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News

132ème Nuit d'HPF


Chers membres d'HPF,


Nous vous informons que la 132e édition des Nuits d'HPF se déroulera le samedi 10 juin à partir de 20h. N'hésitez pas à venir découvrir les Nuits d'écriture en vous inscrivant ici !


Pour en savoir plus sur les Nuits, on vous explique tout sur ce topic.


A très bientôt !



De L'équipe des Nuits le 29/05/2023 11:41



Bonjour à tous et à toutes,

Les modératrices d'HPFanfiction vous informent que la liste de personnages a été étoffée de deux noms :

- Isla Black

- Personnage mystère, si vous voulez maintenir l'identité de votre personnage secrète jusqu'à la fin !

 

 


De L'équipe de modération d'HPFanfiction le 17/05/2023 17:11


131ème Nuit d'écriture


Chers membres d'HPF,


Nous vous informons que la 131e édition des Nuits d'HPF se déroulera le Vendredi 19 mai à partir de 20h. N'hésitez pas à venir découvrir les nuits et vous inscrire !


Pour connaître les modalités de participation, rendez-vous sur ce topic.


A très bientôt !



De L'équipe des Nuits le 02/05/2023 19:01


Sélections du mois


Félicitations à AlbusDumbledore, Amnesie et Samantha Black qui remportent la Sélection CrossOver !

Pour le mois de avril, venez lire la Sélection Concours HPF ! Vous pouvez découvrir onze histoires courtes, écrites dans le cadre des concours du forum, et voter jusqu'au 30 avril ici.

Qui veut lire sur Susan Bones, sur Gwendoline la Fantasque, sur Charlie Weasley, sur la Tante Muriel... ? Qui veut lire sur tous les Personnages secondaires et tertiaires de la saga ? La sélection du mois de mai ! Vous avez jusqu'au 30 avril pour proposer des textes (vos deux fanfictions favorites, ou votre favorite si elle fait plus de 5000 mots) sur ce thème. Pour ce faire, rendez-vous ici ou bien répondez directement à cette news.


De L'équipe des Podiums le 11/04/2023 11:47


Concours : Univers Alternatifs en folie !


Comment imaginez-vous Harry Potter dans l'univers des pirates ? ou dans un jeu de téléréalité ?

Fleur d'épine vous propose un nouveau concours "Univers alternatifs en folie" afin de répondre à ces questions. Vous aurez le choix entre plusieurs catégories d'univers alternatifs : Mafia AU, Pirates AU, Singer AU, University AU, TV Réalité AU et Fandom AU. Vous pourrez ensuite proposer un (ou plusieurs) texte(s) jusqu'au dimanche 26 juin à 23h59 . N'hésitez pas aller sur le topic du forum pour toutes informations supplémentaires ici.
A très bientôt !

De le 28/03/2023 18:47


Sélections du mois


Félicitations à Labige, Polock et Tiiki qui remportent la Sélection Hermione Granger !

Pour le mois de mars, venez lire la Sélection CrossOver ! Vous pouvez découvrir ces huit histoires et voter jusqu'au 31 mars ici.

Vous ne jurez que par HPF pour lire et écrire ? Venez en avril vous régaler avec une sélection de productions hpfiennes issues de nos Concours ! Vous avez jusqu'au 31 mars pour proposer des textes (vos deux fanfictions favorites, ou votre favorite si elle fait plus de 5000 mots) sur ce thème. Pour ce faire, rendez-vous ici ou bien répondez directement à cette news.


De L'équipe des Podiums le 14/03/2023 18:30


Et tu vois, encore aujourd'hui, tu me déçois. par asphodelepatronus5593

[2 Reviews]
Imprimante
Table des matières

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Note d'auteur :

Voilà, voilà, un nouveau petit OS sur la relation de James et Albus, telle que je la vois. J'espère que ça vous plaira !

James.

