Al labase c'était une fic (ma première) en plusieurs chapitre mais comme c'est pas très long je l'a met en OS!!!!
Bisou à tous et reviews svp!!!
Cela faisait un mois que Harry avait vaincu Voldemort et les cours venaient de se terminer pour laisser place aux vacances. Harry, Ron et Hermione allaient rester à Poudlard durant leurs vacances. En effet, le combat ultime contre Voldemort avait modifié leur vie à tout jamais : Harry avait enfin le plaisir de ne plus aller chez les Dursley, Ron avait perdu toute sa famille et Hermione également, tous tués par Voldemort et ses mangemorts. Les parents d’Hermione étaient morts pour ne pas vouloir révéler le quartier général de l’ordre alors qu’il ne savait rien même pas ce que c’était. Mais pour Lord Voldemort ce qui ne savent pas doivent mourir ou obéir. Les parents d’Hermione étant des moldus n’eurent pas le choix, ils furent torurés jusqu’à ce que mort s’en suive. Les parents de Ron, avec tous leurs enfants avaient été pris en embuscade chacun leur tour sauf Ron s’en était sortit.
Harry, Hermione et Ron avaient raccompagné leurs autres amis de Griffondor jusqu’à la gare de Pré-au-Lard. Sur le suai les adieux furent difficiles entre Ron et Parvati Patil, ils sortaient ensemble depuis Noël. En retournant vers Poudlard, les trois amis restèrent silencieux, ce silence de deuil et d’amertume. Hermione avait l’air mieux depuis quelque jour mais Ron il y avait toujours dans son regard cette note de tristesse. Ah, Ron son meilleur ami qui était pour lui comme un frère et Hermione…….. Il l’aimait tant, d’un amour si profond. Il n’avait jamais osé le lui avouer, de peur de brisé leur amitié.
Ce début d’été avait un goût étrange, un goût amer. Harry était heureux de ne plus retourner chez les Dursley mais voir la famille de Ron détruite celle d’Hermione également était dur de ce l’avouer.
C’était un début d’été sous le signe du deuil.
Quelque jour après la fin des cours, Harry proposa à ses amis d’aller avec Hagrid à Pré-au-Lard, ce dernier devant acheter de nouveaux engrais pour son jardin. Ce fut Ron qui répondit le premier :
- Non, je n’irai pas moi. Je dois écrire une lettre à Parvati elle me manque tant tu sais, répliqua Ron. Il aimait beaucoup Parvati, ils étaient ensemble depuis le bal de Noël et formé un très beau couple.
- Eh bien moi, je viens avec toi Harry. Il faut que je m’achète de nouveau parchemin et de l’encre. Répondit Hermione qui n’avaient ni besoin d’encre et de parchemin, elle voulait simplement passer un peu de temps avec Harry sans Ron.
- C’est cool alors, par contre il faut y aller Hagrid m’a dit qu’il partira vers 11 heures et il est déjà 10 heures 30 donc il faut y aller, dit Harry très heureux qu’Hermione vienne avec lui et qu’il n’y ait pas Ron.
Harry et Hermione sortirent donc de la salle commune de Gryffondor pour rejoindre la cabane de Hagrid dans le parc. En chemin, ni Hermione, ni Harry ne parla. Ils étaient tellement plongés dans leur pensée en pensant à l’un, l’autre qu’il ne remarquèrent pas qu’aucun des deux ne parlaient. Seulement arrivés dans le parc ils remarquèrent, tout de même, une chose étrange… Des banderoles noires flottées au-dessus d’eux. Ils se regardèrent en sachant très bien que ni l’un ni l’autre ne savaient pourquoi, ces morceaux de tissus étaient là a flottés dans les airs. Ils continuèrent à marcher jusque la cabine de Hagrid ne cessant de regarder autour l’étrangeté de la chose. Quand ils furent arrivés devant la cabane de Hagrid, ils n’eurent pas le temps de frapper que la porte s’ouvrait devant eux et le professeur Dumbledore sortit de la cabane du demi-géant.
- Bonjour professeur, dirent en chœur Hermione et Harry.
- Oh bonjour les enfants ! Répondit le directeur en s’apercevant que le mot qu’il venait d’utiliser pour les qualifier n’était pas très approprié en voyant le regard offusqué de ses deux élèves. Il se reprit. Ah désolé….. Dit-il en souriant avec un regard remplit malice. Si je dis bonjour les amoureux cela vous convient-il mieux ?
