Au début je voulais faire une histoire interdit au moins de 18 ans mais je n'ai pas encore le talent nécessaire à l'écriture d'une telle histoire...
Bonne lecture et toutes critiques ou commentaires sont les bienvenues! ;)
Hermione courait pour sauver sa vie. Jamais elle n’aurait cru pouvoir courir aussi vite, aussi longtemps. La peur donnait des ailes. La peur et la douleur.
Derrière elle résonnaient les halètements rauques de plusieurs mangemorts lancés à sa poursuite. Elle sentit soudain la chaleur d’un sort sur le côté de son visage et dans une inspiration bruyante, essaya vainement d’accélérer sa course. Un autre sort passa cette fois si près qu’il déchira la manche de son pull et lui brûla le bras. Elle poussa un cri et trébucha. « Non non NON ».
Elle dévala la pente sur laquelle elle courait en roulé boulé mettant entre elle et ses poursuivants une distance bien plus importante qu’elle n’aurait pu le faire en courant. Un autre sort, mortel cette fois, la manqua de peu faisant exploser une motte de terre à quelques centimètres d’elle.
Le souffle coupé, Hermione se redressa et par réflexe voulut saisir sa baguette jusqu'à ce qu’elle se souvienne que celle-ci avait été cassée quelques heures ou quelques jours plus tôt, elle ne savait plus. Tout était trop embrouillé, elle n’arrivait plus à se rappeler exactement quand tout avait commencé. La bataille, les morts, les blessés… Harry ? Ron ? Ginny ? Et les autres ? Qu’étaient-ils devenus ? Ce n’était pas le moment d’y penser.
Elle se releva rapidement et reprit sa course en direction de la forêt interdite, elle espérait sans vraiment y croire que les mangemorts n’auraient pas envie de la suivre là-bas.
Rapidement, au fur et à mesure que la forêt se faisait plus dense et plus sombre, les bruits de la bataille s’éloignaient et elle n’entendit plus les mangemorts derrière elle. Convaincue d’être enfin seule, Hermione se laissa tomber à terre et se mit à trembler, elle n’arrivait plus à arrêter les tressautements de ses mains et de son corps. « C’est les nerfs » pensa-t-elle. « Je craque ».
Soudain un craquement retentit derrière elle et avec un sursaut d’énergie, elle se releva d’un bond et partit en courant droit devant elle. Elle n’avait pas fait trois mètres que soudain le sol s’effondra sous ses pas. Elle réussit à ne pas crier de surprise et observa l’endroit dans lequel elle était tombée, un trou, non une galerie, un souterrain ! D’un coup d’œil elle vérifia l’entrée du tunnel et vis que les fourrés, dans lesquels elle avait marché, recouvraient toujours l’entrée. Presque soulagée elle s’enfonça dans l’obscurité du souterrain secret.
Cette façon de perdre la notion du temps était alarmante. Depuis combien de temps marchait-elle dans le noir ? Elle n’en avait aucune idée. Elle se guidait en frôlant les parois du tunnel des deux mains. Quelque chose clochait mais elle n’arrivait pas à savoir quoi, en temps normal elle aurait trouvé mais avec la fatigue et la douleur son esprit devenait embrouillé.
Elle avait de plus en plus mal à son bras, le sort des mangemorts l’avait bien brulé et elle devait serrer les dents pour ne pas hurler de douleur. La respiration sifflante, Hermione eut soudain l’impression d’être ensevelie sous des tonnes et des tonnes de terre, les parois des murs se resserraient pour l’emprisonner l’étouffer.
Avec un sifflement de terreur, Hermione se mit à courir droit devant elle, les mains tendues afin de prévenir un éventuel obstacle, elle était peut-être dans un labyrinthe ? Un dédale de tunnels interminables et elle allait mourir là !
Alors que la panique allait avoir raison d’elle, Hermione percuta violemment une paroi et, folle de terreur, tâtonna à la recherche d’une porte, d’un mécanisme permettant de faire pivoter ce mur. A force de tâtonner elle finit par enfoncer une petite pierre qui se situait presque au niveau du sol.
