Bon, je traine cet OS depuis quatre mois... mais je pense qu'il est à maturation et j'espère que vous prendrez autant de plaisir à le lire que moi à l'écrire.
Ecrire sur Zacharia, c'est toujours un peu dur, parce que de base, le personnage est rasoir et antipathique. Et qu'il à fuit lors de la Bataille de Poudlard. Mais sans l'excuser, je suis sûre qu'on peut aimer un peu ce personnage, car on connaît tellement plus de "Percy" ou de "Zacharia" que de "Fred et George" dans la vie réelle ^^.
L'OS se passe quelques années après d'ailleurs mais je ne le considère pas comme de la Nex Génération.
Si tu repassespar là emiwyn , j'espère que tu aimerais cette fin !!
Bonne lecture
Boucler l’article pour le prochain numéro est cependant une nécessité. Zacharia sait que tous les journaux seront sur le coup et que plus d’un journaliste peut y laisser ses plumes. Il n’y perdrait pas son emploi mais sa réputation de journaliste serait entachée et nuirait à sa carrière. L’ancien Poufousffle ne se voit pas gribouiller du parchemin toute sa vie. A défaut de se distinguer dans la politique, il influencera la société sorcière au travers de la presse et de l’opinion publique. Un rédacteur en chef ou un directeur de journal a énormément de pouvoir, il l’a vite compris.
Le Ministère appartient maintenant aux vainqueurs, à ceux qui ont lutté durant la Bataille de Poudlard. Aux braves, aux forts et aux valeureux. A ceux qui n’ont cessé de croire en Potter, même durant l’année où ils avaient disparu avec ses acolytes.
Le monde de la politique, des relations internationales et des postes prestigieux ne cesseraient de lui rappeler sa fuite et curieusement, Zacharia a pris goût à ce travail. Il a le talent pour écrire, soulever les questions et points d’ombres. Son excentrique rédacteur en chef ne se lasse pas de ses articles et analyses des faits de sociétés, des réformes et propositions de lois.
La liberté de presse est maintenant sacrée et on l’accepte malgré lui dans le rang des journalistes inquisiteurs et pertinents. Bien avant le retour de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, le gouvernement de Fudge avait déjà la main mise sur La Gazette du Sorcier. Kingsley Shacklebolt, lui, a redonné ses lettres de noblesse à la presse dès son élection.
Zacharia cultive depuis longtemps le talent de soulever questions et points d’ombres. Etre payé pour critiquer et analyser la société d’après-guerre est quelque part ironique. On lui a si souvent reproché son caractère acerbe, à la limite de l’insolence durant toute son adolescence, qu’être reconnu pour ça aujourd’hui le surprend encore. Lui qui se voyait à la tête du ministère des relations internationales ou du Magemanot n’en rêve plus aujourd’hui.
Sa vie quasi moniale lui convient. L’adolescent imbu de lui-même a laisser place à un jeune homme plus réfléchi pour qui la gloire et les chimères de grandeur importe moins.
Le reste du temps, quand il n’est pas au journal pour débriefer avec son rédacteur en chef et qu’il n’arpente pas les salles ministérielles ou les meetings, Zacharia Smith le passe essentiellement chez lui. Son père et sa cousine Amelia lui rendent souvent visite. Il a aussi des lettes d’Ernie Macmillan, vieil ami de Poudlard mais son ami est lui aussi très occupé et il le voit régulièrement. Pas aussi souvent qu’Ernie le voudrait, d’après ses lettres, mais Zacharia ne s’en attriste pas. Revoir Ernie, c’est revoir les autres, Justin, Suzanne, Hannah qui ont peut-être étaient ses amis un jour. C’est la porte ouverte à d’autres personnes, qui, elles, lui demanderont des comptes, lui rappelleront dans la nuit du deux mai. Sa suite précipitée alors que tant d’autres de ses camarades sont restés. Lui avait été jusqu’à bousculer des premières années terrorisées.
Les lettres, c’est plus simple, plus gérable.
