All I Crave is a Norma Life
Tout ce que je désire est une vie normale
Chapitre 1
« Miss White, si ça ne vous dérange pas, voudriez-vous me donner un coup de main par ici s’il vous plait ? » Lui demanda le jeune chimiste. « Oui, bien sûr. » A vingt cinq ans, le jeune chimiste n’était pas ce que vous appelleriez un homme qui se remarque. Il était plutôt attirant mais ça ne l’intéressait pas vraiment. C’était une chose dont il était vraiment reconnaissant. Il avait des cheveux châtains foncé ébouriffés, il était mince mais avait une puissante musculature. Il aurait pu être n’importe qui. Mais une chose était absolument remarquable chez lui, ses yeux. Ils étaient vert profond et leur nuance s’éclaircissait ou s’obscurcissait selon son humeur. Peu de personne savait qu’il avait une cicatrice en forme d’éclair sur son front parce qu’il gardait les cheveux suffisamment longs pour la cacher.
Des choses étranges semblaient arriver quand il était dans les environs. Comme maintenant par exemple : sa jeune assistante avait l’impression que les différents objets dont il aurait besoin pour mélanger les ingrédients d’un médicament s’étaient soudain déplacés de leurs différentes places pour s’installer sur son bureau de travail dès qu’elle avait eu le dos tourné. Elle aurait juré qu’ils n’y étaient pas quelques secondes plus tôt. Elle aurait aussi pu jurer l’avoir entendu murmurer quelque chose comme « fasciné » ou « venez », mais une fois de plus, elle ne pouvait pas en avoir la certitude. Elle décida qu’elle avait un besoin immédiat de café. Un café fort. « Pourquoi m’a-t-il appelé s’il n’a pas besoin de moi ? Typique de ces maudits males ! »
Le jeune chimiste est réellement un extraordinaire jeune homme. Vous voyez, c’est Harry Potter et tout ceux qui connaissent son nom, connaissent aussi son histoire. Mais Harry aurait préféré que ce ne soit pas le cas. Il avait l’impression d’être un spécimen de musée dès que les gens parlaient de lui, le dévisageaient et surtout regardaient la cicatrice sur son front.
Harry n’avait pas compris à quel point il était important pour la communauté sorcière avant la fin de sa cinquième année à Poudlard et la mort de Sirius Black, son parain. Une prophétie le désignait comme la seule personne capable de tuer Voldemort, le plus ténébreux des sorciers. Harry était destiné à tuer Voldemort ou à être tué par lui.
On lui avait interdit de retourner chez sa tante et son oncle à la fin de sa cinquième année. A la place, il reçut un intense et sévère entraînement pour le préparer à la bataille à venir. Harry pensait que c’était plus qu’un peu injuste. Il ne voulait pas être le sauveur du monde sorcier. Selon lui, le monde sorcier ne pouvait pas avoir choisi de héros plus inapproprié.
Il était énormément maladroit (il faisait tomber sa maudite baguette et Ron trébuchait dessus !) et avait une très mauvaise vue. Il ne voulait pas penser à ce qui ce serait passé si ses lunettes étaient tombées pendant la bataille. La moitié de sa chance résidait là. Il ne pensait pas meubler excessivement le département de recherches avec son intelligence (c’était une bonne chose qu’il soit ami avec Hermione, alors). Par contre, il concédait qu’il avait beaucoup de pouvoir. Il ajoutait aussi que ça ne servait à rien s’il ne pouvait pas l’utiliser correctement. D’où l’entraînement.
Il avait passé trois ans à ne rien faire d’autre que s’entraîner. Il s’était entraîné physiquement pour développer son corps. Il avait étudié jusqu’à ce que ses yeux sortent de ses orbites. Il avait étudié les sorts, la défense, l’histoire…etc. A la fin de son entraînement il comprenait beaucoup mieux l’origine et les dérivés de certains styles de combats et avait même développé quelques sorts intéressants. Il avait aussi appris différents styles de défense : les duels sorciers, les duels moldus, les combats de rue, les arts martiaux. Ajouter à cela, il avait été entraîné à se servir de différentes armes. Après tout, un sorcier n’est pas très bon s’il laisse tomber sa baguette. Son arme de choix était un petit revolver 0,45, et il était aussi doué avec un fusil. Peut être que l’une des leçons les plus importantes qu’il ait apprise fut l’utilisation et la concentration de ses désirs sans baguette.
