Lorsqu'elle était allongé, Lily, dans cette position lascive, lorsque ses yeux de cires déshabillés le monde autour d'elle, s'attacher aux meubles de la pièce, fixer le plafond brunit, souvenir d'une potion raté, lorsqu'elle s'attardait sur les visages rieurs accrochés aux murs, elle se mettait à pleurée Lily. Elle pleurée ses poupées brisées, leurs yeux disloqués qui caressaient le sol. Son regard de bruine c'était les blagues de James, les sourires d'Albus. Leurs chasses aux limaces avec Hagrid. Les gâteaux de sa maman, les contes racontés par son papa, le soir avant qu'elle ne s'endorme. C'était aussi les colères d'Albus, ses yeux verts qui étouffés de haine, les mots rassurants de James, la baguette du survivant au dessus de sa peau, effaçant lentement les traces bleutés, violacés. Mais aujourd'hui Harry n'était pas là, les gâteaux de Ginny transpirés dans le four du manoir familial. James devait se promener dans le parc du château, son regard strié d'arrogance. Albus était partis. Loin d'elle. Surement à la bibliothèque. Il allait toujours à la bibliothèque lorsqu'il regretter. Il y allait toujours après s'être énervé. Pendant que Lily et ses yeux de bruine soupiraient en secret, se laissant aller.
Les jambes contre sa poitrine, le corps fatigué, elle pensait à Teddy, Lily. Teddy qui n'était plus la, Teddy qui était partis. Elle était contente Lily, Teddy et Victoire, c'était évident. Depuis qu'ils étaient petits, il y avait Teddy et Victoire. Inséparables. Mais, il arrivait qu'il y ait Teddy et Lily. Parce que Teddy la comprenait sa Lily. Il comprenait ses rires, ses passions, ses larmes de petite fille. Teddy, il savait lui. Il les connaissait les colères d'Albus, les mots rassurants de James. Teddy, il avait déjà colorés l'œil d'Albus, lorsque ce dernier avec peint les cuisses de Lily d'un bleu sanguinolent. Puis Teddy, il était parti, croyant sa Lily en sécurité, que Poudlard la protégerait des colères d'Albus. Des brimades des autres sorciers. Il l'avait vu Teddy que Lily était différente. Avec ses taches de sons, et ses cheveux rouillés. Avec ses lèvres brûlés, sa douceur fatigué et son rire ensorcelé. Toujours son rire.
En y repensant, des brides de Teddy lui revenait à Lily. Teddy aux cheveux bleu pour le sourire de Victoire, pour la poignée de main de son parrain, pour les repas de Ginny. Teddy blond pour Lily. Blond comme le blé, comme les fleurs qu'il mettait sur ses poignées. Il était blond Teddy avec sa Lily, il était bon Teddy avec sa Lily.
Dans le dortoir trop grand, elle pleurée Lily. Elle pleurée d'être seule. D'être sans Teddy.