ATTENTION, TRES IMPORTANT :
Avant toutes choses, je tiens à m’excuser de mon erreur. Je sais que mon histoire présente certains plagiats. Etant donné que je l’ai terminé il y a plus d’un an et demi et que je visite plus rarement maintenant ce site, je n’ai pas modifié mon erreur avant de recevoir un mail d’un modérateur.
Ainsi, je précise que le langage des elfes employé est emprunté à Tolkien. De plus, certaines phrases du chapitre 39 notamment proviennent du tome 6 de J.K.Rowling. Enfin, un paragraphe entier est emprunté à Balzac. Je pense que vous reconnaîtrez certains de ces éléments qui ne m’appartiennent pas. Encore une fois, je m’excuse de ce manque de respect à l’égard de ces écrivains.
Bonne lecture !
Un rayon d'automne inondait la pièce, une jeune fille de 17 ans était encore endormie paisiblement.
Depuis cinq jours elle avait repris les cours à l'école de magie : Poudlare. L'école n'avait pas fermée suite à la mort de Dumbledore lors de la fin de la sixième année de cette jeune fille.
Désormais, c'était le professeur Mcgonagall qui assurait la fonction de directrice de l'école. Une atmosphère de bien être et de confiance dominait chaque esprit des sorciers de ce monde depuis la mort de Voldemort l'été passé.
Le survivant était sorti indemne de cet éternel combat et put enfin vivre tranquillement sa vie et ses études pour devenir Auror.
Cette jeune fille encore allongée dans son confortable lit baldaquin profitait d'un appartement pour elle seule puisqu'elle avait été désigné préfet en chef de sa maison.
Mais elle devait partager sa luxueuse salle de bain avec son ennemi juré : Draco Malfoy !
Car lui aussi avait été nommé après avoir été innocenté de l'accident de Dumbledore. Il était, depuis ce jour, loué davantage de la part des Serpendtard mais encore plus méprisé des Gryffondors.
La jeune fille ouvrit un œil, puis deux, cligna des yeux et atterrit complètement à la réalité. Elle ignorait encore que cette journée allait lui transformer sa vie. Elle se leva, s'avança vers la salle de bain pour prendre une douche et s'habilla.
Elle s'approcha de la glace et vit un visage mûre, d'une jeune femme. Ses yeux étaient grands, en amandes et d'une couleur noisette pâle, une couleur d'automne. Ses joues étaient fines et ses pommettes bien dessinées, ses lèvres étaient rouges et soigneusement formées. De longs cheveux bruns lui tombaient sur ses minces épaules et ils étaient parsemés de soyeuses boucles.
Elle s'habilla simplement, tout en mettant en valeur ses belles formes féminines qu'elle assumait pleinement. Elle pétillait de fraîcheur et de naturel tout comme son âme.
Elle descendit les escaliers de marbres, se dirigea vers la Grande Salle pour prendre son petit déjeuner et s'assit à sa table auprès de ses deux amis qui avaient déjà engloutis pleins de tartines au beurre de citrouille.
- Salut vous deux ! dit-elle enjouée.
- Shaluh ! dit Ron, la bouche pleine de tartine suivi d'un étouffement face à la beauté matinale d'Hermione.
Il ne s'en été toujours pas remis du changement physique si réussit de sa meilleure amie.
- Ca va ? demanda Harry, amusé de la réaction du rouquin.
- Oh, ça peut aller. A part que je me suis toujours pas remise du fait que je fasse équipe avec ce foutu traître de Malfoy en cours de potion mais bon …
- Ne t'en fais pas, s’il te dérange tu lui jètes un sort, et je peux te faire confiance pour qu'il soit parfaitement réussit ! dit-il avec un sourire.
Hermione lui sourit à son tour tout en mangeant quelques tartines en vitesse.
- Bon, je ne tiens pas à être en retard en cour de potion, même si cela ne m’ait pas réjoui de retrouver Malfoy, donc dépêchez vous et on y va !
Ils descendirent en vitesse les étages et s'approchèrent de la salle des cachots, mais Hermione percuta quelqu'un et fut projetée violemment la tête contre le mur.
- Hé ! s'écria-t-elle en étouffant un petit cri de douleur et de surprise.
