Image représentant Padma Patil (Afshan Azad), libre de droit et trouvée sur le site www.fanpop.com

"Il" est de retour ! Parait-il ! Voilà qui est fâcheux, enfin est-ce bien le terme ?

Elle a bien des camarades qui comptent des victimes dans leurs familles respectives, lors de la première guerre. Oui elle est compatissante à leurs douleurs, à leurs craintes, oui c'est sans doute ça !

Quant à elle, un père, une mère et une jumelle. Le bonheur simple et pur. Une famille n'ayant pas connue toutes ces horreurs. Venue tout droit des Indes, dans cette Angleterre, alors à l'époque encore secouée par les derniers événements.

Alors pourquoi ses parents sont-ils aussi nerveux ?

Mais comment ne pas l'être face à celui-dont-on-doit-pas-prononcer-le-nom ? 

ATTENTION : Cette histoire est la suite de ma fiction Obsessio. Il est très important que vous commenciez par la lire, avant celle-ci. Dans le cas contraire, vous n'allez rien comprendre !

La chouette a parlé, vous allez m'écouter ! Il n'y a pas de raison et je vous assure que mon histoire va beaucoup plus vous intéresser ! En tout cas si elle accepte de me laisser parler.

Note de l'auteur : Où comment inciter les lecteurs à lire l'autre fiction ;)

Moi, Drago Malefoy, il faudra me torturer (et je sais qu'au premier doloris je ne tiendrais pas) pour qu'un jour, je consente à prononcer ces paroles à haute voix. Je ne suis qu'un couard, sans honneur et dont l'image me répugne, bien que je m'en cache.

Et pourtant, pour la première fois de ma vie ! J'accepte d'assumer mes erreurs, car oui même si je continue à haïr au plus profond de moi, tous ces sangs impurs et ces traîtres. Je ne pouvais plus longtemps encaisser tous ces agissements qui ne faisaient que me donner la nausée.

Moi Drago Malefoy, me retrouve face au tribunal qui décidera de m'envoyer à Azkaban ou non. Ma mère ne porte pas la marque, aussi son implication reste difficile à prouver et m'en voici soulager. Quant à mon père. Nous sommes unis dans un même sort et seule une profonde humilité pourrait nous sauver. Or, ce n'est pas le trait caractéristique de notre famille.

Image représentant Mérope Gaunt et Tom Jedusor Sr de nijhia K.serrano sur le site thestral.insanejournal.com/profile

« Je ne suis ni belle, ni intelligente et on ne peut dire que je brille par ma présence. Mais une chose est sûre, c'est que je l'aimais. Comme une femme est capable d'aimer, et qu'aujourd'hui je l'aime encore... Je tiens dans mes bras en cette nuit du 31 décembre 1926, l'enfant né de l'amour que je porte encore à cet homme. Pourtant mon temps est compté, je le sens, je le sais, je ne peux partir ainsi, sans donner d'explications sur mes choix. Or pourtant, personne ne m'entendra, mais pour les quelques minutes qu'ils me restent sur cette terre, je tiens à le dire.

Je m'appelle Mérope Gaunt-Jedusor, et voici mon histoire ».