Voila c'est ma première fic, je ne sais pas ce que vous en penserez mais n'hésitez pas à laisser des commentaires critiques pour m'aider
Tout le monde criait, les professeurs dans un dernier élan de courage barricadaient les élèves dans la grande salle et avec tout la puissance qu’ils possédaient en eux, essayaient de maintenir la porte fermer sous les assauts répétés de Voldemort et de ses mangemorts. Au milieu de cette foule, Harry Potter luttait comme il pouvait contre la douleur atroce qui lui perforait inlassablement le crâne. Il cherchait aussi à refouler cet effroyable sentiment de crainte qui tordait ses entrailles dans tout les sens et, malgré tout ce qu’il essayait de se dire, il savait qu’il n’était pas prêt et que ce soir sera sûrement le dernier pour lui. Pendant que le survivant se battait avec ses émotions, les professeurs sentaient le contrôle de la porte leur échapper et, avant que la porte ne craque ils se placèrent devant les élèves, prêts à sacrifier leurs vies pour les sauver.
La porte s’ouvrit alors émettant un bruit sinistre, un silence mauvais s’installa dans l’énorme pièce, Voldemort apparu, seul, une obscurité étrange régnant derrière lui, ses yeux de sang vinrent se poser sur les profs en alerte et, sans que personne n’eu le temps de faire un geste ou prononcer un mot, il éclata d’un rire dément tandis qu’une dizaine de rayons verts sortaient des ténèbres, allant à la rencontre des professeurs qui un à un tombèrent pour ne plus jamais se relever.
Seul McGonagall n’avait pas été touchée, ses réflexes de chat sans doute, et sa baguette levée, elle regardait le Seigneur des ténèbres dans les yeux, prouvant ainsi qu’elle était bien une Griffondor.
Elle lançât l’assaut, il l’arrêta d’un simple geste, comme l’on chasse une mouche, riposta d’un doloris que la vieille femme ne pu éviter. Elle tomba brutalement sur le sol et se mit a pousser d’horribles cris de douleur qui, au fil du temps se transformèrent en lamentations puis en sanglots silencieux. Au cours de cette torture, beaucoup d’élèves se mirent à pleurer, ne pouvant plus supporter ces cris et ayant perdu tout espoir. Harry, lui, n’avait pas quitté des yeux le regard carmin de son ennemi juré, qui restait infatigablement fixés sur la forme tremblante se trouvant à ses pieds. Puis, nonchalamment, le Lord Noir mis fin à la vie de la Griffondor et releva directement ses yeux pour les plonger dans ceux du survivant.
Déglutissant, Harry sortit sa baguette tandis que les élèves s’écartaient sur le passage de Voldemort, dont les yeux n’avaient pas quitter les deux émeraudes brillant de colère et de crainte. Alors que Harry levait sa baguette pour tenter quelque chose, il fut éjecté contre un mur et sa baguette fut récupérée par Voldemort. Le dernier des Potter se releva, prêts à mourir dignement. Voldemort pris alors la parole :
-Calme tes ardeurs Potter, je sais que tu es pressé de mourir mais je ne vais pas te tuer, pas tout suite en tout cas.
Beaucoup de personne en aurait été quelque peu rassurer mais cette phrase fit trembler Harry encore plus. Le lord reprit de plus belle :
-J’aurais aimé continuer cette conversation mais maintenant j’ai une école à gérer, aussi je reprendrais cette échange un peu plus tard. Je ne vais cependant pas te laisser tout seul, tu serais capable de faire une bêtise…regrettable, tu vas être surveiller par deux de mes plus fidèles mangemorts que tu connais plutôt bien d’ailleurs, dit-il, Severus, Bella, surveillez le moi.
A l’entente des deux noms, une colère haineuse c’était distilla dans les veines de Harry , il aurait voulu se jeter sur les deux silhouettes qui étaient sorties des ténèbres et qui, a présent se dirigeaient vers lui, les voir mourir a petit feu et souffrir atrocement.
