Le 27 août 1981,
Cher Maître,
Je sais que cette lettre ne vous parviendra pas avant longtemps, voire jamais, mais je m'entête à vous l'écrire car un mince espoir me reste malgré l'année qui vient d'écouler lentement suite à votre disparition.
Peut-être que vous me répondrez aussi, si le coeur vous en dit, mais je ne pense pas, car je ne sais même pas si vous êtes encore en vie.
Vous savez, j'ai tellement de choses à vous dire et je ne sais même pas les formuler convenablement de peur que vous ne découvriez que le Ministère s'est enfin emparé d'un élément pour vous coffrer et vous bannir du territoire sans plus d'attente.
Ce que vous pouvez pas savoir comment il m'a été difficile de trouver une chouette assez conne pour venir à travers les barreaux. J'ai dû rééssayer plusieurs fois pour y arriver mais en me privant parfois de repas. Les chouettes mangent beaucoup je trouve.
Maître, depuis vôtre départ, Greyback et les autres, moi-même et mes cousins-cousines, sont à Azkaban pour purger une peine à perpétuité.
Ce n'est plus l'époque où l'on triomphait. C'est errible les ravages qu'ils font ici: sur la mémoire, le moral et la peur aussi. Vous ne pouvez pas imaginer: ils sont encore plus cruels que vos pires châtiments.
Pour ce qui est de Lucius et Narcissa, ils viennent d'avoir un enfant... Pas en prison, mais dans le manoir familial, car eux, n'ont pas été arrêté lors de l'attaque des Londubat, qui était prévue depuis longtemps comme sévice à l'encontre des Moldus qui nous ont dénoncé.
Il s'appelle Draco, et depuis qu'ils m'ont rendu visite en prison ils me l'ont montré: je pense que ça fera la procahine génération de Mangemorts, mais ma soeur est contre: elle dit vous ne remettrez plus jamais les pieds en Angleterre et que vous vous exilerez mal, sauf dans les pays où vous n'êtes pas connu. Mis à part la Colombie où le désert du Sahara, je ne sais pas l'endroit où vous n'êtes pas encore connu.
Sinon, eh ben, rien, les Détraqueurs, la priosn, un enfant, il ne s'est pas passé grand-chose ici, et vous pouvez me croire que je m'ennuie à mourir.
Avec mon beau-frère, on essaye de planifier des choses pour l'évacuation de la prison, mais c'est dur parce que les Détraqueurs nous menacent toujours de leur baiser mortel.
Ils sont malins ces politiciens de les avoir placés là, parce qu'il nous foutent la frousse rien qu'en sentant leur présence.
On ne mange rien, on n'a pas de contacts avec les autres, on ne sort pas, en hiver on n'a pas de vêtements chauds etc, je pourrais vous dire mille choses contre la prison, mais vous aussi vous devez avoir aussi froid et faim que nous.
Le parchemin, j'en avaois encore un dans ma veste, alors j'ai aussi fabriqué une plume comme vous m'avez appris, parce qu'ils nous ont aussi pris nos baguettes vous savez. C'est dingue comme on s'ennuie ici. Mais bon, vous vous avez votre serpent et aussi le calme de sforêts alors que nous on entend des cris toute la journée. C'est terrible.
Et en plus, on ne peut même pas conspirer correctement, c'est nul parfois.
Bon, ok, je ne sais pas faire de vannes, ça va, je connais la chanson.
Quand je rentrerai chez moi, je ferai mes valises et je partirai en voyage, mais clandestinement parce qu'ils vont me rattraper sinon, et je me battrai encore et encore jusqu'à que les pourris qui nous ont mis là meurent à leur tour.
Bon, je vous laisse, il y a des Détraqueurs dans le coin.
Bella
{attache le parchemin au pied de la chouette et la jette en dehors de la prison à travers les barreaux.]
Note d'auteur :
Mon sujet favoris.... Les lettres.
Note de chapitre:
Bon, on va faire de ça une mini fic et ensuite les mettre dans une série.
Déjà 3 petits terminés!
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