Avec un raclement, le mur de pierre pivota lentement sur lui-même, révélant un autre souterrain éclairé par des torches. Elle sut alors que ce qu’elle trouvait étrange c’était l’absence de toiles d’araignées qui auraient dû encombrer le souterrain : quelqu’un était déjà passé ici avant elle, quelqu’un qui avait allumé les torches… Et si c’était un mangemort ?
Hermione regarda par-dessus son épaule, le souterrain était encore plus sombre par rapport au passage éclairé, on aurait dit une bouche géante prête à l’avaler. Avec un frisson de répulsion elle se détourna et avança dans le passage éclairé. Il montait en pente douce et formait une longue courbe si bien qu’Hermione se tenait constamment sur ses gardes, s’attendant à voir surgir un mangemort à chaques virages. «Mais ils doivent être loin maintenant » pensa-t-elle.
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Le souterrain s’arrêta soudain en cul de sac. Hermione posa les mains sur le mur, tâtonnant à la recherche d’un mécanisme comme la fois précédente mais lorsqu’elle leva la tête elle remarqua une trappe au plafond, elle n’avait qu’à lever les bras pour pouvoir l’ouvrir mais il allait falloir qu’elle se hisse à la force des bras.
Et si les mangemort étaient de l’autre côté ? Elle soupira, ce n’était plus le moment d’y penser, elle n’avait plus le choix.
Elle leva les bras et poussa violemment sur la trappe en bois affin de la faire basculer, ce qu’elle fit avec un claquement si bruyant qu’Hermione resta plusieurs secondes sans bouger, de peur d’avoir ameuté l’ennemi mais rien ne vint. Serrant les dents devant la douleur qui irradiait de son bras brulé elle s’agrippa des deux mains au rebord, espérant avoir assez de force pour se hisser au travers de l’ouverture.
-Un conseil, lâchez le rebord tout de suite ou je tire.
La voix, froide et calme, avait claqué avec détermination, faisant lâcher prise à Hermione. Elle grimaça de douleur et leva la tête, tenant son bras blessé serré contre elle.
La première chose qu’elle vit ce fut une baguette, menaçante, pointée directement sur elle, puis son regard remonta le long du bras qui tenait la baguette et elle se retrouva face à face avec un long visage pointu aux yeux bleus pâles qui la contemplait avec une stupeur pour le moins égale à la sienne.
-Malefoy ? Murmura-t-elle.
Cette fois elle était sûre de mourir, si Drago ne la tuait pas, il allait la conduire a Voldemort qui s’en ferait sans doute une joie.
-Granger ? Mais… Tu as été suivie ? demanda-t-il d’un air suspicieux en pointant cette fois sa baguette derrière elle en direction du souterrain.
Voyant que personne ne venait il tendit une main à Hermione qui la regarda interloquée.
-Bon, tu veux monter ou bien rester ici dans ce charmant endroit ? Railla-t-il.
Elle lui lança un regard suspicieux, puis lui saisit la main : elle aviserait plus tard. Drago la hissa aisément hors du trou puis referma la trappe derrière elle.
-Dis donc, tu es une fausse maigre toi.
Hermione recula aussitôt dans un coin de la pièce, dos au mur afin de ne pas se faire surprendre par d’éventuels attaquants, mais il n’y avait que Drago dans la pièce.
-Où sommes-nous ? Demanda-t-elle en observant les murs tapissé de la pièce, il y avait un canapé et un grand tapis vert par terre.
De l’humidité suintait des murs indiquant que la pièce se trouvait dans les sous-sols. Drago s’approcha d’elle mais s’arrêta face au regard qu’elle lui jeta.
-On est quelque part dans les cachots, fit-il. Je me suis réfugié ici en passant par le même chemin que toi mais j’ai celé la porte, personne ne peut entrer dans cette pièce.
Au loin, les bruits de la bataille étaient toujours présents mais étouffés par des tonnes de pierres, quelque fois les murs tremblaient légèrement sous le coup de violent assaut dirigé vers les tours du château.
