1) En heure de colle? MOI? Au secours!
PDV ROSE
Comment vous sentiriez-vous si on vous collait, vous, la meilleure élève de Poudlard, la chouchoute des profs, avec votre imbécile de cousin et son triple imbécile de meilleur ami, à cause d'un HORRIBLE malentendu? Moi, personnellement, je serais folle de rage. Et en fait: oui, JE suis folle de rage! Moi qui croyais qu'Albus était l'un de mes cousins préférés (pour ne pas dire mon cousin préféré), maintenant, si je le vois, il a intérêt à avoir sa cape d'invisibilité sur lui pour que je n'arrive pas à le voir, parce que sinon j'en fais de la pâté pour gryffon. Vous l'aurez deviné certainement: je suis Rose Weasley, fille de Ron et Hermione Weasley, nommée autrefois Granger, et ayant été la meilleure élève de Poudlard dans les années 90. Hé oui! Je suis la fille des deux meilleurs amis du grand Harry Potter, qui est soi-dit en passant mon oncle.
Bon, comme je le disais tout à l'heure, je suis "collée". Oui, moi: Rose Weasley! C'est le monde à l'envers! Et tout ça à cause d'une mauvaise blague de mon cousin et de son imbécile d'ami pingouin qui a foiré!
Donc: on est vendredi soir, seul moment de la semaine où j'ai un peu de repos, et je suis en heure de colle. Avec mon cousin qui tire une tête de chien battu minable, et Malefoy, nommé la Fouine numéro 2 (par qui? par moi, bien sûr! que voulez-vous: tel père, telle fille!) qui sourit comme s'il avait gagné la coupe des quatre maisons. Sauf qu'on est en octobre, et qu'il est loin de gagner la coupe de quatre maisons! Je frotte donc plus fort les crasses du chaudron que le Professeur Fortignac m'a demandé "gentiment" de frotter. Non seulement il est complétèment dégueulasse ce professeur, en nous ordonnant de nettoyer la salle de classe du cours de Potions, mais en plus il nous a enlevé 25 points à chacun! Moi, qui depuis que je suis élève à Poudlard, n'ai fait que faire gagner des points à ma maison!
C'est déprimant... Tandis que je frotte, et je frotte, et je frotte... Albus s'approche de moi et me dit pour la centième fois depuis que j'ai été culpabilisée à tord pour complicité de farce non admise dans l'enceinte de l'école:
- Rose, je suis désolé.
- Garde tes excuses minables.
- Rose, je suis vraiment désolé.
- Je sais, tu me l'as déjà dit. Maintenant, fiche-moi la paix!
- Rose...
Je me tourne finalement brusquement vers lui, et j'explose:
- Bon sang, Al! Comment as-tu pu me faire ça à moi? A MOI? Albus je te croyais plus solidaire que ça, mais non!
En fait, c'est à cause de ton stupide copain!
- Un peu de respect, Weasley! me dit ce dernier en s'avançant vers moi.
- Toi, hein, ne te mêle pas des histoires de famille, La Fouine!
- Ne me cherche pas, Weasley...
- Ferme ton clapet! Comment as-tu fait pour être à Gryffondor? Tu n'es qu'un serpent comme ta famille de...
- ROSE!
Je me tourne surprise vers celui qui jamais auparavant n'a osé lever la voix sur moi.
- Je sais qu'on n'aurait pas dû t'embarquer là-dedans, mais tu te trouvais dans le mauvais endroit, au mauvais moment. Et j'ai été incapable de dire le moindre mot parceque j'ai été pris par surprise. Tu sais pourtant que jamais je ne t'aurais rien fait de pareil intentionnellement...
Je reste là, à le fixer, comme si je n'avais que ça à faire, et finalement, je retourne à mon crasseux chaudron. Sans me retourner, je murmure assez distinctement pour qu'il entende:
- Tu aurais comme-même pu me prévenir...
Je sens mon cousin s'approcher de moi et me dire de sa douce voix:
- Je sais... je suis vraiment désolée, Rosie...
Je m'arrête de frotter et me tourne vers mon cousin. Ses yeux vert émeraude scintillent, et je ne sais quoi en penser.
Certes, il m'a fait plonger avec lui, mais c'est la première fois, et Albus n'est pas du genre à s'excuser inutilement. Il est sincère. Et c'est ce que j'aime le plus chez lui.
- Tu te rends compte qu'on doit rendre service à la communauté en faisant des corvées, que, normalement, les élèves ne sont pas censés faire? lui demandes-je avec un petit sourire.
Sourire, qu'il remarque, et qui le fait sourire à son tour. Il a compris.
- Oh, certes, certes! Mais n'est-il pas vrai, chère cousine, que ce "petit incident" ne dépassera jamais le nombre de "petits incidents" qu'ont causés nos chers parents il y a plus de 20 ans de cela? dit-il en souriant.