A ces mots, les deux élèves se sentirent rougir l’un l’autre. Ils se posaient tous deux la même question, pourquoi le vieil homme les avait appelés comme ça ? Harry se disaient, il connaît mes sentiments envers Hermione et Hermione les connais-elles ? Hermione elle se posait la même question envers Harry. Dumbledore remarqua que les deux adolescents du haut de leurs 17 ans restaient très timides envers ce sujet. Il ria ensuite en voyant qu’Hermione et Harry trouvaient leurs pieds soudain très intéressants. A ce moment là, Hagrid sortit de la cabane et fit un clin d’œil à Dumbledore en évitant de se faire voir par les deux jeunes. Puis le directeur reprit la parole :
- Votre ami Ron n’est pas avec vous ?
- Non, il devait écrire une lettre, répondirent Harry et Hermione d’une même voix en ne pouvant s’empêcher d’éclater de rire en pensant à leur ami fou de sa petite copine.
- Ah ! Il écrit donc à mademoiselle Patil, en conclut le directeur. Et bien je m’en vais à plus tard.
- Attendez professeur ! Dit soudain Hermione.
- Oui, Hermione ?
- Pourquoi toutes ces banderoles noires ? Reprit-elle.
- Pour le deuil, Hermione. Pour toutes les personnes que nous aimions et qui on étaient assassinés par Voldemort aussi bien durant la première que le deuxième guerre, répondit-il à Hermione en regardant soudain Harry qui pensait à ce moment même à ses parents, la famille Weasley, Lavande, Cho, le professeur Trelawnay, Dean et tous les autres…. Bon je vous laisse avec Hagrid, à plus tard.
- A plus tard professeur, répondirent Harry, Hermione et Hagrid.
Ils passèrent un bon moment, avec Hagrid à Pré-au-Lard, ils avaient beaucoup rient surtout au moment où ils étaient dans le magasin de vêtements féminin et qu’Hermione essaya une robe et quand elle sortit de la cabine elle était tombait de tout son long en se prenant les pieds dedans. Hermione était furieuse que Harry se moque d’elle mais elle avait sa revanche lorsqu’elle lui fit peur en se rendant invisible laissant croire à Harry qu’elle avait disparu puis elle avait réapparu et il l’avait disputée d’une telle force quand n’osé que l’embrasser sur la joue pour se faire pardonner. Et il lui avait pardonné appréciant énormément son dernier geste.
A 19h, Hermione, Harry et Hagrid se rendirent dans la grande salle pour aller dîner. La grande salle paraissait immense avec presque personne. Durant le repas, Dumbledore rompit le silence en premier, car un silence tendu régnait dans la salle :
- Monsieur Weasley, pourriez-vous faire-part de votre projet pour les vacances dont nous avons discuté cette après-midi ?
- Euh oui professeur, bien sur, répondit Ron soudain gêné.
- Merci, répondit Dumbledore.
- Donc Harry, Hermione je vais passer les vacances chez Parvati
- Ah ! Dirent en chœur les amis avec un sourire malicieux au coin des lèvres.
- Ca ne vous dérange pas ? s’inquiéta Ron.
- Mais bien sur que non ça ne nous dérange pas Ron voyons, répondit Harry pour rassurer son ami.
- Oui Ron vas-y, s’empressa d’ajouter Hermione en pensant qu’elle allait pouvoir parler à Harry tranquillement (c diabolique vous trouvé ?).
- Merci beaucoup, renchérit Ron.
Le reste du repas se passa dans la bonne humeur et à 20 heures 30 les trois amis dirent bonsoir à Dumbledore et Hagrid, puis ils partirent dans la salle commune.
Le lendemain, Harry et Hermione était les premiers réveillés comme souvent, Ron étant célèbre pour sa paresse. Ron se leva à 10 heures 30 et il partit à 11 heures, grâce à la poudre de cheminette, chez Parvati.
- Au revoir ! Bonne vacance à vous quatre, dit Ron en s’adressant à Harry, Hermione, Hagrid et au professeur Dumbledore.
- Au revoir Ron ! Bonne vacance à toi aussi répondit la petite assemblée.
