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Bonjour, je m’appelle Mak, mais appelez-moi Mak. (Comme vous vous en doutez certainement, ce n’est pas mon prénom, mais ça, ça me regarde.) J’habite à Paris et je rentre dans ma première année d’école d’ingénieur. Soit dit en passant, j’envoie toutes mes ondes positives à ceux qui vont entrer en prépa ou qui y sont déjà. Courage les gens ! COURAGE !
Euh bref.
Je suis née en 93. Je préfère dire ça plutôt que donner directement mon âge, parce que ça change tous les ans et faut mettre la bio à jour, ce qui est super chiant.
La fanfiction ? Je suis tombée dessus par le plus grand des hasards, parce que je suis une glandu qui passe la moitié de sa vie sur son ordi.
A côté de ça, si vous devez savoir quelque chose sur moi : je regrette l’époque où je pouvais bouffer de la pâte à sel sans être regardée bizarrement, je mange tout le temps des carambars (et de temps en temps je me blesse avec) (oui c’est possible), je suis poussiérophobe, et j’ai une fascination pour les chaussettes.
Sinon j’aime bien voir les gens louper leur métro de justesse, ou crier « Bouh » dans les oreilles des gens quand ils ne s’y attendent pas (un hobby comme un autre).
Ah et j’oubliais : j’aime les BEAAAAATLES ! Alors ne m’en parlez pas ou je ne m’arrêterai plus pendant trois jours, je fais des efforts prodigieux là, vous vous rendez compte ça fait au moins 10 lignes que j’en ai pas parlé ! Dix lignes ! Record ! Allez on fait un pari, je finis cette bio sans redire le nom de mon groupe adoré. Ca va être difficile mais je fais ça pour toi public.
J’aime l’humour. Comme à peu près tout le monde me direz-vous. Sauf que moi c’est simple, je veux de l’humour partout : dans les fics que je lis, dans les films que je vois, dans les séries devant lesquelles je végète, sur ma trousse, dans mes pages de philo, et même dans mon frigo (mais là c’est plus difficile quand même).
En outre je suis mentalement limitée (jolie formule), donc quand les choses sont complexes (à partir de 2 personnages généralement) j’ai du mal à suivre les histoires. Problème : j’ai écrit moi-même une histoire avec tellement de sous-intrigues et de personnages que je n’arrête pas de m’y perdre. Résultat : ça ne ressemble à rien, ça fait 84 chapitres et l’histoire laisse franchement à désirer.
Comme d’habitude je me suis paumée en route au milieu de mon monologue. Ce que je n’aime pas dans la vie, c’est les profs sadiques, mon portable tout pourri avec lequel je ne peux ni répondre à des appels ni recevoir des SMS (je crois qu’on peut dire que je remporte la palme du pire portable au monde) , les araignées, LA BASE DE SIGNATURE DE VIRUS A ETE MISE A JOUR à une heure du matin, Cicéron, les cookies plus durs que des biscuits, l’administration en général et mon passé musical (non, je n’assume pas d’avoir écouté Lindsay Lohan en 4e).
Enfin, je suis une grande bavarde. Si vous avez envie de taper la discut’ avec moi, ne vous gênez pas et envoyez-moi un MP, ça me fera super plaisir.
On a fait à peu près le tour. Passons donc à mes fanfictions :
- « Ginger la Légende » : Je crois que c’est un bon indicateur de l’évolution de ma façon d’écrire. Le début est pitoyable. La fin est pitoyable. Mais il paraît que c’est marrant. Rassurez-vous mes bons amis il y aura une suite. Par contre soyez patients.
- « OS en tous genres » : Reprend des personnages de « Ginger la Légende ». Au fait je m’excuse pour le titre de chacune de ces deux fictions. Je ne sais pas titrer les choses. Je ne sais pas non plus titrer les solutions acido-basiques, ce qui m’a valu des problèmes pour mon BAC, mais on s’en fiche complètement donc passons.
- « Bonbons Express » : J’étais en prépa, Ginger me manquait, et bim, voilà une fic. Ca devait surtout traiter de la distribution des bonbons dans le Poudlard Express, et puis finalement, c’est devenu totalement secondaire. Je ne contrôle pas trop ce que j’écris.
- « Cupidon et Psyché » présente un aspect original et un aspect plutôt courant par rapport au monde de la fanfiction. L’aspect original, c’est que c’est une histoire qui prend un thème dont bien peu de personnes a déjà parlé dans les fanfictions harry potter, du moins autant que je sache et j’en ai lu un paquet. L’aspect plutôt courant, c’est que tout le monde s’en fout, de cette histoire, moi la première, ce qui explique que je poste un nouveau chapitre à chaque éclipse solaire en moyenne.
- « A Day in the Life » : BEATLES ! RAAAAAAAAAAAAAHAHAHHAAH ! LALALALALALALA ! WOUUUUUUUUUHOU ! *part danser nue dans une forêt*
…
Bonjour ?
De temps en temps ça me prend comme ça, ça ne se contrôle pas. Désolée public, je n’ai pas réussi à tenir mon pari.
…C’est donc une réhabilitation de personnages dont personne ne parle jamais, et en particulier d’une fille de HP qui a pourtant un rôle important. Je parle bien sûr de… Poppy Pomfresh ! Et en fait, en dehors de l’infirmerie et avec trente ans de moins, je vous jure qu’elle est marrante.
- « Le journal de Poppy Pomfresh » : Je suis tellement narcissique (ou plutôt fan des hum-hum, vous savez, ce groupe de musique britannique des années soixante) que j'ai fini par offrir une histoire entière à Poppy. Enfin, une histoire, c'est vite dit. Je vous invite à vous faire votre avis. (Oui, c'est comme ça que je fais ma pub. Comment ça c'est nul ?!)
- La dure réalité de Poudlard : Ok, vraiment, je ne sais pas pourquoi j'ai commencé à écrire ça. Mais au début j'avais des idées et tout, je vous le jure... La narratrice est une Poufsouffle blasée par Poudlard et qui démonte un à un chaque lieu de notre château préféré, en démontrant à chaque fois avec force cynisme et statistiques douteuses combien vivre dans le château le plus sorcier d'Angleterre, en fait, c'est nul.

Vous remarquerez d’ailleurs que là où je m’aventure est souvent là où les gens ont peu laissé d’histoires. Next-gen, mine de rien, il y a quelques années, quand j’ai commencé à écrire GLL, y en avait pas beaucoup. Et les histoires sur Poppy, j’en parle même pas. Pourtant elle a un énorme potentiel la cocotte ! Allez les gens, faites comme moi, prenez des personnages inexploités par JKR, non seulement ils laissent très libres mais en plus ils attirent les lecteurs qui n’ont qu’une envie, c’est de lire autre chose qu’un Draco/Hermione.

A part ça, figurez-vous que personne ne me paye pour toutes ces fanfictions ! C’est scandaleux. Je dois vivre de l’aumône des gens. Alors si vous avez de la pitié, envoyez-moi un chèque à mon ordre (je me charge d’écrire le montant).

Ne me reste plus qu’à préciser au dernier abruti qui n’a pas encore compris qu’il y a quelque chose de pas net dans ma tête, et d’ailleurs si j’étais vous je ne chercherais pas à savoir de quoi il s’agit. On sait jamais, ça pourrait attaquer.

Voilà, c’est tout. Vous pouvez partir. Au revoir.

… Hé, toi là-bas au fond. Réveille-toi, c’est fini.