
Chapitre 1 : Les lettres
Il y avait probablement qu’un seul garçon à des kilomètres à la ronde qui tenait dans sa main une lettre qui avait été envoyée par hibou. Ce garçon, ce La guerre de l’éternité sorcier, était Harry Potter et la lettre encore fermée qu’il avait provenait de Hermione Granger sa meilleure amie. Un battement d’ailes se fît entendre. Le hibou de Ron, son meilleur ami, Coq, venait d’entrer dans la chambre. Harry remarqua que Coq tenait un papier, une lettre. Harry l’ouvrit.
Cher Harry,
Toute ma famille te souhaite une bonne fête et moi aussi.
J’ai très hâte de te revoir, ton ami Ron
Harry fût prit d’une colère contre son ami le fait qu’il lui dise qu’il ne pourra venir chez lui ne le dérangeait pas autant que le fait qu’il lui rappelle qu’il était Prit au 4 Privet Drive avec ses rêves, les rêves qu’il faisait étaient toute pareille, il voyait toujours le combat qu’il avait fait, il y a quelques mois de ça, ce combat qui a causé la mort de son parrain, Sirius Black qu’il aimait tant mais depuis 3 jours il ne rêvait plus de Sirius, mais bien de son amie, ils étaient tous les 2 près du lac de Poudlard et Harry lui tenait la main lui disant qu’il l’aimais énormément, plus que tout et elle l’embrassait, ce rêve l’emplissait de bonheur mais Il ne pourrait jamais ce réaliser même si c’est ce qu’il espérait, Hermione n’était que son amie et juste son amie. Puis Harry prit la lettre d’Hermione que Hedwige lui avait emmenée et la lut espérant trouver réconfort.
Bonjour Harry,
Tu me manques…j’ai hâte de te revoir, Hermione
Harry était surpris par les mots écrit il en avait les larmes aux yeux, Hermione lui proposait de l’aider contrairement à Ron, il allait aller chez elle sans Ron et en plus il lui manquait mais il ne se faisait pas d’idée, puis Harry ouvrit le cadeau de son amie ce n’était pas un livre comme il le croyait, c’était un collier en H une note l’accompagnait : presse le collier contre ton cœur et tes plus beaux souvenirs reviendront p.s j’ai prit le collier de H pour Hermione mais sa marche aussi avec Harry. Hermione venait de lui écrire la plus belle lettre et la plus belle preuve d'amitié qu'il n'ait jamais reçue. Hermione le considérait au même plan que ses parents... Il était aux anges. Hermione s'inquiétait pour lui, Hermione lui avait promis d'être à ses côtés. Il ne voyait pas ce qui pouvait le rendre plus heureux, omis qu'elle partage ses sentiments pour lui. Mais il ne faisait pas d'illusion, pour elle, il était un ami ou peut-être le frère qu'elle n'avait jamais eu. Mais il était prêt à garder ses sentiments pour lui de peur de l'effrayer et de la perdre. Elle lui promettait son amitié et il s'en contenterait... Harry était tellement touché par la lettre d’Hermione qu’il décida de lui écrire il prit la plus belle plume qu’il avait et écrit sa lettre :
Chère Hermione,
Et merci encore, tu me manques aussi, Harry
Tacs! Tacs! Tacs, Hermione se réveilla, il était assez tard une ombre blanche sur un fond noir cognait avec son bec sur la vitre.
— Hedwige, te voilà !
Elle ouvrit la fenêtre et y donna du miam-hibou avant de détacher la lettre de la patte. Elle pressa la lettre contre son cœur comme à chaque fois qu’elle recevait une lettre d’Harry. Puis lorsqu’elle eut fini de la lire, elle sanglotait non de tristesse mais de joie, elle était tellement heureuse de tous ces mots, ce qu’elle voulait c’était de soulager la peine d’Harry, lui faire du bien qu’il ne sente pas seul.
— Chérie, pourquoi pleures-tu? Hermione n’avait même pas remarqué que sa mère était entrée. Tu as fait un cauchemar? Elle s’assit sur le lit et enlaça Hermione dans ces bras. Ou c’est… Harris?
— Harry! Elle lui tendit la lettre. Lorsqu’elle eut fini, elle ré enlaça sa fille. Tu as eu ce que tu voulais, il veut te dire tous ces secrets, il veut que tu sois sa confidente.
— Oui et je lui manque mais regarde en lui pointant les mots ’’ je préférerai mourir que de savoir que tu es blessée par ma faute’’
— Il tient à toi… à quelle heure faut aller le chercher?
— Faut être là-bas à 4h.
— Quoi!! 4h!!! On est mieux de se préparer immédiatement.
Hermione avait annoncé à sa mère ses sentiments pour lui, sa mère comprenait.