Je me rappelle encore, quand on était petit, dans la cuisine, le bocal à biscuit. Maman nous en donnait tous les jours à goûter. Deux, pas plus. Mais je me rappelle comme on les attendait ces biscuits. C’était Mamie qui les faisait, et c’était les meilleurs du monde.

C’est pour ça qu’on sortait de nos lits le soir, quand tout le monde dormait, et qu’on allait dans la cuisine. On ne prenait jamais Lily, tu disais tout le temps qu’elle nous gênerait. Mais on lui en prenait toujours sa part qu’on lui déposait sur sa table de chevet.

On avait notre méthode bien à nous pour piquer ces biscuits.

Contrairement à ce qu’on pouvait penser, c’est moi qui piquais dans le pot pendant que toi, tu faisais le guet. On faisait comme ça parce que tu n’avais pas la patience de dévisser le couvercle capricieux du bocal. Toi, tu restais à la porte de la cuisine, un œil dans le couloir et un dans la cuisine. Et moi, je montais sur une chaise, puis sur le comptoir, où j’étais assez haut pour ouvrir la porte du placard et attraper le bocal. Je m’affairais ensuite à dévisser le couvercle aussi silencieusement que possible tandis que toi, tu continuais à me fixer, en jetant de temps en temps un coup d’œil au couloir. Je redescendais ensuite, les biscuits dans la main. On n’en prenait jamais plus de deux chacun, pour ne pas se faire griller par Maman.

D’ailleurs, un jour, Papa avait failli nous prendre la main dans le sac, ou plutôt, dans le bocal.

On venait tout juste de rentrer dans la cuisine. Tu venais de prendre ton poste et moi, je commençais déjà à grimper sur le comptoir. Tout à coup, tu t’es précipité sur moi, tu m’as fait descendre de la chaise, on l’a remise en place et on s’est caché derrière la porte, juste à côté du grand vaisselier de Mamie. Juste à ce moment-là, Papa est rentré dans la cuisine. Comme on avait eu peur à ce moment-là. Je t’entendais à côté de moi. Ton cœur battait à cent à l’heure, en réponse au mien. On a dû rester là pendant au moins une bonne demi-heure avant que Papa ne se décide à retourner dormir.

A ce moment-là, on se croyait les plus discrets du monde.

Mais quelques mois plus tard, Maman s’est rendu compte qu’il manquait toujours des biscuits et on a été découvert.

C’est depuis ce jour-là qu’on a plus piqué de biscuits. De un, parce que Maman les avait changés de place et qu’elle se débrouillait toujours pour les prendre sans qu’on la voie, et de deux, parce qu’elle avait placé un sortilège sur nos chambres pour la réveiller si on sortait pendant plus de dix minutes.

Mais quand on a arrêté de piquer des biscuits, j’ai pas compris.

Tu m’as délaissé et t’es parti.

 

James. Mon frère.

Tu sais, tu n’as pas toujours été aussi arrogant que le disent les autres. Mais je me rappellerais toujours le jour où tu l’es devenu.

C’était les vacances d’été et on se trouvait chez Mamie. C’était bientôt l’anniversaire de Lily, qui allait avoir six ans. Toi, tu en avais neuf, et moi huit.

Pour lui faire un beau cadeau, avec Papa, Maman et Tante Hermione, on était allé sur le Chemin de Traverse.

Nous, on voulait faire un cadeau avec nos sous pour Lily. On voulait choisir nous-même ce qu’on allait lui acheter. Maman était d’accord et elle nous a laissé faire un tour des boutiques tout seul.

On avait déjà fait beaucoup de boutiques quand on a trouvé ce qu’on voulait lui acheter. Enfin, quand j’ai trouvé. Toi, tu n’y mettais pas vraiment du tien. Tu préférais regarder toutes les nouveautés en matière de balais ou de farces et attrapes. Et puis de toute façon, tu ne savais pas ce qui pouvait faire plaisir à Lily.