Lorsque son ancien professeur de potion voulut lui prendre le bras pour le maintenir immobile, il se dégage et siffla avec hargne :
-Je sais encore me tenir debout sans avoir besoin d’imbéciles qui me tiennent les bras.
- Avec votre incompétence notoire, on ne sait pas de quoi vous êtes capable.
-Je suis au moins capable d’être loyale à une personne sans le poignarder dés qu’elle tourne le dos.
-Oui, c’est sans doute le pire défaut des Griffondors…
-Chez les Serpentards, leur plus grand défaut, ce n’est pas compliqué, c’est leur lâcheté.
-JE VOUS INTERDIS DE ME TRAITER DE LACHE
-C’est ce que vous êtes pourtant…
-Suffit vous deux, vous n’êtes plus des gamins, cria Voldemort
Harry répondit du tac au tac :
-Je n’ai jamais eu l’occasion d’être un gamin par la faute d’un stupide serpent visqu…
CLAC.
Voldemort avait giflé Harry avant qu’il ne puisse terminer sa phrase et le regardais comme si il voulait le tuer et le Survivant, bien que surpris par la gifle, lui rendit.
-Silence, pauvre imbécile, tu es a deux doigts de mourir alors n’aggrave pas ton cas.
Harry lui envoya un regard brûlant de haine, sa langue le démangeait mais il se tut. Voldemort se dirigea donc, à nouveau, vers l’estrade sur laquelle il monta et commença son discours :
-Poudlard ne fermera pas, mais il y aurait tout de même certains changements, dit-il avec un sourire cruel, pour commencer, les règles entre les maisons :
Il est interdit aux Serdaigles, Griffondors et aux Poufsouffles de manquer de respect
aux Serpentards. Si par ailleurs cela devait arriver, le serpentard a le droit de punir
le manqueur de respect.
Pour chaque élève qui croisera un serpentard, il sera de rigueur de le saluer
Maintenant, les règles concernant la tenue vestimentaire :
Vous devrez porter en permanence une cape avec une capuche que vous n’enlèverez que si on vous le demande. Sur le dos de chaque cape seront marqué les insignes de votre maison. Enfin, les règles concernant le respect qui m’est du :
Chacun de vous devra obligatoirement m’appeler maître et s’incliner bien bas lorsque vous me croiserez ou lorsque je vous adresserais la parole, je serais intransigeant sur cette règle. Est-ce que quelqu’un a une question à poser ?
Les élèves n’avaient pas quitté des yeux Voldemort comme hypnotisés. Cependant, ils avaient été tellement secoués qu’ils n’avaient écouté le discours que d’une oreille. Voldemort, voyant que personne n’en avait s’apprêta à reprendre lorsque une voix s’écria :
-Vive l’Ordre du Phoenix et Albus Dumbledore.
Voldemort tourna précipitamment la tête en direction du cri mais il y avait beaucoup trop d’élèves et aucun ne bougeai.
Furieux, il descendit de l’estrade pour se diriger vers la source approximative du cri, arrivé à cette hauteur, il demanda d’une aussi froide qu’un iceberg :
-Qui a dit ça ?
N’obtenant aucune réponse, il envoya un doloris sur le premier élève sur le quelle se posa son regard, qui se trouvait être Luna Lovegood. Les jambes de celle-ci se dérobèrent sous le coup du sort et elle se mit à hurler, se convulsant sur le sol. Au bout d’une vingtaine de seconde, Voldemort arrêta le sort et réitéra sa question, d’une voix lourde de menace :
-Qui a dit ça ?
Durant quelques secondes, qui parurent une éternité à chacun, rien ne bougea . Puis, un élève se fraya un chemin à travers ses confères et fini par émerger de la foule pour venir se placer devant Voldemort. Il s’agissait de Neville Longdubat.