Il a tellement souffert, il n’avait pas besoin de perde Sirius en plus, déjà qu’il avait perdu ses parents le suffisait grandement mais pour compliqués les choses les gens le dévisageait, le regardait comme un monstre et en plus les Dursley le maltraitait. Toutes personnes avaient essayé de prendre un peu de la culpabilité d’Harry pour qu’il se sente mieux mais sa n’avait presque rien fait. Mais Hermione n’était pas stupide elle connaissait Harry mieux que personne elle le savait qu’il souffrait, elle le savait qu’il avait besoin d’aide et elle sait ce qu’il a besoin, il a besoin de ce que Voldemort n’a jamais eu n’aura probablement jamais, l’amour et elle voulait être celle qui lui donnera. Elle ne l’a jamais nié mais personne ne lui avait posé la question non plus; Elle aimait Harry. Et elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour l’aidé, elle lui avait promit et lui aussi…
Le lendemain, à 3h45, Harry descendit ses bagages en silence jusqu’à la porte. Rendu sur le perron, il ouvrit un livre sur le quidditch à travers les âges qu’Hermione lui avait donnés, il y a quelques années de sa mais intrigué par le collier, il décida de le détaché et de le presser contre son cœur. Il revoyait Hermione en première année lui dire qu’il était merveilleux, il voyait sa mère et son père, il voyait lui et Ron mangeant des bonbons, son premier vol en balai, sa lui faisait énormément de bien puis, il voyait le merveilleux visage d’Hermione, il était tellement heureux des souvenirs qu’il voyait qu’il n’avait pas remarqué qu’il souriait à pleine dent.
— Harry!! Réveille-toi S’exclama une jeune fille aux cheveux châtains
— Hermione tu m’as fait peur, j’étais tellement bien, merci beaucoup pour ton collier ça fait du bien, merci.
Il se leva et Hermione enlaça Harry, qui lui senti l’odeur délicate de vanille d’Hermione, il adorait! Il était dans un rêve, comme s’il avait encore le collier d’Hermione contre son cœur. Lorsqu’Hermione ôta ces bras Harry se rendit compte qu’il tenait fermement les haches de celle-ci et l’attira vers lui comme pour l’embrasser mais il relâcha son emprise de peur d’éveiller des soupçons après tout Hermione n’était qu’une amie, simplement une amie cela lui faisait du mal à chaque fois qu’il pensait ça. Pourrait-elle être plus?
— Sa va? Demanda-t-elle, ne soit pas triste sa va aller
— Oui, sa va ne t’en fait pas pour moi et toi
— Ô qu’oui! Bon tu m’aides à embarquer tes bagages ou je le fais tout seul mais vite mes parents attendent.
Hermione sortit de la voiture voyant les yeux fermés et le grand sourire d’Harry pressant son cadeau contre son cœur, ce qu’elle voulait c’est qu’il mette quelque chose d’elle sur son cœur. Elle le regardait et elle était heureuse surtout à cause de la lettre qui lui avait envoyé et aussi de la promesse qu’il lui avait faite mais aussi elle était contente, car selon la lettre d’Harry elle était devenue sa confidente, Harry lui dirait tous ses secrets.. Elle ne voulait pas le réveiller mais ils étaient pressés.
— Harry!!! Réveille-toi S’exclama-t-elle
— Hermione tu m’as fait peur, j’étais tellement bien, merci beaucoup pour ton collier ça fait du bien, merci.
Harry se leva et Hermione ne pouvant plus résister, elle l’enlaça très doucement. Elle aurait aimé rester pendant toute sa vie dans ces bras se fut trop court à son goût. Harry avait ses mains sur ses haches et il s’avançait vers elle. Il va m’embrasser, il va m’embrasser!!!! Pensa-t-elle à non, non pas devant mes parents, non ne fait rien. Il ne fait rien même pas un signe qui pourrait le ressembler sauf qu’il m’a emmené vers lui que voulait-il? Me regarder de plus près? À zut! Bizarre, ne te fait pas d’idée Hermione, il n’est qu’un ami. Pourrait-il être plus?
Harry prit ses valises et les mit facilement dans la valise de la Mercedes il regarda la cage d’Hedwige et la valise. Harry et Hermione entrèrent dans la Mercedes grise.
— Bonjour, ummmmm… quel est ton nom? Demanda m Granger.
— Harry. Répondit celui-ci
— Passer de bonnes vacances, Harry? Demanda mme Granger
— Non, effroyable comme d’habitude.
— Pauvre de toi, chérie, tu me diras la prochaine fois d’inviter Harry pendant tout l’été. Dit mme Granger à Hermione.
— D’accord. Elle sourit à cette idée.
— Merci pour ta lettre Harry et ta promesse aussi.
— Ce n’est absolument rien comparer à la tienne, vraiment je te jure.
Le reste du voyage se passa en silence. Harry en était même gêner. Il avait essayé d’engager la conversation avec son amie mais lorsqu’il se tourna le soleil découpait parfaitement Hermione ce qui le rendait encore plus gêner devant son amie. Hermione ressemblait à un ange. Il regarda son amie le temps que la voiture tourne et que le soleil arrête cette merveilleuse illusion. La voiture ralentissa, Harry découvrit une maison de quatre étages, une piscine avec une fontaine qui laissait échapper ses eaux de manière à former un cœur parfait et un petite remise servant probablement à un jardinier, décidément les Granger étaient riches.