Moi, je savais. Lily me l’avait dit sans y faire attention. Elle voulait la nouvelle poupée avec la baguette magique qui lançait « Accio », « Wingardium Leviosa » et  « Reparo ».

Je savais que Papa et Maman ne la lui achèteraient pas, car je savais le cadeau qu’ils allaient faire à Lily : la panoplie de princesse magique avec le diadème qui changeait la tenue quand on prononçait la bonne formule.

Mais la poupée coûtait trop cher. Trop cher pour nous en tout cas. Nous n’avions que cinquante malheureux gallions, et la poupée coûtait un peu plus de soixante-dix gallions. N’oublions pas de préciser qu’elle était grandeur nature.

Nous sommes quand même entrés dans le magasin pour la voir.

Je me rappellerais toute ma vie de cette poupée.

Ses cheveux blonds qui retombaient en deux nattes sur ses épaules, ses yeux bleus qui paraissaient tellement réels sur le moment, sa petite robe rouge à carreaux avec son tablier blanc et ses souliers vernis.

Nous étions en train de parler du prix quand une dame est venue vers nous pour nous demander si elle pouvait nous aider. Tu lui as répondu qu’on voulait la poupée pour l’anniversaire de notre sœur, Lily, mais que nous n’avions pas assez d’argent sur nous.

Alors la dame t’a regardé, longtemps, puis tout à coup, elle t’a demandé ton nom.

Tu le lui as donné. Et tout a basculé.

La vendeuse a soudain était encore plus gentille et elle nous a même proposé la poupée à trente gallions.

Toi, tu ne disais plus rien. Tu la regardais, surpris, puis ton visage a commencé à changer. Un sourire satisfait a étiré tes lèvres et tu as accepté l’offre avec une politesse que tu n’avais jamais eue jusque-là.

On a pris la poupée, que la dame nous avait emballée et on est sortis.

C’était moi qui portais la grosse boite de la poupée et ça pesait un peu lourd. Je me rappelle t’avoir demandé de l’aide pour la porter.

Mais tu as refusé, en me disant que je pouvais me débrouiller tout seul, que tu n’avais pas à porter ce truc.

Que tu étais James Potter.

Ce jour-là, j’ai compris que les nuits où on piquait des biscuits dans la cuisine étaient très loin.

Et que je ne les retrouverais sans doute jamais.

 

James. Mon frère. S’il te plaît…

Tu sais, l’été de mes onze ans, j’avais tellement hâte de rentrer à Poudlard. Je ne tenais plus en place. Je ne voulais qu’une seule chose : découvrir enfin ce que voulait dire être un sorcier. Et plus que tout, je voulais te prouver que je pouvais être plus que « le petit Bubus à sa Maman ».

Toi, tu n’arrêtais pas de me dire que je finirais à Serpentard. Pendant les deux mois de vacances, la maison a tourné au rythme de nos disputes et de nos piques. Papa n’en pouvait plus de nous et Maman n’arrêtait pas de nous crier dessus. Même Lily ne voulait plus nous voir si nous étions tous les deux dans la même pièce.

Moi, ce qui m’énervait, c’était ton arrogance. Tu me rabaissais en me disant que j’irais dans une maison inférieure à la tienne. Pour moi, ça voulait dire que tu me considérais moi-même comme un être inférieur. Et ça, venant de mon frère, je ne pouvais le tolérer. C’est pour ça que le calme petit Albus répondait à chacune de tes piques, pour te montrer que je pouvais te tenir tête.

Quand les vacances se sont terminées, tu continuais encore à me lancer des piques, des vannes. Tu as continué jusqu’au jour de la rentrée.

Et ce jour-là, tu m’as énormément déçu.

C’était le moment de la répartition. J’attendais avec les autres que Neville appelle mon nom. Quand ce dernier a retentit dans la Grand Salle, je me suis presque rué sur le Choixpeau.

Quand Neville l’a posé sur ma tête, j’ai entendu une voix qui énoncé mes qualités et mes défauts pour faire son choix.