J'éclate de rire. Il est très fort. Il rit également, et je finis par le prendre dans mes bras.
- Tu ne m'en veux plus, alors? me demande-t-il d'une voix douce.
- Non. Mais à l'avenir, évite de me mêler à tes histoires de vengeance personnelle.
Il écarquille les yeux, et me demande en bafouillant:
- M... mais comment tu sais?
- Al'... Je crois être la seule à te connaître aussi bien, lui dis-je en rigolant.
C'est vrai. Les regards assassins envers celui qui aurait dû être sa victime, les fois où on parle de Lui et qu'il se renferme sur lui-même, et aussi le fait qu'il ne quitte pas des yeux Alice Corner, la fille qui occupait 98% des pensées et des rêves de mon cher cousin adoré... Jusqu'à ce que Nick Chase lui ait mis le grappin dessus, juste au moment, où Albus s'était enfin décidé à se déclarer à elle. Trop tard.
Sans compter que le bal d'Halloween est à la fin du mois,
plus précisément dans deux semaines.
- Oui, bon, d'accord... bougonne mon cousin adoré. C'est vrai que ça lui était destiné, mais tu es arrivée et... Attends une minute! STOP! Temps mort! s'exclame-t-il d'un coup.
Je fronce les sourcils, surprise. Il me regarde maintenant avec les yeux plissés, ce qui veut dire qu'il me soupçonne de quelque chose. De quoi? Je me le demande...
- Que faisais-tu en dehors du dortoir après le couvre-feu?
Ah: maintenant, je sais! Je reste muette de stupeur; je m'attendais à autre chose, mais non. C'est donc, un peu gênée, que je lui raconte mon pourquoi:
- Je... je m'étais endormie à la bibliothèque...
Un rire derrière mon cousin me fait sursauter, tandis que celui-ci, me regarde comme si j'étais un extraterrestre. Je m'adresse au blond prétentieux qui sert de meilleur ami à mon cousin préféré et lui dis franchement:
- Quoi? Moi au moins je travaille jusqu'à ne plus pouvoir tenir debout!
Il arrête de rire et me demande avec un grand sourire "made in Malefoy":
- Ah! Parcequ'en plus t'es fière de le dire haut et fort que tu t'épuises à étudier?
- Je te signale, Malefoy, que les BUSES sont à la fin de l'année!
- Et alors? Ce ne sont pas les ASPICS! Détends-toi un peu, Weasley. Et profite de ta jeunesse...
- JE profite très bien de MA jeunesse!
Raah! Il a le don pour me mettre hors de moi cet imbécile!
- Mais oui, bien sûr! me dit-il sarcastiquement en levant les yeux au ciel.
- Attends, donc tu étais à la bibliothèque? reprend mon cousin.
- Oui. Et puis Mme Pince m'a réveillée et m'a ordonné de retourner dans mon dortoir. Et c'est au milieu du chemin que je vous ai trouvés... Et bon, la suite vous la connaissez, je rajoute en leur montrant l'éponge avec laquelle je suis censée frotter ce fichu chaudron crasseux.
Albus se tourne vers Malefoy et lui dit d'une voix mûrement réfléchie:
- Ça ne peut pas être elle, Scor'.
Ce dernier hausse les épaules et retourne à son chaudron. Moi, sceptique, demande à mon cousin:
- De quoi tu parles?
D'un coup, mon cousin, semble assez mal à l'aise.
- En fait, on croyait que c'était toi qui avait voulu gâcher notre plan...
Je reste sans rien dire. En fait, je ne sais pas quoi dire... Et d'un coup je réalise.
- En fait tu t'excusais parceque tu t'en voulais de m'avoir accusé injustement, c'est ça?
- Heu... non. En fait, jusqu'à maintenant, je croyais que c'était à cause de toi que ça n'avait pas marché...
- Oh...
Je ne sais pas quoi dire...
D'un coup, la porte d'entrée de la salle de Potions s'ouvre brusquement, me faisant sursauter. Fortignac apparaît dans l'encadrement de la porte, et nous dévisage.
- Je suis étonné et déçu: vous n'avez pas fini de récurer les chaudrons. Vous serez obligés de venir alors tous les vendredi soir jusqu'à ce que cette salle brille, nous dit-il.
Vous m'en voyez navré, ajoute-t-il avec un sourire sadique.
Je le dévisage méchament. Mais en me tournant vers mon cousin et Malefoy, je suis soulagée de les voir lui lancer des regards meurtriers.
- Professeur, samedi prochain nous avons notre premier match de l'année. On ne peut pas manquer ça! s'exclame
Albus.
- Mais qui vous dit, Mr Potter, que vous manquerez ce match?
Al' allait répondre lorsque Malefoy lui coupe la parole, l'air aussi tranquille que s'il se trouvait dans les îles Canaries.