- Tu nuis à mon espace vital sale petite sang de bourbe ! cracha un grand blond au regard provocateur et froid.
- Malfoy ! cria-t-elle.
Elle ne put contrôler sa rage suite à l’éternelle insulte qu’il lui crachait et se jeta sur lui pour le frapper, mais il esquiva son coup et attrapa avec force son bras pour le tordre.
Mais avant qu'Harry et Ron n’aient put intervenir, le professeur de potion monsieur Slughorn les sépara et leur mit une heure de colle le lendemain à 17 heure à son bureau.
Hermione et Draco se fixèrent d'un regard de fureur et de haine démesurés, et s'assirent à côté – ils étaient bien obligés puisqu'ils faisaient équipe –
Le professeur expliqua ensuite le travail à faire qui se montrait très délicat, tous se regardaient, inquiets, tandis qu'Hermione affichait un air de confiance et fut toute excitée.
Elle commença à écrire toute les formules qu'elle avait en tête et alla chercher les nombreux ingrédients de la longue liste. Tout cela sous le regard dégoûté et exaspéré de Draco qui était passif.
- Mais faites attention ! Cette potion vous permettra d'éterniser un événement qui vous plaira, par exemple, un petit plaisir qui ne dure que une minute pourra vous sembler durer une heure grâce à cette potion, dit le professeur Slughorn, mais si vous en buvez une trop grande quantité, il peut y avoir certaines conséquences inattendues !
Hermione n'écoutait pas ce que disait le professeur et continuait sa potion qui était déjà bien avancée. Elle ignorait l'idiot à côté d'elle et ne disait rien.
- Pourquoi es-tu si pressée Bourby ? persifla le Serpentard. Tu as peur de décevoir le professeur ? Ou tu veux impressionner la petite belette rousse ? dit-il d'un air moqueur et perfide.
- Très drôle ! dit-elle épuisée par l’arrogance du blondinet. Et toi comme un traître tu t'es soumit lamentablement à Voldemort ! Mais maintenant qu'il est mort tu es perdu hein ? Tu ne sais plus quoi faire !
Hermione dit ces mots avec toute la haine qu'elle pouvait ressentir pour ce mage noir et le perfide traître assit à côté d'elle. Draco, lui, tremblait de rage mais essayait avec tout l'effort qu'il pouvait de ne pas étriper la sang de bourbe qui le regardait d'une manière hautaine. Il ne supportait plus ce regard qu'elle portait sur lui.
La potion était terminée, elle avait une couleur mauve et fluorescente. Mais alors que Draco fit tomber discrètement la plume d'Hermione et que celle ci la ramassait ignorant que c'était lui qui l'avait fait tomber, il introduisit une gousse d'ail de plus dans la potion.
Elle perdit légèrement de sa fluorescence, mais ce changement fut presque imperceptible. Draco regarda autour de lui, personne ne l'avait vu.
- Parfait ! dit le professeur. Décidément, je n'ai plus aucun doute de vos talents dans ce domaine miss Granger ! Maintenant, vous pouvez la boire.
Hermione hésita, elle redoutait l'effet de la potion. Elle regarda autour d'elle, tous la regardaient.
- Alors miss-je-sais-tout ! chuchota le blondinet. Tu doutes de tes talents ? Tu as peur de la boire ?
D'un air de défi, elle but une longue gorgée en regardant Malfoy dans les yeux.
- A toi maintenant ! Après tout, on fait équipe non ?
En percevant l'inquiétude et l'embarras dans le regard de Draco, elle reprit :
- Alors comme cela tu as peur ? dit-elle avec une voix enfantine.
Par fierté, le Serpentard au sang-pur hésita mais se résolut à en boire une petite gorgée.
Il redoutait l’effet de la potion étant donné qu’il avait rajouté une gousse d’ail afin de nuire la petite moldue. Il espérait seulement que la petite gorgée qu’il avait bu n’aurait aucune conséquence …
Le soir, à la fin des cours, Hermione passa à l’infirmerie rapidement pour soigner sa blessure au crâne puis elle monta dans sa chambre. Elle commençait à voir trouble et fut dominée par de violents vertiges, elle s’approcha de son lit et préféra s’abandonner dans les bras de Morphée …