-J’ai décidé de me terrer ici jusqu'à ce que la bataille soit finie, expliqua encore Drago. C’est... Heu, c’est moi qui est installé tout ça, ajouta-t-il en englobant la salle d’un grand geste du bras.
Hermione le fixa abasourdi.
-C’est ton camp qui gagne, gronda-t-elle. C’est Voldemort qui gagne… Pourquoi restes-tu ici ? Aurais-tu trop peur de te battre ? Même en étant sûr de ta victoire ?
Hermione serraient les poings, ignorant la douleur qui s’épanouissait dans son bras. Drago s’appuya contre le mur et croisa les bras, Hermione remarqua que ses cheveux étaient défait et pendaient devant ses yeux, son jean et son maillot avaient des trous aux bords brulés et de nombreuses coupures parsemaient ses mains et ses bras. Hermione se dit qu’elle ne devait pas être plus jolie à voir…
-Écoute Granger, commença Drago en ayant l’air de chercher ses mots. C’est vrai que je me suis caché ici, parce que je n’ai pas vraiment envie de me faire tuer… Mais je n’ai pas non plus envie de tuer. Tu vois ce que je veux dire ?
Hermione le regardait sans vraiment trop comprendre.
-Ce que je vois c’est que tu te comporte comme un lâche Malefoy…
Drago parut surprit.
-Comme un lâche ? Regarde-toi, que fais-tu ici ? Tu échappes à la bataille en restant là.
Hermione baissa la tête, elle avait honte, elle aurait voulut rester là haut, se battre, défendre sa vie et celle de ses amis, mais sans baguette c’était perdue d’avance et elle le savait.
-Ma baguette est cassée… Je ne peux plus rien faire…
Elle avait envie de pleurer, de dormir aussi, de se laisser aller et d’oublier mais ce n’était pas digne d’une Gryfondor, elle devait se battre, elle devait… Soudain elle eut une idée.
- Donne-moi ta baguette ! s’écria-t-elle en se tournant vers Drago main tendue. J’irais combattre moi ! Et n’essaie pas de m’en empêcher ! Menaça-t-elle.
Drago lui lança un rictus méprisant.
-Tu crois que je vais prêter ma baguette à une Sang-de-Bourbe ?
Hermione soupira devant l’insulte qu'elle choisit d'ignorer et Drago continua :
-Je te rappel aussi que pour que ma baguette marche avec toi tu dois me désarmer ! Avec une baguette.
Hermione eut soudain l’impression qu’un énorme poids lui tombait sur les épaules. Avec un gémissement sourd elle se laissa glisser contre le mur et s’assit. Où étaient Harry, Ron, Ginny, Luna, Neville et les autres ? Etaient-ils encore seulement vivant ? A ce moment un bruit sourd résonna dans la pièce, les murs frémirent et de la poussière tomba du plafond. Drago s’approcha d’elle et dit avec nonchalance :
-Je ne comprends pas pourquoi tu tiens absolument à vouloir sauver le monde. Je veux dire… les moldus nous sont inférieur, pourquoi veux-tu les sauver ?
Hermione le fixa comme s’il avait dit une obscénité.
-Si tu crois fermement à ce que tu dis, pourquoi tu ne pars pas rejoindre les troupes glorieuses de Voldemort ?
En parlant elle s’était relevée et approchée de Drago.
-Voldemort à humilié mon père, investit ma maison, il a ruiné ma vie, tu n’imagine pas l’enfer que j’ai vécu quand il m’a confié la mission de réparer l’armoire à disparaître, je m’étais porté volontaire mais j’ai eu du mal à la réparer et tu n’imagine pas toutes les punitions qu’il aurait pu me donner, toutes les menaces qu’il m’a envoyé!
-Tu pourrais le combattre maintenant…
Drago eu un sourire sardonique :
-Bien sûr ! Railla-t-il. Et ça tu en fais quoi ? demanda-t-il en relevant sa manche, dévoilant ainsi la marque des mangemort gravée sur sa peau. Elle me fait un mal de chien en plus, grogna-t-il.