Puis il y a aussi les missives de Marietta Edgecombe avec qui il est devenu ami sans trop savoir comment. En Allemagne depuis presque un an pour sa formation de juriste, l’ancienne Serdaigle n’est pas envahissante. Zacharia est juste encore surpris d’avoir encore de ses nouvelles. A part une réputation de furoncle à Poudlard et Amelia Hathaway, ils n’ont pas grand-chose en commun. En dehors d’un peu de soutien moral après sa trahison envers l’Armée de Dumbledore, la Serdaigle ne lui doit pas grand-chose.
Ni Marietta, ni Ernie, ne lui parlent de la Bataille de Poudlard. Zacharia leur ait reconnaissant de ne pas aborder ce faux pas, de ne pas le juger pour ça.
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Des coups de sonnettes le font lever les yeux de son parchemin et Baskha miaule en regardant en direction de la porte. Le chat tigré saute de la chaise qu’il occupe et écoute, oreilles dressées, le son de la cloche.
Lissant son feston par habitude, Zacharia s’avance vers la porte et jette un coup d’œil au miroir pour vérifier s’il est présentable. Son père lui annonce toujours sa visite et Amelia l’invite le plus souvent chez elle, n’aimant pas le quartier moldu où il a choisi de vivre. D’autres visiteurs, il en a peu et ils sont le plus souvent indésirables.
« Tu ne revenais pas dans une semaine.
-Bonjour à toi aussi, Zacharia. Je t’ai écrit pour te dire que je rentrais plus tôt. Tu n’as pas eu ma lettre ?»
Le blond se décale pour laisser passer sa visiteuse. Sa capeline trempée par la pluie, Marietta Edgecombe s’empresse de rentrer.
« Je suis sur un gros article, j’ai un peu délaissé mon courrier.
-Oh, tu parles du détournement de fond des dons pour Saint Oswald ? ça fait déjà la Une de La Gazette. J’espère que tu relèveras le niveau. »
Zacharia prend la capeline de sa visiteuse et la suspend d’un coup de baguette près de la cheminée. Baskha renifle un instant les bottes de Marietta et retourne près du feu pour se réchauffer.
Une dizaine de minutes plus tard, tous deux sont installés dans le salon. Une bouilloire de thé sifflante sert le thé dans leur tasse.
« Finalement, je suis contente que tu ais renoncé à prendre un elfe de maison. Je ne suis sûre que ton chat ne l’aurait pas aimé. Il m’a l’air du genre jaloux. »
Amusée, la jeune femme regarde Baskha qui laboure à coups de pattes l’accoudoir du fauteuil de Zacharia. Le jeune homme tend le bras pour caresser le dos souple du chat tigré. Ronronnant, Baskha saute sur les genoux de son maître, au comble de la satisfaction. Zacharia continue de gratter le crâne du félin, appréciant la douceur de son pelage et la chaleur que ça lui procure.
Vivre avec un elfe de maison qui l’apprécie que par servitude lui parait le comble du ridicule quand il suffit de peu pour que Baskha l’aime sans conditions. Dépendre d’un serviteur pour le moindre de ses faits et gestes est aussi risible quand on est un sorcier.
« Granger a fini par me convaincre. Si les moldus sont autonomes sans magie, on doit y arriver. Puis le jour où les elfes de maison décideront de faire grève, je ne me retrouverai pas comme un cracmol devant mon garde-manger.
-Oh, ça serait drôle. Tu imagines tous les vieux croupons du ministère ou de la finance qui n’ont jamais rien su faire de leurs dix doigts sans baguette.
-J’attends ce jour avec impatience et je crois même que j’enverrais une lettre de félicitations à Granger. »
La bouche de Marietta s’étire en un sourire et elle pose sa tasse pour ne pas renversée son thé.
« Par Merlin, entendre ce genre de choses me manquait. Tu sais que mes collègues n’avaient pas la moindre once d’humour à Berlin. A part des blagues à deux mornilles. Tu la ressortiras à ma sœur j’espère !