Apparemment une baguette était utilisée pour concentrer le désir du sorcier. Ce qui signifie que le sorcier devrait être capable de concentrer sa volonté sans baguette, même si tous les sorciers doivent admettre que c’est très difficile. Peu étant capable de le faire. Au contraire, Harry maîtrisait ce type de sorcellerie. Il préférait s’en remettre à sa baguette quand il voulait se servir de sorts simples comme le saucisson ou les jambes flageolantes. Il préférait ne pas s’en servir pour d’autres choses comme faire venir les objets ou des personnes, ( il avait fait cette expérience intéressante pendant son entraînement et elle lui avait valu de nombreux tours de terrain en guise de punition) ou faire des choses aussi usuelles que réchauffer ses couvertures la nuit.
Harry était devenu un homme dangereux à la fin de son entraînement aux mains des aurors du ministère (seulement ceux en qui Dumbledore avait confiance, bien sûr. Après tout, ils étaient en guerre et la loyauté de tous ne pouvait être assurée), des divers militaires moldus et des spécialistes d’armes qui avaient été amenés simplement dans ce but. Ses réflexes étaient aussi rapides que la lumière et ses pouvoirs et son agilité étaient incroyables. Malheureusement d’un certain côté, Harry s’était senti plus mal. Il ne pouvait pas s’harmoniser avec le jeune monsieur Potter. Il était après tout Celui qui a Survécu. Il y avait de grandes chances qu’il soit devenu, le sorcier vivant le plus puissant. Ses pouvoirs avaient même toujours été supérieurs à ceux de Dumbledore. Non seulement il était né puissant mais en plus, Voldemort lui avait transféré certains de ses pouvoirs quand il avait essayé de le tuer la première fois, à l’âge de quinze mois. Il avait maintenant un tel niveau de contrôle sur ses pouvoirs, il était…surprenant. Et il était destiné à être isolé de tous les autres, pour le restant de sa vie. Son plus grand souhait était d’être normal. Vous savez, Jo, celui sur qui personne ne se retournerait deux fois.
La guerre avait continué en son absence et beaucoup de pertes avaient été à déplorer, des deux côtés. La confrontation finale avait été planifiée. Voldemort s’était arrangé pour que le professeur Snape kidnappe Harry et le lui amène pour qu’il puisse le tuer une fois pour toute. Cependant, le plan de Voldemort s’effondra. Le professeur Snape, espion parmi les espions, avait informé Dumbledore immédiatement du plan et des arrangements avait été prévus pour une meilleure chance de survie. Harry avait été emmené à Voldemort. Les membres de l’Ordre avaient alors transplané dans son repère et s’était occupé de tuer les mangemorts et les partisans du Seigneur des Ténèbres. Harry avait ainsi été libre de s’occuper de Voldemort. Et il le fit. Spectaculairement. La bataille finale entre Voldemort et lui avait été atroce. Elle avait été sanglante et violente. Il semblait pourtant, qu’à un certain moment, Harry avait perdu. Vous voyez, en dépit de sa puissance et de son entraînement Harry était encore un jeune homme et il se sentait affreusement coupable et honteux quand il devait tuer des gens. Il avait tué de nombreuses fois : des mangemorts et des espions. Mais il ne s’habituerait jamais à tuer et il ne le voulait pas. Voldemort et Harry se faisaient face, épuisés, sanglants, et tous les deux savaient que le premier à commettre une erreur, à ce stade, mourrait. La plus grosse erreur de Voldemort fut d’insulter les parents d’Harry.
« Potter, sais-tu que j’ai pris tes parents avant de les tuer ? J’ai violé leurs jeunes et beaux corps. Je les ai brisés avant de les tuer. »
Harry vit rouge et tua Voldemort avec un sort qu’il avait lui-même développé. Une combinaison entre l’Avada Kedavra et un sort qui mange la personne de l’intérieur. La fin de Voldemort avait été violente et brutale. Mais la guerre était finie. Harry avait été emmené à Ste Mangouste pour être soigné et ce fut la dernière fois qu’on le vit dans le monde sorcier. Une minute il était là et la suivante, quand l’infirmière revint, il était parti. Disparu.