Et il partit. Harry et Hermione allaient être bien seul pendant deux mois mais chacun espéraient qu’il se passerait quelque chose. Ron y pensait également, il avait remarqué, depuis longtemps, tout comme Dumbledore, le lien qui unissait ses deux meilleurs amis. Dumbledore sourit en voyant ses deux élèves et leur dit :
- Harry, Hermione comme vous allez être seul dans la salle commune de Gryffondor je vous ai transformé la salle commune en quelque chose de différent, comme cela vous pourrez dormir dans la même pièce. En disant cela le professeur lança un regard à Hagrid qui comprit aussitôt et tous deux s’éclipsèrent laissant les deux amoureux à leur pensés. Ce fut Harry qui parla en premier quand Hagrid et le directeur partirent :
- Hermione, je …dois te...
Depuis le départ de Ron, Harry et Hermione ne se parlaient plus, ils s’évitaient. Elles passaient le plus clair de son temps dans la bibliothèque et lui à s’entraîner seul au quiddich ou étudier de nouveaux plans d’attaque pour l’équipe. En faite, ils s’évitaient non pas à cause du départ de Ron mais à cause de Harry. Après son départ il avait froissé sa bien-aimée là laissant elle abasourdi au début et complètement déprimé ensuite, et Harry lui il n’allait pas mieux il était autant déprimé qu’Hermione ne savant pas pourquoi il lui avait dit cela… Pourquoi ? Etait la question que tout deux se posaient sans avoir de réponse. En plus d’être déprimée, Hermione en voulait à Harry au plus profond d’elle-même mais pourquoi avait-il dit cela ?
=========================FLASCH BACK============================
Ron venait de partir et Dumbledore et Hagrid avaient quitté la grande salle, il ne restait plus que Harry et Hermione seuls.
- Hermione, je……… dois te. …......... parler, avait-il dit d’une voix mal assurée.
- Oui, Harry ? Qui a t-il ? Lui avait demandé Hermione.
- Je voulais te dire que j’en avais assez que l’on croit qu’il se passe quelque chose entre-nous alors qu’il n’y a rien. Tout le monde semble penser que tu as des sentiments pour moi et moi pour toi. C’est idiot!? Tu ne trouves pas? avait alors dit Harry qui avait pris un ton ferme pour éviter de perdre son sang-froid et lui avouer qu’il l’aimé.
- Quoi!? Avait répliquait alors Hermione. Euh…. Oui c’est vrai, c’est idiot. Pourquoi tout le monde pense cela? dit-elle avant de partir en courant et éclatant en sanglot arrivé dans la salle commune qui avait été spécialement refaite pour elle et Harry.
Quand elle arriva dans la salle commune, elle l’a regarda émerveillé et une voix avait dit :
-Tant que la colère sera en ton coeur, la chambre ne sera plus une mais deux demeures.
A ce moment là, la salle commune s'était divisée en deux chambres de chaque côté d’un salon, d’un foyer au bois crépitant au même rythme que la transformation de la pièce. Hermione remercia la voix de sa compréhension et s’installa dans la pièce à droite du petit salon. Quand Harry revint dans la pièce, Hermione ne l’entendit pas entrer. Elle s’en rendu compte en entendant la voix dire à Harry :
- Harry tant que Hermione sera en colère contre vous cette pièce restera ainsi. Vous l'avez blessé... Réflichissez-y. Est-ce vraiment ce que vous vouliez?
Mais Hermione n'avait entendu que la première phrase de la voix et ne put savoir ce que la voix avait ensuite dit à Harry.
Plus tard, Harry s’en voulut. Et plein de culpabilité, il ne cessait de penser à elle, à Hermione, à sa meilleure amie, qu’il aimait depuis toujours et qu’il avait blessé au plus profond d’elle-même et il en était conscient.