-Pour quelle raison Marietta ? Je n’ai rien de commun avec elle.
- Plains toi que Juliet t’aime bien. Elle ne peut pas piffrer mes amis d’habitude.
-ça m’indiffère tu sais. Elle est… on n’a pas grand-chose à se raconter ! »
Zacharia se mord la langue. Juliet Edgecombe est à ses yeux futile et agaçante, bien que son ironie le surprenne parfois. Cette fille gâche son intelligence à passer pour plus frivole et capricieuse qu’elle ne l’est.
« Vraiment Zach’, j’espère que tu ne vas pas me planter. Je déteste les soirées surprises mais je sais d’avance que ma sœur m’en a organisée une. Et que si ce n’est pas déjà fait, elle t’a envoyé une invitation.
-Je n’irais pas Marietta.
-Si tu iras. Parce qu’on fête mon retour au pays et qu’en tant que meilleur ami, tu te dois de le faire.
-Cho Chang sera là elle aussi.
-Bien sûr Zacharia, mais j’ai envie de vous voir tous les deux… et en même temps. Ce n’est pas si je te forçais souvent à sortir.
-Amy est déjà là pour ça Marietta.
-J’imagine. C’est du Amelia Hathaway tout craché. »
Zacharia ne demande pas si les deux jeunes femmes se reparlent. La réponse cassante de Marietta répond à sa question et il commence à savoir que l’ancienne Serdaigle est rancunière. Le jeune homme a beau adorer sa cousine, il ne peut s’empêcher de la considérer comme responsable de leur amitié gâchée. Se mêler des affaires des autres ne lui a jamais réussi mais il en veut à Amy d’avoir manqué de lui faire perdre une de ses rares amies. Jongler entre Amelia, qu’il connaît depuis son enfance et Marietta, son amie de fraîche de date est parfois pénible.
Ils étaient bien, tous les trois à Poudlard lors de sa sixième année. Pour la première fois de sa vie, il se sentait intégré à un groupe et non pas comme le cousin d’Amy Hathaway ou l’ami arrogant d’Ernie Ernie Macmillan.
« Je viendrais, abdique Zacharia pour se rattraper. Mais ne compte pas sur moi pour en faire trop.
-Tu verras, ça ne sera pas si terrible que ça, assure Marietta. Les autres s’y amusent, pourquoi pas toi ? »
Le jeune homme en doute mais s’abstient de le dire. Il a de toute façon promis de venir et la carte enchantée de Juliet Edgecombe ne cesserait de lui rappeler la déception de Marietta s’il décidait de déserter. Le silence retombe et seul le crépitement du feu et les ronronnements de Baskha rompent le silence
« Tu veux rester pour dîner ? propose Zacharia. Il est presque dix-neuf… »
Le journaliste a une pensée pour son article, mais il éprouve malgré lui du plaisir à revoir son amie. Il y travaille depuis le début de l’après-midi et il a l’impression de ne pas avancer, ne cessant de raturer et réécrire les mêmes choses. Une pause sera la bienvenue et rompra un peu de ses habitudes.
« Tu n’avais pas du boulot ? s’étonne Marietta.
-Oh, ça attendra. J’ai besoin d’une pause, explique Zacharia, balayant la question d’un geste de la main.
- Syndrome de la page blanche ?
-Il y a de ça, avoue-t-il. Si je cuisine, tu pourras y jeter un coup d’œil et me dire ce que tu en penses."
Tout en faisant dorer un peu plus la viande et les champignons, Zacharia essaye de faire attraction du bruit de la plume raturant et gribouillant son parchemin. Il sait que son article est une ébauche mais que le fond est bon. Rien qui n’oblige Marietta à tout commenter ou raturer.
« Rassure-moi, je vais réussir à me relire ? demande t’il le plus indifféremment possible en versant un peu de crème fraiche dans la poêle pour finaliser leur repas.