Et finalement, ce ne fut pas Serpentard que je rejoignis.

Mais Poufsouffle.

Tu ne peux pas savoir à quel point j’étais content de ne pas aller à Serpentard. Je pensais que toi aussi, tu serais content de me voir aller dans une autre maison que celle ennemi des Gryffondors.

Une fois que je me suis retrouvé assis à ma table, j’ai essayé de capter ton regard, pour savoir si tu étais fier. Mais tu ne m’as pas regardé. De tout le repas, pas une seule fois ton regard ne s’est posé sur moi.

Mais je ne me suis pas inquiété.

Tu ne pouvais être que fier.

Quand le repas s’est terminé, j’étais le premier de ma table à me lever. Je t’assure, à ce moment-là, je ne voulais qu’une seule chose : savoir si tu pensais comme moi, savoir si tu étais fier de moi.

Je t’ai rapidement trouvé. Tu étais juste à l’entrée de la Grande Salle, avec tous tes amis, et un bon nombre de tes fans. A cette époque déjà, tu avais un grand succès auprès des filles.

Mais quand je me suis approché de toi, j’ai vite compris que tu n’étais pas du tout fier, au contraire.

Quand je t’ai appelé, c’est tout juste si tu as daigné te tourner vers moi. Et quand je suis arrivé devant toi, tu m’as vraiment blessé James.

Pour toi, ma maison n’était qu’une maison de « gros nazes », « de mauviettes » et de « pleurnichard ». Tu m’as regardé en souriant et tu m’as dit que c’était tout ce que j’étais. Je t’ai répondu que, au moins, je n’étais pas à Serpentard.

Et là, tu m’as dit que j’étais à Poufsouffle, et que c’était encore pire que tout ce que tu avais pu imaginer.

Puis t’es parti. Tu m’as laissé tout seul, avec tout ce que tu venais de me balancer à la figure.

Ce soir-là, j’ai pleuré en maudissant tout le monde, de toi en passant par le Choixpeau et en finissant avec Papa et Maman.

Ce jour-là, je t’ai détesté encore plus que le jour où on avait acheté la poupée de Lily.

Et pour dépasser ce niveau de haine, il fallait vraiment faire fort.

Et tu venais de faire très fort.

 

 - James. Mon frère. S’il te plaît… Arrête.

 - Ta gueule toi !

Tu vois, encore aujourd’hui, tu me déçois.

On est tous dans la cuisine de la maison, là où tout a commencé des dizaines d’années plus tôt. Aujourd’hui, j’avais dix-sept ans, toi dix-huit, Lily quinze. Nous avons tous grandi, nous avons tous mûri.

Tous sauf toi.

Tu n’as pas mûri.

Quand tu es sorti de Poudlard, tu as cherché du travail. Mais ton arrogance et ton narcissisme n’ont jamais plu aux patrons qui t’avaient embauché. Et toi, tout ce que tu as trouvé à répondre, c’est qu’ils ne savaient pas ce qu’ils perdaient en te virant.

Papa et Maman ont tenté de te résonner, par tous les moyens possibles et inimaginables. Lily aussi a essayé. Oh oui, tu ne sais même pas à quel point elle a essayé.

Parce que j’ai beau faire, j’ai beau essayer d’être un frère présent et attentionné envers elle, je n’ai jamais réussis à t’effacer de son esprit.

Malgré tout ce que j’ai fait, et que je fais encore aujourd’hui, et tout ce que toi, tu as fait, et fais encore, tu restes toujours son frère préféré.

Mais là, aujourd’hui, c’est terminé.

Tu es encore venu pour réclamer de l’argent, parce que tu viens encore de te faire virer. Mais cette fois, Papa n’a pas voulu. Il en a marre de te voir trainer toute la journée à la maison parce que tu n’as pas de travail. Il en a marre que tu lui réclames de l’argent parce que tu n’es pas assez responsable pour en mettre de côté.

Il en a marre de toi, tout simplement.

Et Maman aussi.