==========================FIN DU FLASH BACK=======================
Il se passa dix jours ainsi; Hermione faisait tout pour éviter Harry. Ce dernier l’évitait, également, mais parfois, il essayait d’aller lui parler pour se faire pardonner. Mais dès qu’elle le voyait s’approcher, elle s’enfuyait en courant dans sa chambre ou chez Hagrid. Depuis ces derniers jours, Hagrid écoutait ses deux élèves, ses deux amis, se confiaient à lui. Hermione disant à Hagrid qu’elle ne savait pas pourquoi il avait réagi ainsi, elle disait aussi que c’était peu être parce que Harry valait mieux que de finir avec une sang de bourbe mais il n’y avait qu’à ces mots que Hagrid prenait la parole pour la contre-dire et lui dire que Harry s’il jugeait qu’elle n’était pas assez bien pour lui était un parfait idiot parce qu’elle était une fille merveilleuse, intelligente et belle. Mais le reste du temps le demi-géant restait silencieux et l’écoutait, ce qui arrangeait Hermione qui préférait parler que d’entendre parler. Harry, lui tenait, un autre discours auquel Hagrid répondait. Ce dernier lui disait qu’il avait raison en disant qu’il était un imbécile d’avoir dit ça à Hermione et que la seule façon de se faire pardonner était encore d’aller lui parler. Harry disait aussi qu’il se demandait pourquoi il avait dit ça à Hermione, il s’en voulait tant.
Seulement, quelques jours plus tard il eu l’occasion de lui parler. Il avait fait en sorte qu'elle ne puisse s'enfuir en lançant le sort de "collaporta" à chaque porte de la pièce en faisant attention de ne pas attirer l'attention de Hermione qui lisait, en lui faisant penser qu'il s'en allait. Avant d’entrer dans sa chambre, elle se retourna pour voir si Harry était bien sortit mais voyant qu’il était revenu dans son fauteuil, elle tendit la main pour tourner la poignée mais celle-ci était fermée. Elle essaya avec différent sortilège pour ouvrir mais aucun ne marcha. Elle se retourna vers Harry et lui dit :
- Pourquoi as-tu verrouillé la porte ?
- De quoi parles-tu ? lui répondit Harry d’un ton désinvolte.
- Tu sais très bien de quoi je parle! Cette porte a été verrouillée avec un sort que seul le sorcier l’ayant jeté peut rompre, lui répliqua t-elle avec une note de colère dans sa voix.
- Oui c’est moi et alors je veux te parler, avoua Harry.
- Tu veux me parler ? Et bien figure-toi que moi je n’en ai pas du tout envie, se défendit Hermione. Et elle partit vers la porte de sortie et revenant vite en hurlant, maudissant Harry.
- Ca ne sert à rien d’hurler personne ne pourra t’entendre, j’ai laissé un sortilège d’insonorisation sur la salle, répondit Harry au hurlement d’Hermione qui cessèrent aussitôt. Ecoute Hermione, je suis vraiment désolé de ce que j’ai dit le jour où Ron est partit mais j’étais paniqué j’avais peur que tu découvres mes sentiments et que toi tu n’en aies pas pour moi, continua Harry sur un ton lasse. Mais Hermione, quand la voix m’a dit que je t'avais profondément blessé, je me suis alors rendu compte de mon erreur. Je t’aime et je ne veux pas te perdre.
- Harry tu m’as déjà perdu, tu m’as fait énormément de mal ce jour-là, je t’aimais tellement que quand tu as dit cela c’est comme si les moments avec toi n’existaient plus, comme si je ne t’avais jamais connu, j’ai tellement eu mal, reprit Hermione.
- Tu m’aimais ? Mais aujourd’hui, ce que j’ai dit à changé tes sentiments ? interrogea Harry inquiet.
- Peut-être que oui, peut-être que non, je n’ai pas envie de t’en parler, répliqua froidement Hermione.
- S’il te plait pardonne moi………… supplia Harry.
- Comment pourrais de pardonner ? demanda Hermione dans une parfaite confusion.
Il s’approcha d’elle, mais elle recula puis elle le gifla. Elle le gifla si fort que des larmes apparurent sur les beaux yeux verts de Harry.
-Harry, je suis désolé c’est trop dur de te pardonner, lui dit-elle sur un air mélancolique.
-Mais……….