-Tu veux que je te relise oui ou non ? Fais-moi un peu confiance Zach. »
Retournant à leur repas, le journaliste baisse la flamme.
« C’est prêt. Il y a plus qu’à servir. »
Dans son dos, il entend la jeune femme ranger plume et encrier et le bruit de la vaisselle entreposée dans un coin de la table.
« J’aurais su, j’aurais ramené du Kaffee Kuchen. C’est juste délicieux.
-ça ne se boit pas avec du café ça ? demande Zacharia en se servant de la salade.
-Pas que. Je t’en ramènerai la prochaine fois. Finalement, ça s’est arrangé avec ton père ? Vous ne vous étiez pas fâchés ? demande Marietta. »
Tout en continuant leur repas, Zacharia revient sur la dispute qui avait eu lieu des semaines plus tôt et sur son dénouement, avant de questionner à son tour son amie sur ses projets, maintenant qu’elle est de retour au bercail.
« Je vais passer au Ministère déposer mon attestation professionnelle et mon diplôme. J’aimerai faire une demande pour ouvrir mon propre cabinet dans le droit civique. Ou alors, en seconde option, viser un poste chez Garry et Griffin ou un autre cabinet spécialisé.
-Tu ne veux plus travailler au Ministère ?
-Non, j’ai pas mal travaillé avec des indépendants en Allemagne et je n’ai plus envie de travailler pour le Ministère. Les gens passent leur temps à guetter ses faux pas et on a beau dire, il reste de beaux restes d’opportunistes qui ont échappés aux procès d’après-guerre.
-Le ministère, c’est pourtant une histoire de famille ? s’étonne Zacharia.
-Chez toi aussi, lui rappelle Marietta. Rien ne nous oblige à suivre les pas de nos parents. Tu n’es pas de mon avis ?
-Si, si. »
La jeune femme pose sa fourchette et le regarde fixement. Sentant venir la question, Zacharia s’essuie le coin de la bouche d’un air détaché. Il a toujours soigneusement évité la question de son choix professionnel.
« C’est pourtant toi qui a refusé ce poste d’assistant ? Et qui a postulé dans plusieurs journaux.
-Je n’ai jamais eu très envie de bosser au Service des échanges commerciaux à l’International. Puis Ernie a bien plus besoin de poste que moi. »
Marietta ne lui répond pas, ses yeux gris le fixant toujours. Le suçacide ne passait pas, comme pour reprendre la nouvelle expression à la mode.
« Mon père ne comprend pas que je veuille tenter autre chose. Il devrait pourtant. Presse et politique sont indissociables. En fait, il aurait fait l’effort de comprendre si j’avais essayé mais j’ai préféré laisser cette chance à Ernie. C’est quelqu’un de méritant. Et c’est mon ami.
-Ernie McMillan serait quand même rester ton ami tu sais. Ce n’est pas un arriviste qui a trainé avec toi toutes ses années pour la popularité ou la reconnaissance.
-Bien sûr que je le sais. C’est bien pour ça que j’ai proposé sa candidature.
-Et il t’accorde un passe-droit pour pas mal de tes interviews. Tu y gagnes aussi, au final. »
La suspicion a disparu du visage de Marietta. Ce demi-mensonge semble lui convenir, comme à son père et à Amelia. Les autres, ces mêmes autres qu’il catalogue et juge selon leur attitude lui importe peu. Le visage ovale de son amie se détend et la commissure de ses lèvres se plissent en un sourire détendu. La conversation reprend d’un ton plus léger tandis que Baskha arrive dans la cuisine, miaulant en direction de la table. Le reste du repas se passe de façon agréable. Le journaliste en oublie la pression de l’article.
La nuit est bien avancée quand les dernières traces de saleté disparaissent de la vaisselle. Une légère pluie tombe dehors et Marietta attache sa capeline verte.
« Merci pour l’invitation. La prochaine fois, tu viendras chez moi. Ça sent encore la peinture et les cartons trainent ici et là. Mais c’est sympa comme coin. La maison est un peu isolée mais j’aime bien avoir la vue sur le bois plutôt que chez mes voisins.
