Arrivant dans sa chambre, je lui demandai si elle souhaitait faire une partie de Quidditch avec mes frères et moi-même, mais elle me répondait immédiatement qu'elle ne préférait pas. Je la comprenait parfaitement. En la voyant si heureuse, je me disai que toute ma vie, je la passerai avec elle. Je la protègerai, je la chérirai, je l'aimerai. Bref, je serai moi-même. Je lui demanda ensuite si elle voulait que l'on fasse un tour autour du lac qui se trouvait pas loin de chez moi. Elle accepta, ce que je trouvai encouragent.
Nous avions descendus les escaliers, nous nous étions dirigés vers la porte d'entrée. Nous marchions dans un calme opressant. Je l'observai. Elle était tellement belle. J'essayai de sortir cette pensée de ma tête, mais c'était impossible. Mais elle ne me calculait même pas. Elle ne m'accordait pas un seul regard. Elle me faisait tant souffrir... Et pourtant, je l'aimai encore.
J'étai tombé sous son charme peu de temps avant son arrivée chez moi. Elle m'avai pârue changée, embelli. Elle était simple, et pourtant, elle me paraissait tellement extraordinaire. Sa peau pale de ce matin, naturelle, sans maquillage, me donnait envie. Une envie irrésistible de l'éffleurait, de la touchait, de la prendre dans mes bras. Mais, malheuresement, je ne pouvais pas.
En marchant, elle commença à me parlai de tout et de rien. Je l'écoutai, savourant à chaque minute le son de sa voix. Voix que j'aimai tant. J'avai fini par rêvé de sa voix, de son corps, d'elle, tout simplement. Des fantasmes avaient finis par être créés. Je voulai vivre avec elle, avec cette femme que j'adorai tant. Je voulai qu'elle m'appartienne, que je puisse toucher ce corps tant désiré.
Elle n'avait pas comprit pourquoi je l'avai sur-protégée cet été. Elle n'avait pas comprit pourquoi je m'étai disputé avec mon propre jumeau à cause d'elle. Elle n'avait pas comprit pourquoi j'étai en froid avec Ron. Elle n'avait pas comprit pourquoi j'évitai les moments seul à seule avec elle. Si elle savait que c'était par amour, par jalousie, par peur, par protection...
Là, elle aurait compris.
Après avoir parlé quelques temps ce matin-là, nous nous étions dirigés vers l'entrée du lac. En marchant, nous avions arrétés de parler, à la place, nous observions les lieux. Le lac noir, si calme. Il reflétait le contraire exacte de ce que je ressentai. Il reflétait le calme, l'apaisement... Alors que moi, je ressentai l'opressement, le délaissement, la souffrance... Hermione ne m'aimait pas, il fallait l'admêttre.
Nous nous dirigions vers un grand Hêtre, près de l'eau. Nous ne parlions toujours pas. J'observai toujours. Je réfléchissai, encore et encore... A un moment précis, nous nous sommes regardés droit dans les yeux. En la regardant, je compris. Je compris instantanément. Je me rapprocha d'elle, le plus doucement possible. Elle ferma les yeux, sans se rapprocher de moi, voulant continuer sa douce torture.
Je me rapprocha de ma belle, encore, encore... Nos regards se croisèrent une dèrnière fois puis... Le moment que j'avai tant attendu arriva. Je prit son menton entre mes doigts, je glissa mon autre main dans ses cheveux en bataille. Nos visages se rapprochèrent doucement, comme pour titilait l'autre. Comme pour savourer ce moment de pur bonheur. Et, enfin, nos lèvres se touchèrent. Elles se frolaient presque. Sa bouche avait un goût délicieux de fraise des bois. Elle me mordilla doucement la lèvre supérieur. Lorsque nos langues s'entremélèrent, formant ainsi le pacte de notre nouvel union, je sût déffinitivement que c'était elle la femme. La femme de ma vie. Ma vie qui avait était minable sans elle. Car c'était elle la fille, la femme que j'attendai depuis toujours. Elle que j'avai rêvé, elle que j'aimai...
Lorsque l'on se détachèrent pour reprendre notre souffle, je me disai que même si mon coeur se serai arrêtai, j'aurai été heureux, grâce à elle. Elle me regarda. Je la regarda. Dans nos yeux à tout les deux, l'amour, le bonheur et la paix pouvait se lire. Plus question de haine ou de souffrance, ni même de tristesse, juste ce sentiment. Ce sentiment que tout le monde a déjà eu envie de cnnaître un jour. L'amour.
Lorsque son dernier regard croisa le mien, je cita ces deux mots; Ces deux mots, tout le monde à déjà eu envie des entendre, au moins une fois dans leur vie;
Ces deux mots, qui peuvent soit gacher, soit sauver une vie:
- Je t'aime.
- Moi aussi, je t'aime, Fred Weasley.
Je restai sans voix quelques instants, comprenant peu à peu ce qu'elle venait de dire.
- Mais... Ne trouves-tu pas que cela fait un peu "histoire violon", comme dans les fims moldus, avec des coeurs partout ? murmura-t-elle.
- Justement. Tu es à toi seule l'histoire de ma vie. Tu es mon histoire d'amour du présent, du passé, mais surtout, du futur. Alors, pourquoi pas ?
Et puis, je la regardai une dernière fois, avant de l'embrasser à nouveau, comme pour vérifier que tout ceci n'était pas un de mes rêves.