Ils débarquèrent de la voiture. Immédiatement, Hermione empoigna la main de Harry et l’emmena dans la maison.
— Tu veux que je te fasse visiter. Demanda-t-elle
Avant qu’il ne réponde, elle l’emmena dans l’immense salon, une t.v. qui recouvrais la moitié du mur, un énorme divan et plein d’objet divers était dans cette pièce. Puis elle l’emmena dans une pièce où il y avait une piscine avec une statue d’un homme qui pense, les jambes croiser. La pièce avec la piscine avec 2 murs de fenêtres était resplendissante. Après une demi-heure elle l’emmena Harry dans la dernière pièce, l’endroit où il va dormir.
— Comment trouves-tu ma maison ?
— Merveilleuse! Dit-il, comme toi dit-il tout bas pour ne pas qu’il l’entende mais elle avait entendu car elle rougissait.
— Bon je te laisse. Elle se retourna et se dirigea vers la porte.
— Eummmmm, Hermione!
— Oui! ? Elle se retourna en envoyant ses cheveux vers l’arrière les yeux brillant. Harry était trop gêner pour dire ce qu’il voulait lui dire et elle ne partageait surement pas les mêmes sentiments que lui.
— Euh! ...Il rougit. Merci d’être là, mais sa ne sert à rien JE suis la cause de la mort de Sirius. Si au moins je t’aurais écouté. Elle s’avança et s’assit à côté de lui sur le lit en le regardant dans ses yeux vert émeraude elle dit :
— Ce n’est pas de ta faute, Harry c’est celle de Bellatrix Lestranges et cela n’aurait rien changé si tu m’aurais écouté. On regrette tous ce qui c’est passer, c’est sûr. Ne t’en fait pas. Si jamais tu as besoin d’aide n’hésite surtout pas, tu n’es pas seul il y aura toujours quelqu’un pour toi. Si ce n’est pas moi, sa sera quelqu’un d’autre.
— Merci tu trouves toujours les mots justes et là, la personne c’est toi. Il l’enlaça. Tenir Hermione dans ses bras et le sentir répondre à son étreinte furent la meilleure expérience de la courte vie de Harry. Il savourait chaque instant. Il aurait tant aimé que sa dure des mois, il aurait aimé lui avouer son amour, mais il a oublié cette possibilité il y a des ans.
Des larmes coulèrent sur leurs joues, Harry lâcha Hermione, et ce retourna de bord. Il ne faut pas qu’elle me voie pensa-t-il même si elle aussi avait des larmes.
— Harry tu n’as pas besoin de te cacher, il n’y a que nous deux ici. Il essuya ces larmes et la regarda dans les yeux, il essuya avec son pouce les larmes d’Hermione elle l’enlaça à nouveau. Elle n’est qu’une amie une simple amie. Ne te fait pas d’illusion.
— Merci beaucoup, Hermione… tu es une vraie amie…je te remercie
— Pourquoi est-ce que tu me remercie, Harry?
— Parce-que tu es là et que tu me rends heureux comme dans ta promesse…tu es ma meilleure amie et tu es une vraie amie et j’aimerais que tu sois ma confidente, Hermione, je te dirai tous mes secrets, j’aimerais que sa soit toi car je ne crois pas qu’il existe une personne qui me comprend et qui m’aide mieux que toi, cela ne peut exister et je crois que sans toi je m’aurai déjà mis au dos toutes les personnes de Poudlard. Hermione déversa un nouveau flot de larmes.
— Pourquoi pleures-tu ?
— La dernière fois que quelqu’un m'a dit ça, il était sarcastique. Je serai ravi de d’aider encore plus que maintenant, je serai ta confidente et ne dirai aucun de tes secrets, si tu savais combien durant l’été, je me suis soucier de toi, j’avais peur que tu fasses des bêtises et qu’on ne te reverrait plus jamais… Puis elle se leva
— Si tu as besoin de quelque chose tu m’appelles. Dit-elle en se reprenant
— Merci
— Si tu as faim tu m’appelles, ne te gênes pas.
— Oui ok, Hermione
— Et si tu as…
— OUI! Merci j’ai comprit !
Elle sourit et ferma la porte. Il s’étendit sur son lit et ferma les yeux..
Il éprouvait un sentiment de grand bonheur il ne s’était jamais senti aussi bien de sa vie aucun moment qu’il avait déjà vécu le rendait aussi heureux. Il ne voyait rien il n’entendait rien mais il éprouvait des sentiments très forts. Puis, tout changea, il voyait Voldemort, son ennemie mortel, qui tenant Hermione par le cou avec son coude en l’étranglant, dans sa main il y avait un poignard qui était sou le cou d’Hermione une coulée de sang descendait sur son chandail.
— Harry cria-t-elle
— Harry!
— Harry!!!
— HARRY!!!!
— HERMIONE!!!!!!!!!!!!
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