-On dirait une description de polar. La paisible petite maison qui va être d’une histoire de meurtre ou de disparition.
-Tu devrais faire critique littéraire sur ton temps libre
-Hors de question. Je n’ai pas envie de me ruiner les neurones sur l’énième mort de charmante épouse d’un sorcier trop parfait pour être honnête, rétorque cette fois Zacharia avec sérieux.
-Ecris en un dans ce cas. Eblouie nous de ton talent. »
Zacharia ne répond pas. Les questions de Marietta plus tôt dans la soirée sur ses choix professionnels lui reviennent. L’ancienne Serdaigle a déjà la main sur le clenche quand les mots franchissent malgré lui ses lèvres. Si Marietta ne le comprend pas, personne ne le pourra. Il en a la certitude.
« Tu crois que je suis un bon ami ? »
Marietta ne lui répond pas mais le regarde fixement.
« ça veut dire quoi cette question Zacharia ? Tu nous fais une crise existentielle ? »
Derrière le ton moqueur de la rouquine, il perçoit une inquiétude.
« Réponds juste à ma question. Est-ce que je suis un bon ami ?
-La majorité des gens dirais que tu es exécrable et égoïste.
-Et ça veut dire ? »
Droit comme une baguette de saule, le blond chercher une réponse dans l’expression, le regard de son amie. Cette question le taraude de plus en plus, quand il entend ses collègues commenter leurs soirées passées au pub ou qu’ils les voient si soudés au journal ou dans les conférences. Le fossé entre eux le renvoie à son propre isolement. Solitude qu’il a lui-même soigneusement entretenue, prétextant d’abord ses études puis le rejet auquel il est de toute façon habitué. Alors à quoi bon tendre la joue pour mieux se faire gifler ?
« ça veut dire que tu peux être égocentrique et cynique et parfois, sans t’en rendre compte, totalement altruiste.»
Zacharia ne répond pas et réagit à peine quand Marietta pose sa main sur sa joue. Il la dépasse d’une bonne tête et elle est obligé de se mettre sur la pointe des pieds pour le regarder.
« Tu sais quand je t’ai remarqué pour la première fois ? Je veux dire, vraiment remarqué ?
-Quand j’ai plombé le beau discours de résistance de Potter et Granger ?
-Non. Tu t’en souviens peut-être : une fois, juste après que j’ai repris les cours, Hannah ou Susan s’est moqué de moi. Tu la suivais de près et tu t’es arrêté un instant, comme si tu voulais me dire quelque chose. Comme si tu voulais rattraper la vacherie de ta copine. C’est l’impression que j’ai eu et j’ai eu raison, non ?
-Je trouvais abusé leur acharnement. Si ça n’avait pas été toi, ça aurait été quelqu’un d’autre. Moi j’ai tout de suite compris que tu accordes plus d’importance à la carrière de tes parents qu’à une révolte d’adolescents, rétorque Zacharia, comme s’il énonçait un fait incontestable.
-Tu vois, ça t’arrive d’être autre chose qu’un type rasoir et blasé, souffle Marietta. On fait la paire à nous deux je pense. Même aujourd’hui je reste la fille qui plombe l’ambiance. »
La rouquine dépose une bise sur sa joue et Zacharia se sent légèrement rougir.
« Ne te pose pas trop de question Zach. Sois juste toi-même. Bonne nuit. On se revoit bientôt. »
Marietta retourne vers la porte et cette fois ci, elle se ne retourne pas avant de la refermer.
Finalement, le monde n’avait pas vraiment changé depuis Poudlard. Il y avait lui, les autres, qu’il catalogue à la première impression et quelques exceptions.
Mais il y avait Marietta Edgecombe. Cette amie unique et inclassable.
N'hésitez pas à commenter, vous aurez le droit à un sourire de Zacharia ^^.
Le Kaffee Kuchen est une friandise allemande pour les gourmands et curieux ^^.