Albus Dumbledore fut prévenu immédiatement. Minerva raconta qu’à la suite de cela, il avait été incapable de parler pendant dix bonnes minutes et les seuls mots qu’il prononça alors, plusieurs heures après furent, « oh Harry je suis désolé. »
Personne ne savait qu’Harry avait fuit le monde sorcier pour commencer une nouvelle vie dans le Londres moldu. Il s’était réveillé à Sainte Mangouste, s’était soigné lui-même comme il l’avait pu (mais pas suffisamment) et avait quitté ce monde qu’il avait à la fois aimé et détesté. Il avait prévu son escapade depuis quelques temps déjà et avait vidé le compte d’ « Harry Potter ». Il en avait ouvert un autre au nom de « Jason Green ». A l’insu de qui que ce soit, il avait passé quelques temps en Angleterre moldue et avait officiellement changé son nom en Jason Green, dans un petit village. Il avait simplement utilisé un charme de dissimulation pour modifier son apparence et était ensuite allé à Gringotts pour retirer suffisamment d’argent sur son compte pour le convertir en argent moldu et sortir du monde sorcier sans avoir l’intention d’y revenir.
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Harry tourna la clef dans la serrure de son appartement et entra chez lui.
« Jason, je suis à la cuisine. »
« Mmm, ça sent bon. » Répondit-il en encerclant ses bas autour de son partenaire et en déposant de petits baisers le long de son cou. Harry posa sa tête sur l’épaule de son amant et le regarda ajouter les dernières touches pour que leur dîner soit prêt. C’était des petites choses comme celles-ci qui le rendaient heureux et ce sentiment de bonheur faisait vibrer son cœur.
« Toi, d’un autre côté, tu sens comme un homme couvert de sueur qui a passé sa journée dans une pharmacie ! Allez, vas sous la douche ! » Cria Greg. Il écarta Harry de lui et lui désigna le chemin de la salle de bain.
En riant, Harry lui répondit, « Presque, je suis un homme qui a passé toute la journée à la pharmacie et qui a ensuite passé une heure dans un gymnase. Mais dix points pour avoir été aussi proche. Tu peux me rejoindre, si tu veux. » Harry remua les sourcils de manière suggestive.
« Aussi tentant que cela soit, je pense rester avec le dîner. Nous ne mangerons jamais si je saute là dedans avec toi. »
« Comment sais-tu que je ne veux pas simplement que tu me laves le dos ? »
« Tu m’as dit un jour, que tes bras avaient été cassés et déboîtés si souvent que tu n’as besoin de personne pour te laver le dos. Tes bras sont si déformés que tu peux les bouger dans des angles bizarres. Essaie une autre excuse, j’ai déjà entendu celle-ci. »
« Peux pas dire que je n’ai pas offert ! »
« Idiot. » Marmonna Greg pour lui-même. « Mais tu es mon idiot et je ne te voudrais pas autrement. »
Le dîner fut intime. Harry était un homme très privé et il chérissait le temps qu’il passait seul avec son amant et partenaire. Il était un excellent cuisinier, mais ne cuisinait pas souvent. Il en avait eu assez lorsqu’il vivait avec les Dursley. D’un autre côté, Greg adorait cuisiner. Il était chef dans un restaurant très chic du Londres moldu. En fait c’est là qu’ils se sont rencontrés. Sept ans plus tôt, Harry venait d’arriver dans le Londres moldu et commençait tout juste à s’installer dans son appartement. Il avait décidé de se faire plaisir et était allé dîner à Châteaux, restaurant renommé pour être très coûteux, pour sa délicieuse nourriture, son excellent service et l’intimité qu’il procurait à leurs clients pendant qu’ils mangeaient.
Harry avait passé la plus grande partie de sa vie dans la lumière des projecteurs et à cause de cela, il avait développé une agoraphobie. Ses crises étaient discrètes et il parvenait à les surmonter. Il n’aimait pas être au milieu d’une grande foule mais avait rarement des crises de panique, pas à moins qu’il ne se sente vraiment étouffé.