Alors, pour la deuxième fois de sa vie, Hermione prit son élan et lui envoya sa main dans la figure. Un silence pesant suivit le claquement de la gifle et Drago contempla, stupéfait, les yeux d’Hermione qui lançaient des éclairs.
-Nous sommes ce que nous voulons bien être Drago Malefoy ! ! Et tu as choisit d’être un lâche ! Un profiteur ! !
Hermione était folle de rage, le contre coup de toutes ses émotions déferlait en elle sous la forme d’une colère incontrôlable dirigé contre le seul être humain de la pièce.
-Oui je suis un lâche ! ! cria-t-il. Oui je suis un profiteur ! ! Et alors ? Toi tu n’es qu’une Sang-de-Bourbe !
Hermione avait à nouveau levé la main pendant qu’il parlait mais la rabaissa devant l’insulte et recula de quelques pas, les yeux remplit de larmes.
-Ecoute Granger... commença Drago.
Il avait l’air de regretter, Hermione se demanda si un Malefoy pouvait avoir du remord. Un nouveau coup ébranla les murs et Hermione se dirigea vers la porte d’un pas déterminé et essaya de l’ouvrir sans succès.
-Ouvre cette porte, dit-elle d’une voix blanche.
-Tu es vraiment folle Granger. Personne n’ira se faire tuer.
Hermione pivota lentement sur elle-même pour faire face au jeune homme. Drago fronça légèrement les sourcils, elle était d’une pâleur mortelle et il remarqua qu’une petite flaque de sang prenait forme à côté d’elle.
-Ton bras… commença-t-il en tendant la main.
Hermione baissa les yeux vers la brulure qui loin de cicatriser saignait.
-Je, j’ai évité un sort, balbutia-t-elle. Mais pas assez rapidement.
Elle le regarda, essaya de sourire mais ses lèvres se figèrent et ses yeux se voilèrent. L’obscurité envahit son cerveau et elle tomba comme une masse. Avant que sa tête ne percute le sol, deux bras amortirent sa chute et la portèrent sur le canapé.
-Granger ? Granger !
Drago la secoua mais elle se contenta de bouger légèrement la tête, les yeux clos. Drago s’assit à ses pieds et se passa une main sur le visage et dans les cheveux, les ébouriffants d’avantage. Il se releva et s’agenouilla à côté d’Hermione. Il saisit le bras maigre et blessé de la jeune fille, il ne connaissait pas bien les sorts de soins mais il fit une tentative.
-Ferula, murmura-t-il en pointant sa baguette en direction du bras ensanglanté d’Hermione.
Un bandage s’enroula aussitôt autour de la blessure, arrêtant le saignement. Drago poussa un nouveau soupir de lassitude et leva les yeux vers Hermione. Il se sentait fatigué, si fatigué… Il posa sa tête dans son bras replié et ferma les yeux.
Hermione ouvrit doucement les yeux, la première question qui l’assaillit fut : depuis combien de temps ? Depuis combien de temps était-elle là ? Depuis combien de temps la bataille avait-elle commencée ? Un grondement plus fort que les autres retentis dans les murs du vieux château suivit de hurlements étouffés. La bataille faisait encore rage.
Hermione se rendis alors compte qu’elle n’avait plus mal au bras, surprise elle baissa les yeux et vis le bandage autour de la plaie. Elle regarda le jeune homme endormit à côté d’elle, il n’avait plus l’air arrogant dans le sommeil, il avait l’air… paisible. Elle se redressa légèrement, doucement pour ne pas le réveiller et poussa un soupir. Elle était si fatigué… D’une main elle remit en place une mèche blond platine sur la tête du jeune serpentard puis se recoucha lentement sur le dos. Drago se réveilla alors en sursaut, l’air hébété jusqu'à ce qu’il se rappelle de l’endroit ou il était et avec qui il était.