-Laisse-moi parler, le coupa t-elle en mettant en doigt sur ses lèvres. Imagine : Tu viens de découvrir que tu es sorcier alors que tes parents sont des moldus. Là tu apprends énormément de chose sur un monde que tu ne connaissais pas. Tu apprends entre autre qu’un mage noir, avant ta naissance à terrifié tout ce monde et que plus tard après ta naissance, un enfant l’a déchu. Cet enfant personne ne savait ce qu’il était devenu et puis tu n’y pense plus. Le jour J, le jour de la rentrée, ta première année dans le monde de la sorcellerie, vient. Tu montes dans un train, en passant par une voie qui se trouve entre les quais 9 et 10, c’est invraisemblable pourtant ça existe. Dans ce train tu ne connais personne. Au bout d’un certain temps tu fais de nouvelle connaissance et tu pars à la recherche d’un crapaud. Arrivé dans un compartiment, là tu les voies, les plus beaux yeux émeraude que tu n’es jamais vu le regard le plus profond, tu t’y plonge un moment et tu tombes sous le charme d’entrée de jeu. Quelques secondes plus tard, tu apprends que c’est le sorcier dont tout les livres parlent, celui qui a survécu et il devient ton meilleur ami. Durant plus de six ans, tu combats Voldemort à ses côtés pour finir par le vaincre. Tu es heureux pourtant, tu souffres, tu aimerais tant lui avouer tes sentiments mais tu ne peux pas à cause de ton autre meilleur ami qui pourrait le prendre très mal... et il y a aussi la peur d’un monde inconnu. Et puis, vient le jour que tu attendais tant. Ton meilleur ami est parti et tu vas pouvoir rester avec la personne que tu aimes et tu espères. Et au moment où tu y crois le plus cette personne te dit « Je voulais te dire que j’en avais assez que l’on croit qu’il se passe quelque chose entre-nous alors qu’il n’y a rien. Tout le monde semble penser que tu as des sentiments pour moi et moi pour toi. C’est idiot!? Tu ne trouves pas? ». A ce moment là, tu as l’impression que tu es aspirée par l’enfer et que tu as tout perdu, ensuite tu fermes ton cœur, à tout jamais peut-être ………. ? Plus tard, ton meilleur ami vient s’excuser et te demande te pardonner, mais comment pardonner quelqu’un que tu as toujours aimé… et qui t'a profondément blessé...
-Oh Hermione je suis vraiment désolé, mais je t’aime tant et depuis si longtemps, répliqua Harry. Hermione tu es mon rayon de soleil, ma seule raison de vivre, de survivre aux séquelles de cette guerre qui m’a pris ma famille, mes amis, ma deuxième famille qu’étaient les Weasley et si aujourd’hui tu m’oublies, que tu me fermes ton cœur, je ne le supporterais pas... Comme l’eau qui ruisselle tu es souveraine de mon cœur.
A ces mots, Hermione ne pouvait plus lui en vouloir, il lui avait prouvé qu’il l’aimait vraiment, sous le choc de l’émotion, elle s’effondra et Harry eu juste le temps de l’a rattraper. Ensuite, elle se mit à pleurer, il l’a prit dans ses bras et il l’a berça longtemps. Après plus d’une heure passée ainsi sans parler, il se rendit compte qu’elle dormait. Il l’a souleva et l’a porta jusqu’à sa chambre, après avoir enlevé le sort qui verrouillait les portes. Il l’a déposa sur son lit et l’observa dormir pendant longtemps. Lorsqu’il allait fermer le baldaquin, elle se réveilla.
-Harry ? demanda Hermione
-Oui ? répondit celui-ci très surpris de l’entendre. Il n’avait pas vu qu’elle était réveillé.
-Je te pardonne, elle était maintenant assise à genoux pour avoir sa tête en face de celle d’Harry. C’est moi, qui aurait du m’excuser. J’ai été idiote de réagir ainsi, mais j’étais tellement anéanti.
-Hermione écoute-moi, enchaîna ce dernier. Je t’aime, je t’aime à tel point que s’il devait t’arriver quelque chose je n’y survivrai pas. Maintenant, si tu estime que je ne……….
Mais il ne put finir sa phrase car Hermione venait de s’emparer de ses lèvres. Puis elle baissa la tête après être devenue toute rouge.
-Désolé, commença t-elle, je……….
Mais cette fois-ci, c’est elle qui n’eut pas le temps de finir sa phrase, Harry venait de s’approcher dangereusement d’elle et il commença à l’embrasser. Elle se laissa tomber sur le lit et ils s’embrassèrent ainsi durant longtemps. Harry venait de retirer le top d’Hermione laissant apparaître ses formes généreuses tandis qu’Hermione retirait le sweat de Harry. Il avait un corps d’athelètes. Du haut de ses 17 ans, Harry était devenu un jeune homme extrêment musclé et mignon grâce au quidditch qui avait beaucoup changé son corps. Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, sans aller plus loin.
