Oyez! Oyez! Bonnes gens, jeunes damoiselles et damoiseaux, vous entrez désormais dans un monde totalement déluré (et drôle, faut quand même le préciser, hein...).
Attention: Nous précison que cette fic n'est pas sans danger pour les allergiques aux crises de fous rires ;)
Fic co-écrite avec Elyndra
Un premier chapitre un peu court qui fait en quelque sorte office de prologue. Pas d'inquiétude, les prochains chapitres seront plus longs.
Bonne lecture
Harry Lover vivait chez sa tante et son oncle, car ses parents était morts, mais il ne savait pas pourquoi, on ne lui avait jamais dit.
Harry Lover était un garçon de onze ans terriblement séduisant (enfin pour un gosse). Son oncle nommé Vérue, au contraire, ressemblait aux photo "avant" des brochures de régimes, et sa tante Pédoncule aurait pu être plus belle même si un train lui avait roulé dessus. D'ailleurs, Harry soupçonnait Vérue d'avoir essayé une ou deux fois. Ils avait eu un fils, Dud-laid, et même sans le décrire vous pouvez savoir qu'avec de pareils ascendants, il n'avait guère plus de charme qu'une brouette .
Harry était très complexé par sa beauté. Son oncle et sa tante lui lançaient toujours des remarques du genre:" eh beau gosse" ou "on a toujours été moche dans ma famille, tu nous fait honte". Ils essayaient aussi d'empêcher ses cheveux d'être soyeux et brillants en le privant de shampoing, mais rien n'y faisait . Ils l'enfermaient alors dans la placard à balais en espérant que son teint perdrait son léger hâle ou que des araignées le piqueraient et le défigureraient. Et donc, dans tout cela, Harry était très malheureux .
Mais un jour d'août, tout changea . Les Dumoche mangeaient tranquillement du poisson fumé à la salade avec un sauce pleine de vitamines et d'oligo-éléments, pendant que Harry devait manger des frites double portion d'huile pour perdre sa ligne fine et svelte. Soudain des coups retentirent. La porte explosa alors tandis qu'un très grand et très moche homme se tenait dans l'encadrement. Il parla d'une voix rauque et dure:
- Suis-je chez Harry Lover?
Vérue parut surpris qu'un homme défonce sa porte sans s'excuser, mais de toute façon il allait la changer.
- Oui, et que lui voulez-vous? demanda Vérue
- Je dois lui annoncer une formidable nouvelle.
- Asseyez-vous donc pour manger, proposa Vérue en poussant une chaise
- Non merci, je me suis déjà sustenté. Harry, j'ai été mandé par le directeur de Poudlard, Dumberfleur,dit
"le vieux hippie", de te remettre cette lettre.
- Pour moi? demanda Harry qui n'avait jamais reçu de lettre. Mais qu'est-ce-que c'est Poudlard? Et vous qui êtes vous?
- Moi, je suis Hagrid, garde-meuble à Poudlard, l'école des séducteurs .
- Mais qu'est ce qu'un séducteur?
- Ce sont les personnes comme toi, Harry.
- Ca m'avance pas beaucoup, dit Harry
- Il existe dans notre monde, des personnes dotées d'une grande beauté et d'un grand charisme et dont le but est de rendre folle un grand nombre de femmes. Le plus grand séducteur est Lord Voldamour, ou comme on l'appelle plus communément " Celui-qui-est-toujours-fertile ", ou alors dans un langage plus élaboré " Celui-dont-la-fertilité-n'est-plus-à-prouver".
- Et c'est quoi comme métier, garde-meuble? questionna Harry
- Cela veut dire que mon personnage n'a aucune autre fonction que de t'annoncer qui tu étais ou de meubler des moments où l'auteur n'aura plus d'imagination.
- Et c'est...
- Ah, coupa Hagrid en regardant sa montre, je dois partir. Tiens, ceci est ta lettre où est indiqué tout ce que tu dois savoir. Je te retrouverai mardi prochain pour aller sur le Chemin de Traviole.
- Et c'est quoi le..., commença Harry, mais le géant était déjà parti en claquant la porte (ah non c'est vrai il n'y en a plus)
- Au revoir! dit Vérue à l'homme qu'il trouvait plutôt sympathique, sûrement parce qu'il était moche.
Harry se retourna vers sa famille qui mangeait toujours.
- Mais vous saviez que j'étais un séducteur?
- Bien sur, lui répondit Pédoncule, tes parents en étaient aussi.
- Alors pourquoi vous ne me l'avez-vous jamais dit?
- Parce qu'on ne voulait pas que tu sois comme eux, mais maintenant c'est trop tard pour t'en empêcher, surtout que c'est l'heure de manger, dit Vérue
Harry monta dans sa chambre (où plutôt alla dans son placard) pour lire sa lettre.