-Me suis endormis, dit-il en se passant la main sur le visage. Sa va ? demanda-t-il en regardant son bandage.
-Oui, merci...
Drago haussa les épaules, il ne savait pas pourquoi il avait eu envi de soigner la jeune femme, peut-être que le fait d’être enfermé tout les deux au même endroit créait des liens. Il n’avait plus envit de l’appeler « sang de bourbe », il se sentait loin de tout ça, de tout ces préjugés.
-Sa va ?
Drago sortis de ses pensées et s'aperçut qu’Hermione l’observait d’un air inquiet. Les murs tremblèrent à nouveau. Il ne répondit pas mais se releva et s’assit sur le canapé à côté d’Hermione qui s’était aussi redressée.
-J’en ai assez, souffla-t-il. Assez de tout ça.
Hermione aurait voulut répondre mais elle ne trouvait rien à dire, elle pensait à ses amis, étaient-ils morts ? Drago se tourna soudain vers elle et la pris dans ses bras. Surprise, Hermione ouvrit la bouche pour protester mais Drago ne lui en laissa pas le temps :
-Ne dis rien, chuchota-t-il. Je ne sais pas ce qui me prend mais ne dis rien, surtout.
Hermione ferma les yeux et se détendit, elle aussi avait besoin de réconfort. Drago la serra plus fort et enfouis la tête dans son cou en poussant un long soupir. Quelque chose bougea dans le ventre d’Hermione et une boule qui lui remonta dans la gorge. Elle tenta de s’écarter, de briser l’étreinte mais Drago la reteins, appuya son front contre le sien, les yeux toujours fermés. Il glissa une main dans son cou, caressant sa joue du pouce. Hermione voulut parler à nouveau, briser le silence…
-Drago…
De ses lèvres, il frôla les siennes et un courant électrique parcourut Hermione.
-Ne dis rien, la supplia Drago. Ne dis rien…
Alors il appuya ses lèvres contre les siennes. Ce fut comme si un courant de lave liquide avait déferlé en elle, Hermione perdit la notion du lieu dans lequel elle se trouvait et surtout de la personne avec qui elle était, elle ne voulait pas y penser, juste savourer la sensation de tendresse qui ce dégageait du baiser.
Drago la serra plus fort approfondissant leur baiser, un baiser qui laissa transparaitre toutes leurs peurs, leurs douleurs, leur chagrin…
Avec une infime hésitation, Drago effleura la poitrine de la jeune femme, lui arrachant un soupir surprit. Doucement, il la coucha sur le canapé et tous deux se perdirent dans la bulle de paix qu’ils s’étaient créé…
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Longtemps après, lorsque les bruits de la bataille avaient cédé la place à un silence inquiétant, Hermione avait réussit à convaincre Drago de sortir. Le château était en ruine, il ne restait plus rien des tours de Poudlard et un nuage de poussière flottait tel un brouillard irritant sur le parc du château.
Hermione pleurait en enjambant les cadavres, elle n’avait qu’une seule peur : voir les corps de Harry, Ron, Ginny… Elle ne le supporterait pas… Drago marchait en silence à côté d’elle, il ne la touchait pas, ce qui s’était passé dans le cachot avait été comme une parenthèse dans leur vie, un endroit ou le temps n’avait plus cours, ils avaient décidé d’attendre, de voir la tournure qu’avait pris la bataille pour savoir quelle tournure donner à leur histoire.
Au loin, ils virent des silhouettes, un groupe de personnes venait vers eux. Drago se plaça aussitôt devant Hermione, baguette pointé face à la menace.
-Attend, murmura la jeune fille en passant devant lui.
Le groupe avançait toujours et bientôt, Hermione et Drago les reconnurent, a leur tête, Mc Gonnagal avançait, suivit de Ron, qui soutenait Harry, blessé, suivit de presque tous les autres, il en manquait bien sûr mais ils avaient gagné, ils étaient vivant !
Sans réfléchir, Hermione prit la main de Drago et courut en direction des survivants.
Merci de m'avoir lue.