Tous les personnages sont à mwâ, ahahahahahahah ! Pourquoi, non ? Comment ça ils sont à J.K Rowling ? Pourquoi tant de haineuuuh ? Et si je lui laisse Pettigrow ? Comment ça elle les veut tous ?
AUS’COUUUURS T-T !
ou Hanita, chasseuse de Maraudeurs.
Très chers lecteurs ! Je me présente, Noreenn, créatrice de talent smile colgate blancheur :D Voici ma première fiction, Ladruncoli ( qui signifie Maraudeurs en italien ), et j’espère juste que vous l’apprécierez.
Voici donc Ladruncoli
Ou Hanita, Chasseuse de Maraudeurs :
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Prologue ;
Ou comment pendre Peter Pettigrow.
Il est là. Juste là, en face de moi. Sans bouger, il me regarde. Il me regarde moi ! Je me retiens à grande peine de lui sauter dessus en hurlant : « Enfin ! Je suis la reine du monde ! » parce que je suppose que même dans un rêve, ça fait mauvais genre. Mais il est aussi beau que sur tous ces dessins ! Aussi beau que je le voulais, totalement comme je l’imaginais, c’est à dire sombrement séduisant.
Oh, mazette ! Et si Remus est aussi beau que ça ? Ils sont pas comme James, eux ! Ils sont pas pris. Alors je pourrais peut-être…
Minute ! Mes yeux – extasiés devant l’objet de toute mon adoration – louchent alors dangereusement sur un bras – tout autant adoré – qui est pourtant enroulé, fermement d’ailleurs, autour d’une taille svelte. Quasi squelettique, même, la taille. Une taille de pouf blonde et peinturlurée comme une voiture volée.
Le choc.
« Non mais j’hallucine ! Mon propre rêve me trompe ! »
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Je m’appelle Hanita Mormegil.
J’ai seize ans, et toutes mes dents.
En tant que futur S, je profitais de mes chères vacances d’été dans ma non moins chère Provence française pour … me ruer sur mon ordinateur et dénicher chaque potterfictions valables.
Car oui, mesdames et messieurs, je suis une fan de l’univers d’Harry Potter ! Une fan de ce dernier, une fan de Hermione Granger, une fan des frères Weasley – sauf Percy ! toi, crève, j’te crache dessus ! Mais surtout, je suis une fan incontestée des maraudeurs ! Ces trois superbes et merveilleux jeunes hommes – et oui, Peter, j’lui crache dessus aussi – aussi beaux qu’insolites, j’en rêvais chaque nuit.
Je disais donc que, en ces vacances d’été, je m’ennuyais ferme lorsque je n’avais rien à lire. Et dans ces moments-là, je me plaisais à dessiner, ou bien à harceler ma mère pour qu’elle m’achète le tome six de Harry Potter, en anglais – puisque ces rosbif chanceux venaient de l’éditer ! – bien que je sois presque nulle en cette langue.
Et ce soir-là n’échappait pas à la règle. Assise sur mon lit, mon réveil indiquant les quatre heure du matin toutes rondes, je terminais de dessiner mes maraudeurs chéris munis de bombamousse – sans oublier un Queudver pendu en arrière plan. Je sentais le sommeil me gagner, si bien que sous mes yeux la feuille commençait à trembler, les personnages m’observant comme s’ils prenaient réellement vie.
« Super… » me disais-je, à voix haute. « J’hallucine, maintenant…J’ai rien bu, rien fumé. Ou si, peut-être un peu… Wow ! »
La tête me tournait, j’avais les yeux qui papillonnaient et, comme si mon dessin était en fait un portoloin, je me suis sentie tirée par le nombril, plus fermement qu’il ne l’aurait fallu dans un rêve.
« Mazette ! J’me suis trop droguée au Harry… »
Je me heurtais à présent à quelque chose de dur, de plat, qui faisait bourdonner ma tête un peu plus qu’avant. C’était froid, solide, certainement le parquet de ma chambre. J’ouvrais donc les yeux, prête à reprendre mon monologue et…C’est le choc. Je ne pouvais pas m’empêcher de beugler :
« Potter ! »
Voilà donc comment, en ce samedi matin, tout a commencé.
Comment je me suis retrouvée aplatie sur le sol d’un hall féerique, avec au-dessus de moi un visage bronzé, garni d’une chevelure épaisse, d’un noir de jais, indomptable.
Comment je me suis retrouvée devant un Potter, James de son prénom ; que j’avais tant de fois dessiné.
Comment je me suis redressée sous son air ahuri, pour apercevoir derrière lui un ange ténébreux, aux longs cheveux noirs, avec en bonus une poupée Barbie grandeur nature.
Comment, en clair, j’me suis retrouvée au temps des maraudeurs, à moitié à poil, dans ce que je pensais être un rêve merveilleux.
Je me trompais.
« Non mais j’hallucine ! Mon propre rêve me trompe ? »