Ils tentent encore une fois de te remettre les idées en place, mais tu rejettes tous leurs conseils, ta fierté ne supportant pas leur autorité.

C’est d’ailleurs pour ça que tu t’énerves en ce moment-même. Tu cries, sur Maman, sur Papa, sur Lily. Quand j’ai voulu intervenir, tu m’as crié dessus aussi. Mais moi, c’est pas grave, j’ai l’habitude.

Depuis des années, nos relations se détériorent et deviennent chaotiques. Nos disputes deviennent de plus en plus brutales et violentes et généralement, c’est toi qui gagnes. Tu as toujours été plus fort que moi.

Et là, tu cries encore, sur Lily, parce que malgré ta colère et ta haine, elle a essayé de te calmer. Et tu lui cris dessus. Elle tente de protester, elle continue à tenter de te raisonner. Je sens ta haine monter et j’ai soudain peur pour Lily. J’esquisse un geste pour l’éloigner.

Et tu dérapes.

Le bruit du coup semble résonner pendant des heures dans le silence qui est tombé comme une chape de plomb. Lily est au sol, le coup l’a déséquilibré et elle est tombée.

Et moi, je vois rouge.

Je t’attrape brutalement par le col de ta chemise et je te plaque contre le mur de la cuisine.

Et là, je me sens fort.

Pour une fois, je me sens fort face à toi.

La haine que tu m’inspires décuple mes forces et le coup part tout seul. Ton nez saigne. Deuxième coup. Je te hurle dessus, te balançant tout ce que les autres n’ont pas osé te dire. Troisième coup. Tu t’effondres par terre, à mes pieds. Je continue à hurler. Papa et Lily tentent de m’éloigner de toi, mais je résiste et je continue à hurler. Je te crie tout ce que j’ai sur le cœur.

Je te crie mon incompréhension, l’attention que je te demandais, le regard fier que je voulais te voir poser sur moi.

Et finalement, je me calme. Papa et Lily me lâche et je réalise que tu t’es relevé et que tu t’appuies sur le mur.

Je sors alors ma baguette et l’agite en un sortilège informulé. Quelques secondes plus tard, tes affaires sont dans la cuisine.

Toi, tu ne me quittes pas des yeux. Je crois que tu es surpris que je sois parvenu à placer mes coups.

Papa s’approche de toi et te relève. Tu crois qu’il t’aide, tu me fais un sourire satisfait. Maman soigne ton cocard et ton nez en quelques sortilèges et tu me regardes encore avec cet air victorieux.

Mais en fait, tu ne te rends pas compte que tu as perdu. Tu n’as jamais étudié les visages de Papa et Maman d’assez près pour te rendre compte du changement.

Papa a les mains qui tremblent et les sourcils froncés. Maman pince les lèvres et ses yeux évitent de se poser sur les tiens.

Mais toi, tu ne vois pas tout ça. Tu ne les as jamais trouvés assez à ta hauteur pour leur accorder un peu d’attention.

Mais finalement, quand Papa se plante devant toi, les bras croisés, le regard dur, tu commences à comprendre. Ton regard se pose sur tes valises, puis sur Lily, et enfin, sur moi.

Papa te parle, mais tu n’écoutes pas. Tu ne l’as jamais écouté de toute façon. Non, tu te contentes juste de me regarder. Il n’y a aucun regret dans ton regard, juste de l’incompréhension.

On se fixe comme ça un long moment, puis tu reviens sur terre quand Papa te fourre tes valises dans les bras et te dit de partir, immédiatement.

Tu es sonné.

Tu ne penses même pas à résister.

Tu te diriges vers la porte d’entrée et tu sors, sans un regard pour Maman, ou pour Lily, sans un mot d’excuse, sans un regard.

Tu sors, tout simplement.

 

Et tu vois, là encore, tu me déçois mon frère.

Note de fin de chapitre :

Et voilà, j'espère que ça vous a plu ! A vos reviews !

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