« Alison,
Tu me manque. Tu ne peux même pas savoir à quel point. Un jour tu m’as dit : « Si un jour quelqu’un vient à te manquer, ne pleure pas, rappelle-toi de la personne en rigolant. ». J’ai essayé, tu sais ? Mais je n’y arrive pas. Tu es si loin maintenant. Tes cheveux blond volant à l’aire libre me manquent énormément. J’essaye de ne pas culpabiliser pour ce qui t’ais arriver, mais je ne peux plus. Tout est à cause de moi. Chaque nuit, je rêve de toi, qui me rassure, j’entends encore ta voix me chuchoter que vat aller. Mais je ne peux plus vivre sans toi. Je n’arrive plus à continuer sans toi à mes coter, sans ton air rêveur et moqueur. Je donnerais tout pour revoir le bleu de tes yeux dans les miens, juste une fois. J’aimerais me faire pardonner. Je ne suis rien sans ma Alison.
A, toi, mon amour.
James S. »
« Ma petite Blonde,
J’ai retrouvé mon cahier de métamorphose et tu sais quoi ? J’ai retrouvé un mot de toi. Tu te souviens ? Quand je t’ais demander : « Prouve moi que tu m’aimes a travers une feuille de papier ! ». J’ai beaucoup rigolé mais aussi pleurer. Comment peux-tu être aussi cruel ? Me laisser ça, avec moi. C’est la mort assuré. J’ai eu mes Aspics. Toi aussi, tu les aurais eu… je t’aimerais à jamais.
James S. »
« Alison,
Je n’y arrive plus, à chaque pas que je fais, c’est un nouveau pour venir te voir. Je résiste à ne pas aller te voir là-bas. Mais c’est de la torture. J’aimerais me délibérer de toute cette souffrance. C’est invivable.
James S. »
« Ma décision est prise, j’arrive. La mort n’est qu’une étape, et pas la fin. Je t’aime. »
A l’aube, un couple renaissait de ces cendres, c’était comme qui dirait magique. Alison retrouva James et James retrouva Alison. Ainsi soit cet éternel amour.