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Quelque part en Bretagne dans une pièce lugubre où seule une ampoule clignotante permet de distinguer des visages effacés et une banderole "Les scribouillards de pavés anonymes. Enfin on écrit pas vraiment des pavés ou plutôt on n'aimerait éviter de le faire, mais c'est impossible, les idées fusent, les mots s'ajoutent, les phrases s'allongent, on aimerait arrêter d'écrire pour mettre un point final à tout cela, mais c'est impossible car l'on souffre d'un maladie très peu connue mais dont de nombreuses personnes souffrent quotidiennement du nom de ecrivus patetus. Néanmoins on se fait soigner, la preuve, nous sommes ici prêts à nous confier à nos semblab" qui n'avait visiblement pas assez de place pour contenir tout ce texte, une jeune fille se lève pour se retrouver au centre du cercle d'une dizaine de personnes se trouvant dans cette salle.

Bonjour, je m'appelle Laurie, j'ai 18 ans et je suis en fac d'anglais. Je suis lasse de mes bios interminables alors j'essaie de faire quelque chose d'à peu près concis !

Je lis et écris des fanfictions essentiellement sur Harry Potter depuis mes 12 ans et ose espérer m'être améliorée durant ces quelques années même si je n'ai pas écrit depuis un bout de temps. Sur ce site, il n'y a que mes derniers textes, pas les plus anciens publiés sur mon profil sur ff.net et en général j'aimais bien mettre sur mon profil un petit commentaire sur ce que j'ai pu écrire, mais j'ai décidé de bien résumer ce qui m'a inspiré pour chacun de mes textes dans mes notes de début et de fin de chapitre donc je vais éviter d'en rajouter !

En ce moment je fais une petite fixette sur une fanfiction sur Dean et Seamus que je suis en train de traduire...

Wow, j'ai réussi à éviter les pâtés ! Ce n'est pas trop mal, je me soigne lentement, mais sûrement. Bon, allez, un dernier paragraphe... J'ai une (très grande) tendance à ouvrir mes bras bien grands pour serrer tous les personnages du monde d'Harry Potter dans mes bras, du coup je hais le bashing. En général quand je commence à lire une fic ou un OS où je remarque immédiatement que l'auteur fait (en particulier pour Ron Weasley et Peter Pettigrew qui sont pour moi les victimes principales de cette pratique que j’exècre) d'un personnage aux multiples facettes un pauvre machin flasque ou idiot ou goinfre ou râleur qui peu à peu devient le personnage que l'on oublie dans un coin pour ne plus s'occuper que de ses personnages préférés, j'arrête ma lecture pour éviter que mes froncements de sourcils intempestifs ne me rident le front prématurément.

Pour finir sur une note plus positive, une phrase que j'aime beaucoup :

You only live once, but if you do it right, once is enough.

Merci de m'avoir écoutée. (Enfin lue)