Le repas lui avait tant plu qu’il était allé complimenter le chef personnellement. Une grande amitié s’était développée et ils étaient rapidement devenus amants puis partenaires. Greg considérerait comme insultant qu’Harry ne le laisse pas cuisiner pour eux tous les soirs.
« J’ai une surprise pour toi. En fait, c’est autant pour moi que pour toi, mais c’est plus pour toi que pour moi. Du moins je pense que… »
« Greg, je n’ai absolument aucune idée de ce que tu as dit après, ‘j’ai une surprise pour toi’, mais continue. Je suis sûr que je vais bientôt comprendre. » Harry adorait la manière dont Greg parlait quand il était passionné. En général, il devait attendre que Greg ait terminé pour poser une question bien précise et comprendre ce qu’il voulait dire. Mais c’était hilarant.
« Donc, j’y suis allé et je nous ai réservé une chambre dans un hôtel pour deux nuits. N’est-ce pas fantastique ? »
Les coins de la bouche d’Harry se relevèrent et il supprima le rire qu’il sentait venir au fond de sa poitrine. C’était le jeu ‘ lâche-lui des miettes et regarde en combien de temps il les attrapera’. Ils y jouaient tous les jours. « Greg, c’est génial, mais pour quand as-tu prévu ces vacances ? »
« Ne te l’ai-je pas dit ? »
« Non- non, tu ne l’as pas fait. »
« Ce week-end. Nous en parlons depuis des lustres. »
« En fait, c’est la première fois que j’en entends parlé. Tu as dû en parler longtemps avec toi-même. »
« Oh, tu es libre ce week-end, hein ? »
« Bien sûr, et même si ça n’avait pas été le cas, je me serais rendu disponible rien que pour toi. »
Greg rougit, sourit et sentit les battements de son cœur battre au rythme de l’amour qu’il ressentait pour Jason. Il était parfait pour lui. Cœur léger, suffisamment d’humour pour accepter ses excentricités mais passionné et sérieux dans l’amour qu’il lui portait. « Tu sais, je veux juste t’emmener là haut tout à l’heure. »
« J’espère bien. Donc tu ne m’as pas dit où se trouve l’hôtel. »
Il rêvait de ce qu’il avait prévu de faire un peu plus tard dans la soirée à Jason, mais se détourna de ses pensées pour lui répondre, « Les Hautes Terres, en Ecosse. »
« Tu dois être un peu plus précis que cela, chéri. L’Ecosse est un grand pays. »
« J’ai une carte, je te montrerai où ça se situe tout à l’heure. Que dirais-tu de faire la vaisselle ce soir, ainsi nous pourrons nous coucher tôt. Ou pas si tôt. Je vais prendre une douche et ensuite j’ai quelques plans très intéressants, M. Green… »
Tous ces plans pour rien. Quand Greg sortit de la douche, Harry dormait de son côté du lit. Bras et jambes étalés dans toutes les directions comme s’il s’était endormi en touchant le lit. « Pauvre petit biquet. Je te laisse pour ce soir, mais ne pense pas t’en sortir aussi facilement la prochaine fois. » Greg déposa un léger baiser sur la tempe de Harry et monta dans leur lit. Harry ne remua pas. Greg se cala derrière lui, enveloppa son bras autour de la poitrine d’Harry et blottit son nez dans son cou, plaçant de petits baisers sur sa nuque avant de s’endormir.
Pendant ce temps, Harry était en Enfer. Des sorts jaillissaient de partout autour de lui. Il y avait du sang, tant de sang, les gémissements des blessés et des mourants furent plus qu’il ne pouvait en supporter. Tout était teinté de rouge. Sa cicatrice saignait, le sang lui coulait dans les yeux, qu’il ne pouvait détacher du mauvais sorcier devant lui.
