Petite, Molly aurait innocemment acquiescé si on l’avait traitée de fille de joie. Molly était joyeuse, tout le monde le savait, alors pourquoi pas ?
Depuis qu’elle embrasse Arthur Weasley ; depuis qu’elle couche, comme on dit, elle comprend cependant le sens désagréable de l’expression.
Ses idiots de frères veulent la défendre en menaçant Arthur. Il vient la voir et affirme :
— Ils ne me font pas peur.
Molly est sceptique. Fab’ était président du club de Duel, et Gid’ aura au moins douze ASPIC.
— Je n’ai pas peur parce que je sais que tu saurais me défendre contre eux.