir disparaître ces querelles et inimitiés qui n’ont pas d’autre raison d’être que la différence de maison. Nous voudrions voir apparaître une entraide entre les élèves, quelle que soit leur maison, et ceci pourra être aidé par l’année commune que passeront les premières années non répartis.



Cette décision n’avait pas été très bien accueillie par les sorciers et les sorcières, et durant les premières années, les parents et autres sorciers avait vivement protesté. Mais au bout de quelques années, les bénéfices de cette décision avaient été démontrés, les élèves nourrissaient bien moins de mésentente et d’antipathie les uns envers les autres. Evidemment, chaque élève était attaché à sa maison, mais s’étant tous côtoyés pendant un an, ils acceptaient plus facilement de se tendre la main mutuellement entre différentes maisons. Le Choixpeau, sans que l’on ne sache vraiment comment, avait compris l’intérêt de cette nouvelle façon de faire, et ne tenait plus compte de l’ascendance ni de la famille de l’élève. Parfois même, il semblait répartir à l’opposé du caractère : des ambitieux se retrouvaient à Poufsouffle, des loyaux à Serdaigle et des généreux à Serpentard. Les élèves se respectaient bien plus, même si cela pouvait être dû, évidemment, aux retombées de la guerre.


Mais malgré cela, encore aujourd’hui, des opposants à ce nouveau système se faisaient régulièrement connaître et entendre via la presse.



Et c’est donc en deuxième année que Vanille fut envoyée à Serdaigle. Elle avait pendant un an découvert avec émerveillement la magie et ses possibilités illimitées, et, bien que distraite en cours, elle travaillait studieusement le soir. C’était ce côté studieux et cette envie de connaître et comprendre que le Choixpeau avait lu en elle.

Son amie Leanne fut également envoyée à Serdaigle, pour leur grand plaisir.

Le premier soir dans leur nouveau dortoir, Vanille et Leanne avaient rencontré Ambre, une jeune fille silencieuse à la peau brune et yeux cheveux coupés au carré. Rarement encline à discuter, celle-ci participait parfois aux discussions et partageait son savoir lors de travaux en groupe. Ni Vanille ni Leanne ne la connaissaient vraiment, bien que toutes les premières années aient eu des cours ensemble à un moment ou à un autre. Mais le mutisme d’Ambre contrebalançait avec la loquacité de Leanne, et Vanille trouvait que les deux filles se complétaient parfaitement, ce que l’une pensait, l’autre le disait. Ce que l’une n’arrivait pas à exprimer, l’autre l’expliquait. Et au milieu, Vanille, à qui elles reprochaient de trop se prendre la tête, et de toujours être dans ses pensées.
Dans leur dortoir, il y avait également deux autres filles, avec qui elles ne s’entendaient pas spécialement bien.



Leanne lança un nouveau coup de coude dans les côtes de Vanille (plus par habitude que par reproche), qui sursauta. Elle avait manqué la moitié de la répartition.

- Miwenlead, Jean ! s'écriait la directrice Roy, le sourire aux oreilles.

La perspective de répartir les seconde année semblait la mettre en joie, comme tous les ans. Une fillette s'avança vers le Choixpeau, qui prit tout son temps pour réfléchir. Vanille se demanda comment toute la salle pouvait rester attentif à ce genre de cérémonie interminable. Après tout ils verraient bien les nouvelles têtes qui se répartiraient à leur table pendant toute l'année. Son regard se perdit une nouvelle fois dans les méandres des bougies, et elle partit une nouvelle fois dans ses rêveries.


Vanille entrait en cinquième année. Elle était certaine que pour ses professeurs, cela n'aurait qu'une seule signification : BUSEs. Ils la surchargeraient sûrement de travail, mais cette perspective ne l'effrayait pas. Même si en cours, l'attention de Vanille laissait à désirer, pendant les heures de révisions, au contraire, rien ne pouvait la faire sortir de ses cours. Elle s’était découvert une soif de rendre le meilleur d'elle-même, soif d'apprendre toutes les facettes possibles de la magie. Elle préférait néanmoins de loin découvrir toutes ces choses par elle-même, dans les livres de cours ou de la bibliothèque. Les professeurs ne lui tenaient plus rigueur de son manque d'attention en cours, puisqu'ils avaient compris au fil du temps que son travail personnel était plus appliqué que son attitude.

Vanille aimait la magie. Sous toutes ses formes, les potions, les enchantements, la métamorphose... Et même les créatures magiques, la divination et l'histoire de la magie. Elle avait très vite pris conscience de la chance qu'elle avait d'être née sorcière dans un monde de moldus. Comme tous les enfants dans son cas, elle avait été émerveillée par les possibilités qu'offrait sa nouvelle vie, et avait voulu en tirer le maximum, mais beaucoup d'entre eux s'étaient habitués à cet univers. Pas Vanille. Et même si le monde magique pouvait aussi traverser des crises et des guerres, les sorciers étaient dans de bien meilleures conditions que les moldus, elle essayait de toujours se souvenir de cela. Elle se considérait chanceuse. Après tout, personne dans sa famille n'était sorcier.



Vanille releva la tête pour compter les nouveaux restants. Tandis que son regard fouillait l'extrémité de la grande salle, elle se sentit soudain mal. Autour d'elle, six, sept visages la fixaient. Elle tenta de les ignorer, mais partout où elle regardait, une paire d’yeux était braquée sur elle.

Un coup de coude de Leanne la sortit de sa torpeur, et les regards disparurent.

- Tu as tout manqué, encore une fois !

Vanille balbutia, choquée. Elle essaya de mettre des mots sur ce qu'il s'était passé pour en parler avec Leanne, mais celle-ci avait commencé à manger en discutant autour d'elle.


Le reste de la soirée se déroula dans l'opulence et l'allégresse commune à ces festins de débuts d'année, Leanne abreuvant son entourage de ses histoires de vacances, Ambre offrant son silence et son calme, et Vanille, pour ne rien changer, était plongée dans ses pensées, quand elle ne renversait pas de pichet d'eau ou de bol de sauce sur ses camarade par pure maladresse.
End Notes:
Eh bien eh bien. C'était long et fastueux non ?
Héhé. La suite sera un peu plus vivante, promis juré !
Merci d'avoir lu ! N'oubliez pas la review des familles qui fait toujours plaisir (même pour écrire "sympa" ou "fait gaffe à ceci-cela", ça fait toujours plaiz' maggle!)
Pluie de bisous. (Vous en aurez des pluies de ce genre avec moi.) A la prochaine !
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