- Oh, je n'en sais rien! Peut-être le fait que le lendemain de notre si épuisante et crevante punition, alors que nous avons, justement, ce match, nous le manquiions à cause de notre fatigue de la veille, en ayant récuré vos chaudrons, Professeur... dit-il nonchalant.
Je me tourne vers Fortignac, et le dévisage. Celui-ci, n'a pas l'air de se sentir coupable de quoi que ce soit. Il reprend:
- Sachez, Mr Malefoy, que cette punition, c'est vous qui l'avez cherchée, dit-il d'une faussement navrée.
"Je rêve, ou il jubile vraiment?!" me dis-je.
- Bon vous savez quoi? Vous ne pouvez pas aller à un match après une si dure labeur, n'est-il pas?
Mon cousin hoche la tête à l'affirmative, tandis que Malefoy hausse les sourcils et méfiant.
- ... Alors que diriez-vous de ne pas aller à ce match, justement. N'est-ce pas, Mr Malefoy?
Albus et Malefoy sont choqués, décus, et... oulah! Furieux!
- Professeur, vous n'avez pas le droit! s'exclame Albus.
- Ce n'est pas vous qui décidez si oui ou non nous manquerons ce match! ajoute Malefoy.
- Sinon quoi? Vous allez vous plaindre à vos chers parents? demande-t-il d'une voix moqueuse.
Ça suffit: il faut que j'intervienne!
- Sauf votre respect, Professeur: vous n'avez aucun droit en ce qui concerne votre soi-disante autorité concernant leur poste dans l'équipe de Gryffondor. Si je ne m'abuse, vous n'êtes pas le directeur de la maison de Gryffondor...
Je me tourne alors vers mon cousin et Malefoy, et leur fait un clin d'oeil. Ces derniers me regardent un grand sourire aux lèvres, y compris Malefoy, qui me rend mon clin d'oeil.
- Miss Weasley, j'imagine que vous n'êtes pas assez sotte pour manquer de respect à l'un de vos professeurs, n'est-ce pas? me dit-il avec un rictus méprisant.
Je le fixe sans baisser les yeux. Vous croyez quoi? J'ai bien hérité de la bravoure et de l'hardiesse de mes parents! Et, sans m'en vanter: j'en suis fière!
- Hé bien, Miss Weasley, je ne vous savais pas aussi... éffrontée, me dit Fortignac après m'avoir dévisagée de haut en bas avec dédain.
- Dommage pour vous: L'éffronterie, ça me connaît! lui répliques-je, un sourire hypocrite aux lèvres.
Je suis certaine que si je regarde en direction de mon cousin je le trouve la bouche ouverte, choqué que je parle de cette façon à un professeur de Poudlard. J'en rirais!
Pourtant, je n'ai pas le temps de me tourner vers lui, que la porte de la classe s'ouvre à nouveau laissant entrer cette fois-ci (merci Merlin!), Le professeur McGonagall: mon professeur préférée!
- Mais enfin, Jean-Bernard, que font encore ces élèves ici?
L'heure de retenue est aboutie!
- Figurez-vous, chère Minerva, que votre élève préférée vient de me manquer totalement de respect. Une bonne retenue me fera oublier cela, bien sûr.
McGonagall le dévisage l'air calme.
- Vous voulez donner une retenue à une élève pendant une heure de retenue, si j'ai bien compris, Jean-Bernard? Qui plus est, pas n'importe quelle élève! Non, vous, vous voulez coller la meilleure élève de Poudlard... J'ai hâte d'apprendre de quoi l'accusez-vous, Fortignac!
Elle croise les bras: c'est bon signe!
- Elle m'a manqué de respect!
- C'est faux! C'est lui qui a commencé!, s'exclame mon cousin en le désignant du doigt. Il voulait nous coller également samedi prochain, alors que vous savez qu'on a un match de Quidditch!
- Monsieur Potter! Je vous prie: un peu de tenue! s'exclame McGonagall.
- Professeur, Rose lui a juste rappelé que le droit d'exclure temporairement un ou plusieurs joueurs d'une équipe de Quidditch revient au directeur de la maison concernée. Dans notre cas, c'est vous, professeur McGonagall, déclare, à mon grand étonnement Mal... heu je veux dire... Scorpius.
McGonagall se tourne alors vers Fortignac et le dévisage avec son regard scrutateur qu'elle garde habituellement pour ses mauvais élèves. J'en sauterais de joie!
- Sachez, Fortignac, qu'en effet, vous n'avez aucun droit d'exclure de l'équipe de Quidditch aucun de mes élèves siègeant à Gryffondor. Cela c'est moi qui m'en occupe, et je ne tolèrerai pas que vous leur priviez de jouer. Point final.
Waouh! Là, elle m'a bluffé!
