J’ai toujours su que c’était toi. Depuis la toute première fois ou je t’ai aperçue, toi qui étais encore si jeune mais déjà si incroyable, avec des tes grands yeux lumineux brillant d’intelligence, ta candeur rendant ton visage d’une douceur infinie.
Tu baignais dans un espèce de halo de lumière de bonté et de grandeur d’âme. Il y régnait également cette douce folie qui te caractérise si bien et qui fait de toi cette personne si unique en son genre.
Lorsque que je t’ai vue pour la première fois, ma vie à comme pris tout son sens, oubliant jusqu'à mon propre nom, pour ne plus respirer que le tiens.
Tu étais si belle avec ta chevelure or, et tes radis tire bouchons à tes lobes d’oreilles.
La plupart des gens aurait trouvé ça ridicule, mais pas moi, ça te donnait au contraire un air décalé incroyablement désirable. Mais que veux tu, nous n’étions encore que des enfants. Puis tu étais venu avec Harry Potter le grand et bel Harry Potter.
Comment aurais je pu rivaliser avec lui, moi Neville Londubat, maladroit, médiocre en magie et qui n’avait à ce moment la rien d’un Gryffondor.
Quand tu as été enlevée, j’ai cru mourir, chaque fibre de mon être à souffert le martyre, comme si toute parcelle de mon corps avait été arrachée, c’est parce que mon cœur venait de se briser en 1000 morceaux.
C’est à ce moment que j’ai compris pourquoi j’étais un Gryffondor, car à cet instant j’ai su que je ferais tout, y compris tuer de mes propres mains Voldemort.
J'étais prêt à mourir pour te récupérer, pour ne serait ce qu’une fois te revoir sourire ou rire.
Si entendre ton rire si pure et cristallin une dernière fois est la dernière chose que je puisse faire de ma vie, et bien qu’il en soit ainsi car tu es tout pour moi ma Luna, tu es ma raison de vivre.
C’est ainsi que je me suis lancée corps et âme dans la lutte contre les mangemorts.
Lorsque je t’ai revue après cette longue captivité en vie, un peu hagarde et secouée mais toujours si pleine de vie et encore capable d’émerveillement face à ce monde de brute, mon cœur a fait des sauts de colibri.
Je me suis cru tel le phœnix renaissant de ces cendres. Alors je me suis juré que si on survivait à cette bataille, je viendrais vers toi, je te confierais tout ceci, pour qu’enfin tu saches que je suis profondément et éperdument amoureux de toi.
Voici ma Luna, mon amour, mon récit.
Luna regarda, le jeune homme en face d’elle avec une lueur d’incompréhension mais également avec une indicible joie.
- Oh si tu savais mon adorable Neville depuis combien de temps j’attends ça. Je t’ai toujours aimé aussi, dans le silence le plus total, parce que nous les serdaigles, n’affectionnons pas particulièrement ni le courage ni les sentiments mais bien la raison et celle-ci m’a toujours dictée qu’un Gryffondor au cœur si pur ne pourrait s’intéresser à une serdaigle que tout les monde trouve étrange.
- Ma luna , ton étrangeté est le plus beau des cadeau qu’il soit. Je t’aime par-dessus tout.
- Au fait Neville est ce que tu savais que l’amour était en fait des petites fleurs qui s’insinuent dans le cerveau et qui font que l’on tombe amoureux ?
- Non je ne le savais pas , mais je suis si content de l’apprendre. Et sur ce il l’embrassa..
S’en suivi une folle nuit d’amour mais ce n’est pas ce qui nous préoccupe ici. Luna nous la dévoilera bien assez vite dans ses carnets, « une folle nuit d’amour avec neville Londubat »
Alors ? est ce que je dois aller me pendre avec ma fiction ou est ce que vous souhaitez lire les carnets intimes de LUna ?