« Potter, sais-tu que j’ai pris tes parents avant de les tuer ? Oui Potter, j’ai violé leurs beaux et jeunes corps. Je les ai brisés avant de les tuer. »
« NOOOOOOONNNN ! »
« Jason ! Jason, sors de là. Réveille-toi ! Réveille-toi ! » Greg secouait Harry aussi fort qu’il le pouvait. « Pas encore. » Pensa-t-il. Comment une seule personne peut-elle avoir autant de cauchemars ? Qu’as-tu vu ? Plus silencieusement, il pensa pour lui-même Pourquoi ne peut-il pas m’en parler ? Il mit ses pensées dans un coin de son esprit et se dépêcha d’aller dans la salle de bain pour remplir une carafe d’eau. Il retourna dans leur chambre et renversa l’eau froide sur Harry qui se réveilla en bafouillant et en tremblant. Greg avait appris depuis longtemps que c’était le seul moyen de le réveiller quand il avait un de ses cauchemars. Jason n’en parlait jamais et Greg ne le poussait pas. Le cauchemar semblait si atroce que Greg pensait qu’en parler ou les revivre ne devait pas être facile. S’il voulait en parler, il serait là. Sinon, il serait toujours là pour le soutenir et le réconforter.
« Oh mon Dieu, Oh mon Dieu, Oh mon Dieu, Oh mon Dieu » pleura Harry en entourant ses bras autour de lui. Il se balança d’avant en arrière sur le lit. Greg posa la carafe, sauta sur le lit pour s’asseoir à côté d’Harry et l’enlacer.
« Shhhhhh, ça va aller. Tu es avec moi, chéri. Je ne te laisserai pas partir. »Harry continua à pleurer. Son corps était secoué de spasmes. Greg le berça jusqu’à ce qu’il ait fini de pleurer et sombre dans un sommeil épuisé. « Qu’as-tu vu mon amour ? Qu’est-ce qui peut être si affreux ? Je ne te laisserai pas, chéri. Ne t’inquiètes pas… »
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Il était 5h30 quand Harry se réveilla avec des coups dans la tête. Une migraine. Il s’assit, son amant le tenait dans ses bras. « Mon héros. » Murmura-t-il. « Toujours à me sauver de moi-même. » Il se détacha des bras de Greg qui remua. Il plaça un long baiser sur les lèvres de Greg. « Bonjour Soleil de ma vie. » Greg ouvrit les yeux et cligna des paupières, fatigué. Mes aïeux. Son dos et son cou étaient douloureux. Il ne s’en plaindrait pas. Il endurerait tout cela et bien plus pour l’homme qui était dans ses bras.
« Hé sexy » Murmura-t-il à Harry.
« Merci, mon amour. Je suis désolé. »
« Ne le sois pas. Tu n’y peux rien. On ne commande pas les cauchemars, tu sais. Allez viens. » Il prit des comprimés d’asprine sur la table de nuit et les lui tendit avec un verre d’eau. Harry les avala et s’installa dans les bras de Greg, « Je t’aime tant. Que ferais-je sans toi ? »
« Dors simplement, homme fatigué. Je serai là quand tu te réveilleras. »
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« Jason, je sors rapidement et je rapporte du lait. Je serai revenu dans dix minutes. »
« Mmm » Répondit Harry endormi.
C’est un peu plus tard qu’il fut réveillé par des coups frappés à la porte de leur appartement. « Greg, il y a quelqu’un à la porte….Greg… »
Il n’est pas encore rentré ? Se demanda Harry.
Harry enfila rapidement une robe de chambre et se dirigea vers la porte. Il fut accueillit par deux sombres personnes, des policiers qui lui montrèrent leur badge.
« Excusez-nous Monsieur. Est-ce que M. Jason Green vit ici ? »
Oh, cher Dieu cria Harry dans sa tête. Un sentiment de terreur s’insinua en lui et lui noua l’estomac. Il regarda les deux officiers et répondit « Je suis Jason Green. Est-ce que je peux vous aider ? »
« Pouvons-nous entrer ? »
Note de chapitre:
Auteur : Cazgirl
Correctrice : AnthaRosa
Avertissement : Rien ne m’appartient, tout est à JK Rowlings et l’histoire à Cazgirl.
Rating : R
Voici le site de Catrina
http://groups.yahoo.com/group/caz
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Cette fiction contient pour l'instant 18 chapitres (en cours).
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