- Vous pouvez y aller jeunes gens. J'ai une discution à finir avec le professeur Fortignac. Miss Weasley, Messieurs Potter et Malefoy, bonne nuit.
Nous sortons donc de la classe. Et remontons en silence vers notre dortoir. C'est dans la Salle Commune vide, qu'Albus parle pour la première fois depuis qu'on est sortis des cachots.
- Alors là! Rosie, tu m'as épaté! me dit-il en me donnant une petite tape dans le dos.
- Oh! Mais je n'ai rien fait, Al'! dis-je gênée, en mettant une de mes mèches rebelles derrière mon oreille.
- Mais si, mais si! Quand je dirai ça aux autres! Ils ne me croiront jamais!
- Al', moins fort!, chuchotte-je pour le faire taire.
- Désolé, me dit-il à voix basse. En tout cas, je te remercie.
Albus s'avance vers moi et me prend dans ses bras. Je passe mes bras autour de son tour et le serre également.
J'ai peut être 10 cousins et cousines, il n'empêche qu'Albus est mon cousin préféré. On se comprend sans échanger de mots, on ne se cache rien. De plus, il est le seul garçon, en dehors de mon père et mon frère, avec qui j'ai des contacts physiques. Voyez lorsque je faisais un cauchemard ou qu'il m'arrive de ne pas réussir à dormir, je peux aisément me coucher avec lui, dans son lit, sans gêne. De plus, je passe une nuit calme et digne de ce nom. Quant à lui, il sait qu'il peut compter sur moi, n'importe où, n'importe quand et pour n'importe quoi. On ne s'est jamais vraiment disputés, sauf aujourd'hui... Mais, ça s'est vite arrangé. Je ne peux vivre sans mon cousin, et inversément. C'est mon frère de coeur.
Un peu comme maman et oncle Harry, il y a plus de 20 ans. Cela dit, c'est toujours le cas.
On se sépare, et je lui souris. Il me rend mon sourire et ensuite me chuchote à l'oreille:
- Je crois que tu peux le remercier...
Il marque une pause puis s'adresse à son meilleur ami.
- Je monte déjà, à tout de suite, Scor'.
Avant de tourner les talons, il me fait un clin d'oeil auquel je ne réponds pas, trop occupée à réfléchir à comment vais-je m'adresser au fils du pire ennemi de mon père.
Quelques secondes après que mon cousin soit parti, Malefoy me dévisage. Je sais pas dire avce quelle idée en tête, puisqu'il ne démontre rien... Je décide donc de commencer. Vite pour qu'on en finisse!
- Bon. Malefoy, je te remercie d'avoir prit ma défense face à McGonagall. C'était vraiment sympa de ta part, et je ne l'oublierai pas. Sache, qu'en cas de pépin, un jour ou l'autre, tu pourras me demander de l'aide, lui dis-je. Je décide d'ajouter, pour détendre un peu l'atmosphère: D'ailleurs, comme tu es le meilleur ami d'Albus, tu risques de te trouver souvent dans des situations un peu... extrèmes. Je sais ce que c'est je suis passée par là!
A mon plus grand étonnement, il rit. Scorpius Malefoy rit d'une de mes blagues! Incroyable mais vrai!
- C'est vrai que c'est mouvementé. Mais c'est génial, et on ne s'ennuie jamais!
Inconsciement je ris, et lui, il rit avec moi. J'ignorais que je pouvais entretenir une discussion calme et sans insultes avec mon pire ennemi.
- Bon, il se fait tard, je ferai mieux d'y aller. Et encore merci de m'avoir défendue face à McGonagall, dis-je au bout d'un moment.
- Bon c'était ça, ou j'entendais Albus se plaindre de la retenue injustifiée qu'on t'aurai imposé. Et crois-moi, je suis loin d'être un excellent orateur.
- Faudra y remédier, alors! lui réponds-je avec un clin d'oeil.
Il sourit et commence à s'éloigner.
- Bonne nuit, Rose.
Je suis surprise... Ou plutôt, non. Pas tant que ça, en fait.
Je souris également.
- Bonne nuit, à toi aussi... Scorpius.
Avant d'entrer dans son dortoir, il me fait un bref signe de la main, auquel je réponds par un grand sourire.
Une fois qu'il a disparu de ma vue, je tourne les talons, et me dirige, épuisée, vers mon dortoir, espérant rejoindre mon lit, qui m'appelle à grands cris désespérés.
Note d'auteur :
Voici ma première fiction... Après tout vaut mieux tard que jamais!! ^^ Bref, j'espère que ça vous plaira ^^
Note de chapitre:
Dans ma fiction, Albus, Rose et Scorpius sont tous les trois à Gryffondor. Je voulais un peu changer des autres fictions ^^ voili voilu ^^
Note de fin de chapitre :
Alors: une review? :)
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