Le lendemain, Harry se réveilla le premier. Il observa sa belle durant longtemps. Lorsqu’elle se réveilla, il lui dit :
-Bonjour belle ange.
-Bonjour mon amour, lui répondit-elle, je t’aime.
-Moi aussi je t’aime. Mione, quand tu disais que tu m’aimais depuis que l’on s’était rencontré il y a six ans c’était vrai?
-Oui, c’est vrai, avoua t-elle en rougissant, avant même de savoir ton nom, je t’aimais.
-Voilà une bonne nouvelle. Au moins toi, tu ne m’aimes pas parce que je suis célèbre, osa t-il, mais ce fut une très mauvaise idée.
-Quoi ? hurla Hermione. Tu pensais que je t’aimais juste parce que tues célèbre? Si c’est comme ça.
Elle se leva furieuse du lit, et se dirigea vers la salle de bain. Mais Harry étant très rapide arriva devant la porte avant-elle et lui barra le passage. Il l’observa et se dit qu’elle était encore plus belle lorsqu’elle était en colère.
-Mais ce n’est pas ce que je voulais dire mon ange. C’était même un compliment. C’est vrai toutes les filles que je connais savent que je suis célèbre alors que toi tu m’as dit que tu m’aimais avant même de savoir qui j’étais. Et je te crois parce que j’ai confiance en toi et en ta franchise et aussi parce que je t’aime.
Il l’embrassa de nouveau en serrant très fort ses hanches. Soudain, une voix s’éleva alors qu’ils étaient encore en train de s’embrasser :
« L'amour y'a que ça qui compte, ne croyez en rien d'autre>>
Et la pièce redevînt, tout comme Hermione l'avait vu la première fois. Il n’y eut plus qu’une seule chambre avec un plus grand salon et une salle de bain. Ils regardèrent tous deux émerveillés par la beauté de la pièce puis une autre voix vînt les arracher de leur rêverie. Mais cette fois, une voix qu’ils connaissaient celle de Dumbledore :
« Vous voyez, ce n’était pas si difficile… »
Ils regardèrent autour d’eux mais il n’y avait personne. Ils surent alors ce que tout le monde ignorait et ce que tout le monde se posait comme question, ils eurent la réponse. Dumbledore savait où était leur élèves à quelle heure et avec qui, puis la voix s’éleva une nouvelle fois :
« Je sais où vous êtes et ce que vous faîtes que si je cherche à le savoir. Alors ne vous inquiétez pas je ne vous espionne pas. »
Et la voix disparue à nouveau. Harry et Hermione se regardèrent et se mirent à rire.
Septembre, était arrivé très vite ainsi que la dernière année de notre trio favoris.
Ron avait était heureux de voir ses amis enfin ensemble et heureux! Ils avaient tous trop perdu durant cette guerre! Ils avaient tous le droit à un peu de bonheur maintenant!
Lui et Parvati allaient se marier à la fin de l'année scolaire et tous étaient presque sur que Harry et Hermione en feraient de même.
Pendant six ans, six longues années ils ont formé le trio infernal et même si Ron était avec Parvati, en septième année rien n'avait changé... Ils étaient restés le trio infernal...
On aurait pu croire que Ron et Hermione se disputeraient moins mais ce fut une grossière erreur! Mais durant une seconde ils étaient fâchés la seconde d'après ils étaient à nouveaux les meilleurs amis du monde!
La guerre avait fait beaucoup de mal mais le temps de la paix et de la liberté était venue, il fallait en profiter!Profiter de chaque instant car chaque instant peut-être le dernier...
Même si la paix était revenue, il n'était pas rare que Ron ou Hermione fassent encore des cauchemars du jour de la grande bataille ou à d'autres horreurs de la guerre quant à Harry lui c'était des cauchemars parfois mais tous les matins, encore aujourd'hui, lorsqu'il se réveille une vive douleur lui transperce le cœur... Pourtant il n'avait reçu aucun sort en plein coeur... C'était son âme qui pleurait un peu, beaucoup, chaque matin, comme pour lui rappeler qu'ils avaient, eux, survécu.
Car il y a des blessures qui ne disparaissent jamais, qui laissent des traces au plus profond de l'âme... Des blessures plus profondes que des cicatrices...