Ma deuxieme fic celle-ci est peut-etre un peu moins bien que la premiere mais j'ai pris moins de temps pour l'ecrire en fait j'ai eu l'idée de l'ecrire en musique parce que on travail decu mais dites moi ce que vous en pensez
Au fond du café
J'ai bien trop à faire
Pour pouvoir rêver
Et dans ce décor
Banal à pleurer
Il me semble encore
Les voir arriver...
Marietta travaillait dans un pub remplis de mangemorts sur le chemin de traverse depuis la victoire de Lord Voldemort
Ce jour la, elle servait un verre a un homme lorsqu’un couple entra dans le pub. En les voyant elle ressentit une vague de bonheur naître en elle. La jeune femme avait des boucles brunes et des yeux caramel et l’homme avait des cheveux blonds presque blancs et des yeux d’un bleu glacé. Ils se tenaient par la main et souriaient a toutes les personnes présentent dans le bar. Les deux jeunes gens s’approchèrent de Marietta. Ils lui demandèrent une chambre pour passer la nuit. Lorsque Marietta les accompagna dans une chambre en piteuse état elle ne put s’empêcher de sentir mal a cause du bonheur qu’il émanait d’eux.
Ils sont arrivés
Se tenant par la main
L'air émerveillé
De deux chérubins
Portant le soleil
Ils ont demandé
D'une voix tranquille
Un toit pour s'aimer
Au coeur de la ville
Et je me rappelle
Qu'ils ont regardé
D'un air attendri
La chambre d'hôtel
Au papier jauni
Et quand j'ai fermé
La porte sur eux
Y avait tant de soleil
Au fond de leurs yeux
Que ça m'a fait mal,
Que ça m'a fait mal...
Moi, j'essuie les verres
Au fond du café
J'ai bien trop à faire
Pour pouvoir rêver
Et dans ce décor
Banal à pleurer
C'est corps contre corps
Qu'on les a trouvés...
Les deux amoureux passèrent la nuit a se regardé et a se dire « je t’aime » comme si c’était la dernière fois qu’ils se voyaient. Dans le silence de l’aube, une lumière verte vint éblouir la rue du chemin de traverse encore vide à cette heure, puis le ciel reprit sa couleur d’origine.
Quelques heures plus tard Marietta alla frapper a la porte de la chambre qu’elle avait louée la veille, mais elle ne reçus aucune réponse. Alors elle prit sa clé et entra doucement dans la chambre. Dans le pub, en bas, on entendit un bruit de verre briser et un cri perçant. Le gérant se rua à l’étage et trouva Marietta agenouillé au pied du lit, en larme. Sur le lit se tenaient Drago Malefoy et Hermione Granger, leurs doigts étroitement enlacés, leurs corps reposant sans vie. La jeune blonde insista pour se charger de leurs obsèques. Ce jour là, plusieurs personnes étaient venues et tous furent très étonnés de n’avoir jamais été au courant de la relation qu’entretenaient les deux défunts.
On les a trouvés
Se tenant par la main
Les yeux refermés
Vers d'autres matins
Remplis de soleil
On les a couchés
Unis et tranquilles
Dans un lit creusé
Au coeur de la ville
Et je me rappelle
Avoir refermé
Dans le petit jour
La chambre d'hôtel
Des amants d'un jour
Mais ils m'ont planté
Tout au fond du coeur
Un goût de leur soleil
Et tant de couleurs
Que ça me fait mal,
Que ça me fait mal...
Le temps passait, la vie était toujours aussi triste, Voldemort régnait toujours sur le monde des sorciers mais quelque part dans Londres une femme blonde souriait encore et ses yeux avaient retrouvés la flamme de bonheur et d’espoir qui brillait en eux avant la victoir du mage noir. Assise dans un grand fauteuil, elle racontait a ses deux enfants l’histoire de Drago Malefoy et Hermione Granger, deux personnes que tout opposait et, qui pourtant, on sut s’aimé alors que la vie perdait son sens. Grâce a eux, « Les amants d’un jour » comme elle aimait les appeler, Marietta n’oublia jamais que le bonheur n’est qu’éphémère, qu’il frappe a votre porte lorsque vous n’y croyez plus mais qu’il repart aussi vite qu’il est arrivé le lendemain.
Moi, j'essuie les verres
Au fond du café
J'ai bien trop à faire
Pour pouvoir rêver
Et dans ce décor
Banal à pleurer
Y a toujours dehors...
La chambre à louer...